Alan Watts - Une vocation contrastée
Alan Watts, prêtre épiscopalien, philosophe, écrivain et conférencier, émigre aux États-Unis en 1938. Il est initié au bouddhisme zen rinzai en côtoyant Roshi Sokei-an Sasaki pendant trois ans, étudie la théologie et est ordonné prêtre en 1945, mais quitte la prêtrise en 1950 et rejoint la Californie, où il entre à l'Académie Américaine des Études Asiatiques – dont il sera brièvement le plus jeune doyen.
Il acquiert d'abord une très importante notoriété et fidélité dans la région de San Francisco, grâce à ses prestations gracieuses à la Radio de Berkeley, ses émissions de télévision et ses séminaires en comparatisme religieux. Par ses livres, il acquiert ensuite une renommée internationale dans les milieux philosophiques et du chan/zen comme de la psychologie et de la critique sociale1. Il partagera ensuite son temps entre une vieille péniche à roue, ancrée à Sausalito et une grande cabane dans les Monts Tamalpais.
À sa naissance et durant sa prime enfance, Chislehurst était encore une petite communauté essentiellement rurale. Le train était arrivé en 1865, mais le village ne devint une banlieue de Londres qu'après la Seconde Guerre mondiale. Le séjour de Napoléon III en exil, en assura la notoriété mondaine. Bombardé en 1915, par erreur de repérage d'un zeppelin en route vers la capitale, le village est surtout connu pour les londoniens qui s'y réfugièrent pendant les bombardements, dans les carrières de craies – elles servirent aussi de dépôts divers d'armes et de munitions.
À considérer que les Monts Tamalpais, près de San Francisco, où meurt Alan Watts, fut également regardé par les Amérindiens comme un lieu mystique, on pourrait dire qu'il est né et mort dans le sacré, ce sens du sacré, dont Mircea Eliade lui reconnaissait comme un pouvoir de divination. Un sens du sacré que les religions cachent plus qu'elles ne révèlent. Sur cette base, le jeune Alan reçut ensuite une robuste éducation chrétienne teintée contradictoirement de puritanisme et d'un "savoir" de la Vie Bonne très épicurien. Il put se soustraire rapidement à la première influence pour développer une vision très dionysiaque de la religion. Très tôt, cette vision joyeuse de la religion fut indissociable chez lui d'un besoin d'imaginaire et de merveilleux directement lié à une sensibilité « écologique » directe transmise, par son père qui lui apprenait le nom des fleurs sauvages comme des papillons, et une esthétique picturale transmise par sa mère. Celle-ci, issue d'une famille missionnaire en Chine, avait hérité d'une petite collection de broderies, lithographies et peintures sur papiers orientales.
Diverses conférences et relations humaines directes le convainquirent de la valeur du bouddhisme, principalement zen ; il y fut comme jeté lorsqu'il découvrit les insuffisances de la vision aristocratique d'un Spengler comme l'échec total des actions pacifistes – pourtant clairvoyantes – de Dimitri Mitrienovic. Ce dernier fut le seul maître qu'il eut vraiment, auquel il voua un véritable esprit d'enthousiasme et d'obéissance. Mais l'échec de celui-ci le fit sortir de tout « sens de l'histoire » et de tout intérêt pour la sphère politique, ses dévoiements, compromissions et lâchetés.
Ces deux pôles de paix, – celui de la paix intérieure individuelle, qu'il découvrit par ses premières expériences du bouddhisme et taoïsme de la contemplation Chan/Zen (pour laquelle méditation et compassion sont déjà par nature inséparables) ; et celui de la paix entre les peuples, les cultures et les nations – ne trouveront leur synthèse qu'à la lecture de René Guénon (1949).
On redécouvre aujourd'hui peu à peu son message de philosophe spirituel et libertaire, « jeteur de ponts » entre Orient et Occident comme de représentant éminent de la Philosophie pérenne, appelé aussi École traditionnelle (trop souvent confondue en Europe avec les intégristes, fondamentalistes et prétendus Chrétiens traditionalistes). La particularité du message est de rendre explicite ce qui est trop souvent en Europe une prétention élitiste et occulte. La tradition authentique est simplement un refus de soumission aux « standards », « normalités » et « adaptabilités d'intégration » du modernisme et d'une mentalité façonnée par la raison économique et l'idéologie boursière. La tradition est refus de toute primauté de progrès, par là de toute idée de « sens de l'Histoire »[précision nécessaire]. Elle s'est illustrée dans la jeunesse américaine de la seconde moitié du XXe siècle par divers mots d'ordre parfois provocateurs. Mais, René Guénon en tête, des personnalités européennes tels Alain Danielou, Ivan Illich et Jacques Ellul peuvent être considérés comme des traditionnels – et par définition un traditionnel est un novateur et un créateur[Passage problématique] – aussi bien qu'un Aldous Huxley, Korzybski, Krishnamurti et Abraham Maslow d'ailleurs américains de première génération pour la plupart, au même titre qu'Alan Watts lui-même ou des auteurs d'origine asiatique tels que les japonais Shunryu Suzuki et Nanao, ou les chinois Al Chung-liang Huang et Gia-Fu Feng.
Alan Watts n'apporte strictement aucune idée nouvelle, mais des clefs d'interprétation de textes sacrés comme d'ouvrages anciens ou modernes concernant la philosophie et la religion comparée. S'y ajoute un moment une comparaison avec les sciences humaines récentes.
Lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alan_Watts?fbclid=IwAR3YU8YCK6oGcrUp2Vx-9CQb560qw-XH-BlrDDbxJ_Y8gbsMIcYZJ0C0PhA
Alan Watts à l'âge de sept ans.
