Sur la colère
Amour et compréhension – Enseignements sur l'amour – Thich Nhat Hanh.
Le Bouddha a posé la question suivante :
« Comment la colère peut-elle surgir en quelqu'un qui n'a pas de colère ? »
La cause première de la colère est la graine de colère en soi-même. Deux personnes peuvent entendre les mêmes paroles et voir la même chose, mais seule l'une d'elles se mettra en colère. Les paroles et les événements ne font que stimuler ce qu'il y a en nous. Si il n'y avait pas de graine de colère dans notre conscience du tréfonds, la colère ne pourrait pas surgir.
Nous devons commencer par maîtriser notre colère avant de pouvoir aider les autres à faire de même. Lorsque les flammes de la colère s'embrasent, nous avons tendance à nous en prendre à ceux qui ont arrosé nos graines de colère. C'est comme si l'on retrouvait sa maison en feu et qu'au lieu d'éteindre l'incendie, on se lançait à la poursuite des incendiaires. Se disputer avec les autres ne fait qu'arroser les graines de colère en nous. Lorsque la colère surgit, retournez en vous-même et prenez l'énergie de la pleine conscience pour l'embrasser, l'apaiser et l'éclairer.
Ne croyez pas que vous vous sentirez mieux si vous faites aussi souffrir l'autre. C'est une pensée dangereuse. Emporté par sa propre colère, l'autre risque de répondre encore plus durement, ce qui ne fera qu'empirer les choses. Le Bouddha a enseigné que lorsque la colère surgit, mieux vaut fermer les yeux et les oreilles, retourner en sois-même et s'occuper de la source de colère en soi. Transformer sa colère n'est pas une simple affaire de libération personnelle. Tout ceux qui vous entourent, même ceux qui sont plus éloignés, bénéficieront de vos succès dans la pratique.
Le Bouddha a donné une liste de sept raisons pour lesquelles il est préférable de laisser passer la colère :
1) La colère nous rend affreux. Si au moment ou l'on se met en colère on se regarde dans le miroir, on fera quelque chose pour avoir l'air plus beau. Ce petit poème peut nous aider dans notre pratique :
« Sachant que la colère me rend affreux,Je souris.Je reviens en moi-même.Et médite sur l'amour ». 2) La colère nous fait souffrir. On souffre deux fois plus, comme une crevette « grillée des deux côtés ».
3) On est incapable de s'épanouir.
4) On ne peut prospérer matériellement ou spirituellement. Quand on est en colère, on perd toutes les richesses et le bonheur que l'on pouvait avoir.
5) On est réputé pour sa colère.
6) On perd ses amis, parce qu'ils craignent que la bombe qui est en nous les fasse exploser.
7) On devient des fantômes affamés, incapables de prendre part à une Sangha pleine de fraîcheur et de joie.
Quand vous êtes en colère, votre visage ressemble à une bombe prête à exploser. Fermez les yeux et les oreilles et retournez en vous-même pour éteindre les flammes. Souriez, même si cela vous coûte. Un sourire détend des centaines de petits muscles sur notre visage et nous rend plus beaux.
Asseyez-vous là où vous vous trouvez et regardez profondément. Si votre concentration n'est pas suffisamment forte, vous pouvez aller faire une méditation marché dehors. Le plus important est d'arroser la graine de pleine conscience pour qu'elle se manifeste dans votre conscience mentale.
La pleine conscience est toujours la pleine conscience de quelque chose, tout comme la colère est toujours la colère au sujet de quelque chose. Quand vous buvez un verre d'eau en étant conscient que vous buvez un verre d'eau, c'est la pleine conscience de boire de l'eau. Dans le cas qui nous occupe, on produit la pleine conscience de la colère :
« J'inspire et je sais que je suis en colère. J'expire et je sais que la colère est en moi ». C'est d'abord l'énergie de la colère qui surgit, puis celle de la pleine conscience. Cette deuxième énergie embrasse la première afin de l'apaiser et de l'atténuer. On ne produit pas la pleine conscience pour chasser ou combattre la colère, mais pour en prendre soin. Cette méthode est non dualiste et non violente. Elle est non dualiste dans le sens où elle reconnaît que la pleine conscience comme la colère sont toutes deux présentes en nous. Une énergie embrasse l'autre. Ne soyez pas en colère contre la colère. N'essayez pas de la chasser ou de la supprimer. Reconnaissez qu'elle s'est manifestée en vous et prenez-en soin. Quand votre estomac vous fait mal, vous ne vous mettez pas en colère contre lui. Vous en prenez soin. Quand une mère entend son bébé pleurer, elle interrompt ses activités pour prendre son bébé dans ses bras et le réconforter. Puis elle essaie de comprendre la raison de ses pleurs, peut-être une gêne physique ou émotionnelle.
