Bonjour,
Proposition d’une nouvelle approche et méthode de méditation :
Le problème reste et a toujours été la post-méditation :
Hinayana :
La pratique de shiné, samatha, méditation sans objet :
Avec l’attention portée sur le souffle et la reconnaissance des pensées pour ce qu’elles sont est une excellente entrée en matière. Cela ouvre la porte à notre reconnaissance que l’armure de l’égo n’est pas constitué d’un seul bloc, c’est une armure et il y a des jours et des fissures, soit des instants sans pensées ni émotions.
L’on en arrive à avoir des flashs de ce que pourrait être la vacuité, mais la technique d’application est très lourde et l’on doit constamment revenir au souffle, se recentrer sur le souffle après avoir étiqueté une pensée comme étant pensée.
Mahayana :
Vipassana, la voie large, le déploiement de l’espace :
C’est toujours la même pratique de shiné, mais déjà l’on a réussi a intégrer l’information qu’il y a des jours entre les pensées, de l’espace et par cette ouverture d’espace, cela change toute la dynamique d’approche et l’on commence à percevoir l’espace, c’est une voie ouverte et large d’espace.
Vajrayana :
Mahamudra, le grand sceau, la vacuité.
C’est encore et toujours la pratique de shiné, mais après avoir intégré l’information que la carapace sur laquelle l’égo principalement se repose pour valider son existence est constituée principalement de pensées et d’émotions en plus des sens, mais qu’entre les pensées l’on a pu expérimenter qu’il y avait comme des jours, de l’espace et en développant cette notion d’espace, l’on a changé de registre en passant au Mahayana avec la vue pénétrante, vipassana, l’on a pu intégrer par le dévoilement qu’en fait il y avait peut-être plus d’espace que ce que l’on pensait au départ, mais nous n’en sommes pas encore tout à fait certain.
Il y a deux notions que je n’ai pas abordé, qui permettent l’accomplissement de la précédente performance, c’est le lâché prise et demeurer dans l’ici et maintenant.
C’est en ayant lâché prise que l’on a pu entrevoir l’espace entre les pensées et demeurer ici et maintenant, et ce travail sur les pensées, nous a permis de ne pas focaliser sur le lâcher prise et l’ici et maintenant, ce qui est très habile, c’est d’ailleurs un puissant moyen habile qui a été employé pour développer cette méthode, technique de méditation.
C’est à ce point que la « magie » de ce puissant moyen habile, de mon point de vue, opère. Après que l’on aie vu que la carapace de l’égo constitué des pensées et des émotions n’était en rien uniforme et solide, les jours entre les pensées et les émotions ont laissé apparaître l’espace. Puis l’espace a continué à prendre de la place et notre conscience s’est ouverte, mais à ce point l’on est encore observateur de la situation, nous ne nous sommes pas encore vraiment intégré comme faisant partie de l’expérience, ça c’est le stade suivant que l’on nomme vajrayana, ou véhicule de diamant, ou adamantin.
C’est seulement au prix de nous intégrer nous même comme étant un élément de l’expérience, que nous pourrons obtenir ce que l’on nomme à mon avis à tord, la vacuité.
Qu’es-ce donc que la vacuité, si ce n’est reconnaître que nous ne sommes pas ce que l’on nous a toujours dit que nous étions, soit un être doté d’une âme immortelle et éternel, mais bien un non être, non individué, pas une âme mais une conscience.
La plupart ajouteront : Exactement ! Une conscience qui a conscience d’elle-même, soit être ou ne pas être étant la question ? Soit autant dire que nous sommes !
Et bien non, justement nous ne sommes pas, et nous en avons fait l’expérimentation par la méditation, par le lâché prise nous avons expérimenté l’ici et maintenant, ainsi que l’espace entre les pensées et des moments d’espace si grand qu’il nous a semblé qu’il n’y avait plus de pensée, ce qui a provoqué en nous pleins d’émotions, et c’est bien là que le processus de la méditation cale.
Car, bien que nous ayons expérimenté l’espace, donc la vacuité, nous demeurons pour la plupart de ne pouvoir gérer nos émotions et le retour des pensées, c’est un combat titanesque ou il nous est demandé de redoublé d’effort et d’attention.
Et lorsque ce ne sont ni les émotions, ni les pensées, alors c’est le corps qui s’exprime, ça nous gratte de partout, nous avons des crampes aux pieds et dans les mollets et notre mal au dos du à la posture remonte et sape toute notre belle méditation où nous étions si bien sur notre petit nuage de complaisance à notre égard, que même notre égo ronronnait comme un chat lové entre nos cuisses, tout calme entrain de rêver.