Alan Watts, prêtre épiscopalien, philosophe, écrivain et conférencier, émigre aux États-Unis en 1938. Il est initié au bouddhisme zen rinzai en côtoyant Roshi Sokei-an Sasaki pendant trois ans, étudie la théologie et est ordonné prêtre en 1945, mais quitte la prêtrise en 1950 et rejoint la Californie, où il entre à l'Académie Américaine des Études Asiatiques – dont il sera brièvement le plus jeune doyen.
Il acquiert d'abord une très importante notoriété et fidélité dans la région de San Francisco, grâce à ses prestations gracieuses à la Radio de Berkeley, ses émissions de télévision et ses séminaires en comparatisme religieux. Par ses livres, il acquiert ensuite une renommée internationale dans les milieux philosophiques et du chan/zen comme de la psychologie et de la critique sociale1. Il partagera ensuite son temps entre une vieille péniche à roue, ancrée à Sausalito et une grande cabane dans les Monts Tamalpais.
À sa naissance et durant sa prime enfance, Chislehurst était encore une petite communauté essentiellement rurale. Le train était arrivé en 1865, mais le village ne devint une banlieue de Londres qu'après la Seconde Guerre mondiale. Le séjour de Napoléon III en exil, en assura la notoriété mondaine. Bombardé en 1915, par erreur de repérage d'un zeppelin en route vers la capitale, le village est surtout connu pour les londoniens qui s'y réfugièrent pendant les bombardements, dans les carrières de craies – elles servirent aussi de dépôts divers d'armes et de munitions.
À considérer que les Monts Tamalpais, près de San Francisco, où meurt Alan Watts, fut également regardé par les Amérindiens comme un lieu mystique, on pourrait dire qu'il est né et mort dans le sacré, ce sens du sacré, dont Mircea Eliade lui reconnaissait comme un pouvoir de divination. Un sens du sacré que les religions cachent plus qu'elles ne révèlent. Sur cette base, le jeune Alan reçut ensuite une robuste éducation chrétienne teintée contradictoirement de puritanisme et d'un "savoir" de la Vie Bonne très épicurien. Il put se soustraire rapidement à la première influence pour développer une vision très dionysiaque de la religion. Très tôt, cette vision joyeuse de la religion fut indissociable chez lui d'un besoin d'imaginaire et de merveilleux directement lié à une sensibilité « écologique » directe transmise, par son père qui lui apprenait le nom des fleurs sauvages comme des papillons, et une esthétique picturale transmise par sa mère. Celle-ci, issue d'une famille missionnaire en Chine, avait hérité d'une petite collection de broderies, lithographies et peintures sur papiers orientales.
Diverses conférences et relations humaines directes le convainquirent de la valeur du bouddhisme, principalement zen ; il y fut comme jeté lorsqu'il découvrit les insuffisances de la vision aristocratique d'un Spengler comme l'échec total des actions pacifistes – pourtant clairvoyantes – de Dimitri Mitrienovic. Ce dernier fut le seul maître qu'il eut vraiment, auquel il voua un véritable esprit d'enthousiasme et d'obéissance. Mais l'échec de celui-ci le fit sortir de tout « sens de l'histoire » et de tout intérêt pour la sphère politique, ses dévoiements, compromissions et lâchetés.
Ces deux pôles de paix, – celui de la paix intérieure individuelle, qu'il découvrit par ses premières expériences du bouddhisme et taoïsme de la contemplation Chan/Zen (pour laquelle méditation et compassion sont déjà par nature inséparables) ; et celui de la paix entre les peuples, les cultures et les nations – ne trouveront leur synthèse qu'à la lecture de René Guénon (1949).
On redécouvre aujourd'hui peu à peu son message de philosophe spirituel et libertaire, « jeteur de ponts » entre Orient et Occident comme de représentant éminent de la Philosophie pérenne, appelé aussi École traditionnelle (trop souvent confondue en Europe avec les intégristes, fondamentalistes et prétendus Chrétiens traditionalistes). La particularité du message est de rendre explicite ce qui est trop souvent en Europe une prétention élitiste et occulte. La tradition authentique est simplement un refus de soumission aux « standards », « normalités » et « adaptabilités d'intégration » du modernisme et d'une mentalité façonnée par la raison économique et l'idéologie boursière. La tradition est refus de toute primauté de progrès, par là de toute idée de « sens de l'Histoire »[précision nécessaire]. Elle s'est illustrée dans la jeunesse américaine de la seconde moitié du XXe siècle par divers mots d'ordre parfois provocateurs. Mais, René Guénon en tête, des personnalités européennes tels Alain Danielou, Ivan Illich et Jacques Ellul peuvent être considérés comme des traditionnels – et par définition un traditionnel est un novateur et un créateur[Passage problématique] – aussi bien qu'un Aldous Huxley, Korzybski, Krishnamurti et Abraham Maslow d'ailleurs américains de première génération pour la plupart, au même titre qu'Alan Watts lui-même ou des auteurs d'origine asiatique tels que les japonais Shunryu Suzuki et Nanao, ou les chinois Al Chung-liang Huang et Gia-Fu Feng.
Alan Watts n'apporte strictement aucune idée nouvelle, mais des clefs d'interprétation de textes sacrés comme d'ouvrages anciens ou modernes concernant la philosophie et la religion comparée. S'y ajoute un moment une comparaison avec les sciences humaines récentes.
Lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alan_Watts?fbclid=IwAR3YU8YCK6oGcrUp2Vx-9CQb560qw-XH-BlrDDbxJ_Y8gbsMIcYZJ0C0PhA
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