Regardez profondément votre colère tout comme vous vous occuperiez de votre enfant. Ne la rejetez pas, ne la haïssez pas. La méditation, ce n'est pas se retrouver sur un champ de bataille où deux parties sont en conflit. La respiration consciente apaise la colère , puis la pleine conscience vient la pénétrer. Quinze minutes après avoir mis le chauffage en route, l'air chaud envahit la pièce froide et une transformation a lieu. Vous n'avez pas besoin d'écarter ou de réprimer quoi que ce soit, pas même votre colère. La colère n'est qu'une énergie qui peut être transformée, comme toues les énergies. La méditation est l'art d'utiliser une sorte d'énergie pour en transformer une autre. Lorsqu'une mère prend son enfant dans ses bras, l'enfant ressent aussitôt l'énergie d'amour et de bien-être et il éprouve un soulagement immédiat. Même si la cause de son malaise est toujours présente, le fait d'être tenu en pleine conscience dans les bras de sa mère suffit déjà à l'apaiser.
Dans l'Anapanasati Sutta (Sutra de la Pleine Conscience de la respiration), le Bouddha enseigne :
« J'inspire, je calme les activités de mon esprit en moi ». L'expression « les activités de l'esprit » désigne tout état émotionnel ou psychique, telles la colère, la tristesse, la jalousie ou la peur. En inspirant et en expirant en pleine conscience, vous embrassez et calmez cet état mental. Dés l'instant où vous voyez que la colère surgi en vous, vous faites naître la pleine conscience pour embrasser la colère. Au bout de dix minutes, l'intensité de la colère diminuera et la pleine conscience révélera beaucoup de choses. Après avoir pris son bébé dans ses bras pendant quelques minutes, en lui chantant peut être même une berceuse, la mère cherchera la cause de son malaise. Le bébé a peut-être pris froid, à moins qu'il n'ait de la fièvre, que sa couche soit trop serrée ou qu'il n'ait soif. Dés que la mère trouve la cause des pleurs de son bébé, elle peut transformer la situation. Il est important de remonter à la racine du problème. C'est la pratique du regard profond.
« J'inspire et je sais que je suis en colère. J'expire et je sais que la colère est en moi ». Vous commencez par pratiquer la reconnaissance :
« Je te salue, colère, ma vieille amie. » Puis vous pratiquez le regard profond pour en connaître la source :
« Pourquoi suis-je en colère ? ». La première chose que vous découvrirez, c'est que votre souffrance a des racines dans votre conscience du tréfonds, dans des graines qui sont déjà là, des graines de colère, d'illusion, de fierté, de suspicion ou d'avidité. L'autre personne n'est qu'une cause secondaire. La prochaine chose que vous verrez, c'est que l'autre souffre aussi. Vous pensiez peut-être être le seul à souffrir, mais ce n'est pas le cas. Si quelqu'un déverse ce genre de souffrance sur vous, vous savez qu'il souffre. Cette compréhension fait naître l'amour en vous et vous voudrez aider. La compréhension est la clé.
Grâce à la pratique de la pleine conscience, votre colère retourne à la conscience du tréfonds. La prochaine fois qu'elle surgira, pratiquez de même et cette graine de colère en vous finira par s'amenuiser. La pratique consiste à embrasser votre colère, puis, grâce à la pleine conscience, à la transformer en énergie d'amour et de compréhension.
Un jour que le Bouddha résidait au monastère dAnathapindika, dans le parc de Jeta, non loin de Sravasti, Sariputra rassembla les moines pour leur parler des cinq méthodes permettant de mettre fin à la colère et à la haine.