Mais vu que nous sommes de bon et loyaux pratiquants (enfin c’est comme ça en principe que la plupart d’entre-nous, nous plaisons à penser que nous sommes), nous nous disons jour après jour, semaine après semaine, etc… qu’il nous a fallu trop d’effort pour en être arrivé là, que ce n’est pas à ce point que nous allons lâcher, alors que c’est tout le contraire que nous devrions faire, il nous suffit de relâcher la pression, comme l’a également fait le Bouddha Gautama Sakyamouni, en se lavant, prenant le temps de manger un repas frugal mais bon, de se faire un coussin d’herbe, de se placer à l’ombre des branches d’un arbre, soit de s’offrir de bonnes conditions pour sa pratique et en prenant soin de lui.
N’ayant pas passé les six dernières années dans un ascétisme des plus strict, nous ce n’est pas ce dont nous avons besoin, mais nous avons besoin de lâcher nos attentes, nos rêves d’être des surhommes ou des surfemmes, car bien que nous ayons peut-être en plus des vœux de refuge, pris les vœux de bodhisattva, nous sommes toujours dans la quête de l’éveil et c’est juste là, le bon, l’excellent moment de lâcher ce rêve et ce désir.
Ce n’est qu’au prix de se renoncement véritable que nous progresserons et que nous obtiendrons l’éveil, que nous réaliserons le grand sceau, le Mahamudra, la vacuité, etc.
Enfin, c’est ce que nous pensons encore, car le vrai problème, c’est et cela demeure, la post-méditation.
Tant que l’on est dans la méditation, nous avons des hauts et des bas, quelques fois plus de hauts que de bas, et parfois l’inverse, mais lorsque l’on sort de la méditation, très rapidement, si ce n’est instantanément, nous sommes littéralement happé par nos émotions et nos pensées et souvent les plus basses, soit manger, sexuelles, dormir, aller au toilette, ne pas oublier l’heure et les commissions pour le repas du soir, happé… !!!
Des dizaines d’années de pratique de la méditation qui sont balayées en une fraction de seconde.
Comment faire alors… ?
Il y a le dzogchen. Le dzogchen nous parle de la vue et de rigpa qui est synonyme d’éveil.
La vue, qu’es-ce donc ?
La vue pour certains c’est, il n’y a rien a faire, c’est la manière dont est quelques fois présenté le dzogchen. Mais ne rien faire c’est très difficile, en fait ce n’est pas ne rien faire, plutôt que de laisser les événements à leur place, sans rien surajouter.
Par exemple, une pensée ou une émotion s’élève, eh bien dans la vue dzogchen, nous laissons cette pensée ou cette émotion là où elle se trouve, jusqu’à, comme l'exemple du nuage, qu'elle se dissolve dans l'espace et disparaisse d’elle-même.
Cela se fait en restant immobile, en portant notre regard dans l’espace devant nous où dans le ciel, la pratique est de littéralement se fondre à l’espace, faire un avec l’espace, soit redécouvrir, par dévoilement que l’on est en fait espace.
Cette approche est très directe et très prégnante, elle nous permet de dépasser la notion de temps en méditation et l’ensemble des autres moment où l’on est en post-méditation, si bien qu’en fin de compte, l’on arrive à pouvoir demeurer tout le temps dans la vue et la vue étant rigpa et rigpa étant synonyme d’éveil, l’on devient alors éveil.
Pour ma part, cela fait bien longtemps, avant même que j’aie pris les vœux de bodhisattva, j’avais le souhait ou l’envie, de pouvoir amener tous les êtres à l’éveil, et pas seulement les personnes qui s’étaient engagées sur la voie que nous proposait Bouddha.
Si je suis bien incapable de vous donner la solution, c’est là pourtant que j’ai mis au point une nouvelle approche, soit au lieu de partir du matériel que nous avions en nous comme les pensées et les émotions qui se trouve être la carapace autant que l’égo lui-même, de partir également de ce que nous sommes, mais pas du point de vue du matériel des pensées et des émotions, mais du point de vue de ce que nous sommes réellement, soit la base incréée et non née que j’ai développé sur ce site dans les deux sujets suivant que sont :
L’EXERCICE et Proposition d’un plan d’action d’élévation de notre niveau de conscience, où plutôt, Proposition d’une nouvelle approche et méthode de méditation.
Je vous renvoi donc à ces deux sujets et tout en vous laissant libre de vous exprimer sur ceux-ci où ici, je vous souhaites à vous toutes et tous, un excellent dimanche.
tindzin - Dakar, le dimanche 04 mars 2018 - 11:11
Proposition d’une nouvelle approche et méthode de méditation :
Le problème reste et a toujours été la post-méditation :
Hinayana :
La pratique de shiné, samatha, méditation sans objet :
Avec l’attention portée sur le souffle et la reconnaissance des pensées pour ce qu’elles sont est une excellente entrée en matière. Cela ouvre la porte à notre reconnaissance que l’armure de l’égo n’est pas constitué d’un seul bloc, c’est une armure et il y a des jours et des fissures, soit des instants sans pensées ni émotions.
L’on en arrive à avoir des flashs de ce que pourrait être la vacuité, mais la technique d’application est très lourde et l’on doit constamment revenir au souffle, se recentrer sur le souffle après avoir étiqueté une pensée comme étant pensée.
Mahayana :
Vipassana, la voie large, le déploiement de l’espace :
C’est toujours la même pratique de shiné, mais déjà l’on a réussi a intégrer l’information qu’il y a des jours entre les pensées, de l’espace et par cette ouverture d’espace, cela change toute la dynamique d’approche et l’on commence à percevoir l’espace, c’est une voie ouverte et large d’espace.
Vajrayana :
Mahamudra, le grand sceau, la vacuité.
C’est encore et toujours la pratique de shiné, mais après avoir intégré l’information que la carapace sur laquelle l’égo principalement se repose pour valider son existence est constituée principalement de pensées et d’émotions en plus des sens, mais qu’entre les pensées l’on a pu expérimenter qu’il y avait comme des jours, de l’espace et en développant cette notion d’espace, l’on a changé de registre en passant au Mahayana avec la vue pénétrante, vipassana, l’on a pu intégrer par le dévoilement qu’en fait il y avait peut-être plus d’espace que ce que l’on pensait au départ, mais nous n’en sommes pas encore tout à fait certain.
Il y a deux notions que je n’ai pas abordé, qui permettent l’accomplissement de la précédente performance, c’est le lâché prise et demeurer dans l’ici et maintenant.
C’est en ayant lâché prise que l’on a pu entrevoir l’espace entre les pensées et demeurer ici et maintenant, et ce travail sur les pensées, nous a permis de ne pas focaliser sur le lâcher prise et l’ici et maintenant, ce qui est très habile, c’est d’ailleurs un puissant moyen habile qui a été employé pour développer cette méthode, technique de méditation.
C’est à ce point que la « magie » de ce puissant moyen habile, de mon point de vue, opère. Après que l’on aie vu que la carapace de l’égo constitué des pensées et des émotions n’était en rien uniforme et solide, les jours entre les pensées et les émotions ont laissé apparaître l’espace. Puis l’espace a continué à prendre de la place et notre conscience s’est ouverte, mais à ce point l’on est encore observateur de la situation, nous ne nous sommes pas encore vraiment intégré comme faisant partie de l’expérience, ça c’est le stade suivant que l’on nomme vajrayana, ou véhicule de diamant, ou adamantin.
C’est seulement au prix de nous intégrer nous même comme étant un élément de l’expérience, que nous pourrons obtenir ce que l’on nomme à mon avis à tord, la vacuité.
Qu’es-ce donc que la vacuité, si ce n’est reconnaître que nous ne sommes pas ce que l’on nous a toujours dit que nous étions, soit un être doté d’une âme immortelle et éternel, mais bien un non être, non individué, pas une âme mais une conscience.
La plupart ajouteront : Exactement ! Une conscience qui a conscience d’elle-même, soit être ou ne pas être étant la question ? Soit autant dire que nous sommes !
Et bien non, justement nous ne sommes pas, et nous en avons fait l’expérimentation par la méditation, par le lâché prise nous avons expérimenté l’ici et maintenant, ainsi que l’espace entre les pensées et des moments d’espace si grand qu’il nous a semblé qu’il n’y avait plus de pensée, ce qui a provoqué en nous pleins d’émotions, et c’est bien là que le processus de la méditation cale.
Car, bien que nous ayons expérimenté l’espace, donc la vacuité, nous demeurons pour la plupart de ne pouvoir gérer nos émotions et le retour des pensées, c’est un combat titanesque ou il nous est demandé de redoublé d’effort et d’attention.
Et lorsque ce ne sont ni les émotions, ni les pensées, alors c’est le corps qui s’exprime, ça nous gratte de partout, nous avons des crampes aux pieds et dans les mollets et notre mal au dos du à la posture remonte et sape toute notre belle méditation où nous étions si bien sur notre petit nuage de complaisance à notre égard, que même notre égo ronronnait comme un chat lové entre nos cuisses, tout calme entrain de rêver.
Mais vu que nous sommes de bon et loyaux pratiquants (enfin c’est comme ça en principe que la plupart d’entre-nous, nous plaisons à penser que nous sommes), nous nous disons jour après jour, semaine après semaine, etc… qu’il nous a fallu trop d’effort pour en être arrivé là, que ce n’est pas à ce point que nous allons lâcher, alors que c’est tout le contraire que nous devrions faire, il nous suffit de relâcher la pression, comme l’a également fait le Bouddha Gautama Sakyamouni, en se lavant, prenant le temps de manger un repas frugal mais bon, de se faire un coussin d’herbe, de se placer à l’ombre des branches d’un arbre, soit de s’offrir de bonnes conditions pour sa pratique et en prenant soin de lui.
N’ayant pas passé les six dernières années dans un ascétisme des plus strict, nous ce n’est pas ce dont nous avons besoin, mais nous avons besoin de lâcher nos attentes, nos rêves d’être des surhommes ou des surfemmes, car bien que nous ayons peut-être en plus des vœux de refuge, pris les vœux de bodhisattva, nous sommes toujours dans la quête de l’éveil et c’est juste là, le bon, l’excellent moment de lâcher ce rêve et ce désir.
Ce n’est qu’au prix de se renoncement véritable que nous progresserons et que nous obtiendrons l’éveil, que nous réaliserons le grand sceau, le Mahamudra, la vacuité, etc.
Enfin, c’est ce que nous pensons encore, car le vrai problème, c’est et cela demeure, la post-méditation.
Tant que l’on est dans la méditation, nous avons des hauts et des bas, quelques fois plus de hauts que de bas, et parfois l’inverse, mais lorsque l’on sort de la méditation, très rapidement, si ce n’est instantanément, nous sommes littéralement happé par nos émotions et nos pensées et souvent les plus basses, soit manger, sexuelles, dormir, aller au toilette, ne pas oublier l’heure et les commissions pour le repas du soir, happé… !!!
Des dizaines d’années de pratique de la méditation qui sont balayées en une fraction de seconde.
Comment faire alors… ?
Il y a le dzogchen. Le dzogchen nous parle de la vue et de rigpa qui est synonyme d’éveil.
La vue, qu’es-ce donc ?
La vue pour certains c’est, il n’y a rien a faire, c’est la manière dont est quelques fois présenté le dzogchen. Mais ne rien faire c’est très difficile, en fait ce n’est pas ne rien faire, plutôt que de laisser les événements à leur place, sans rien surajouter.
Par exemple, une pensée ou une émotion s’élève, eh bien dans la vue dzogchen, nous laissons cette pensée ou cette émotion là où elle se trouve, jusqu’à, comme l'exemple du nuage, qu'elle se dissolve dans l'espace et disparaisse d’elle-même.
Cela se fait en restant immobile, en portant notre regard dans l’espace devant nous où dans le ciel, la pratique est de littéralement se fondre à l’espace, faire un avec l’espace, soit redécouvrir, par dévoilement que l’on est en fait espace.
Cette approche est très directe et très prégnante, elle nous permet de dépasser la notion de temps en méditation et l’ensemble des autres moment où l’on est en post-méditation, si bien qu’en fin de compte, l’on arrive à pouvoir demeurer tout le temps dans la vue et la vue étant rigpa et rigpa étant synonyme d’éveil, l’on devient alors éveil.
Pour ma part, cela fait bien longtemps, avant même que j’aie pris les vœux de bodhisattva, j’avais le souhait ou l’envie, de pouvoir amener tous les êtres à l’éveil, et pas seulement les personnes qui s’étaient engagées sur la voie que nous proposait Bouddha.
Si je suis bien incapable de vous donner la solution, c’est là pourtant que j’ai mis au point une nouvelle approche, soit au lieu de partir du matériel que nous avions en nous comme les pensées et les émotions qui se trouve être la carapace autant que l’égo lui-même, de partir également de ce que nous sommes, mais pas du point de vue du matériel des pensées et des émotions, mais du point de vue de ce que nous sommes réellement, soit la base incréée et non née que j’ai développé sur ce site dans les deux sujets suivant que sont :
L’EXERCICE et Proposition d’un plan d’action d’élévation de notre niveau de conscience, où plutôt, Proposition d’une nouvelle approche et méthode de méditation.
Je vous renvoi donc à ces deux sujets et tout en vous laissant libre de vous exprimer sur ceux-ci où ici, je vous souhaites à vous toutes et tous, un excellent dimanche.
tindzin - Dakar, le dimanche 04 mars 2018 - 11:11
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