«
La première situation, c'est quand les actions de quelqu'un ne sont pas aimables, mais que ses paroles le sont, et qu'il nous irrite. Il y a des gens dont la vision nous est insupportable. Leur façon de se déplacer nous énerve, mais lorsqu'ils parlent, leurs paroles ne sont pas du tout offensives. Si vous vous trouvez en présence d'une telle personne, écoutez ses paroles mais ignorez ses actes. S'arrêter à ses actes fera surgir la colère, tandis que si vous restez concentré sur ses paroles, votre colère tombera. Il y avait un moine qui aimait fabriquer ses robes avec des bouts de tissu qu'il ramassait dans les dépotoirs. Chaque fois qu'il en trouvait un, même si il sentait l'urine et les excréments, il le ramassait, le ramenait au monastère, le lavait et le cousait avec d'autres morceaux pour en faire une robe. C'était difficile de le voir agir, mais en même temps ses paroles étaient aimables. Si vous vous en tenez à ses paroles et non à ses actes, la colère ne surgira pas en vous.
La deuxième situation est celle d'une personne qui parle avec beaucoup de venin, comme un serpent, mais agit avec bonté. Prêtez attention à ses actes et non à ses paroles. Non loin du village se trouve un lac profond, dont la surface est recouverte de paille, d'herbes, de feuilles, de lentilles d'eau et de brindilles. A ce moment-là une personne torturée par la soif et la chaleur s'approche. Elle laisse ses vêtements au bord du lac et plonge écartant de ses deux bras la paille, les herbes, les feuilles, es lentilles d'eau et les brindilles pour rendre l'eau claire et savourer la baignade. Ce serait dommage de se priver de la fraîcheur du lac juste à cause de la paille, des herbes, des feuilles, des lentilles d'eau et des brindilles.
La troisième situation est celle d'une personne dont les actes et les paroles sont tout deux désagréables. Observez bien cette personne et essayez de lui trouver des qualités positives, m^me si elles ne sont pas apparentes immédiatement. Tout le monde a des qualités positives. Cette pratique est plus difficile mais pas impossible. Imaginez un homme au bord de l'épuisement, mort de soif après avoir parcouru plusieurs centaines de kilomètres à pied. Il arrive à un carrefour où se trouve une empreinte dans le sol formée par un buffle d'eau, dans laquelle un peu d'eau de pluie stagne encore. Cet homme se dit :
« Si j'essaie de prendre un peu d'eau dans une feuille, l'eau risque de se renverser. Je vais me baisser et boire directement à la flaque ». L'homme s'est alors senti désaltéré et il a pu poursuivre sa route. Il faut pratiquer le regard profond pour trouver des qualités positives à ceux dont les paroles et les actes sont peu aimables. Si on en trouve une, on pourra alors tout accepter. Bien que cette situation soit plus difficile que les deux premières, un sage devrait se défaire de son aversion pour de telles personnes.
La quatrième situation est celle d'une personne dont aussi bien les actes que les paroles et les pensées sont négatives. Sur une route de campagne perdue, un voyageur s'effondre, épuisé, sachant qu'il va mourir. Le dernier village est déjà loin, il n'a personne pour lui porter secours et très peu de chances de survivre. C'est alors qu'un autre voyageur apparaît. Voyant cet homme désespéré, étendu au bord de la route, il s'arrête, le cœur empli de compassion. Il aide l'homme à se relever et le soutient pas à pas jusqu’à un village le plus proche. Puis le voyageur lui trouve un médecin et reste avec lui pendant trois ou quatre semaines, le temps qu'il se remette sur pied. Le voyageur se réjouit de la guérison de l'homme. Lorsqu'on rencontre quelqu'un dont les actes, les paroles et les pensées sont peu aimables, on peut être certain que cette personne souffre énormément. Si nous ne l'aimons pas, si nous ne l'aidons pas, qui d'autre le fera ? Si notre cœur est ouvert à l'amour et à la compassion, nous serons capables d'accepter ceux dont les actes, les paroles et les pensées ne sont pas aimables.
La cinquième situation est celle d'une personne dont les actes sont aimables, de même que ses paroles et ses pensées. Non loin d'un village se trouve un très beau lac remplis de fleurs de lotus roses et blanches au parfum délicieux. Sa rive est couverte d'herbes verte et douce, ses quatre côtés sont ombragés par des arbres luxuriants ou viennent chanter les oiseaux et voleter les papillons. Un vrai paradis. Si vous vivez à proximité d'un aussi beau lac sans profiter de sa présence, sans venir vous asseoir sur ses rives, vous y baigner, boire son eau limpide dans vos mains, vous ne savez pas comment vivre heureux. Quand vous rencontrez quelqu'un dont les actes, les paroles et les pensées sont aimables et bienveillantes, vous devez passer du temps à ses côtés.
Il est important de regarder profondément la souffrance des autres. Quelqu'un dont les actes sont malveillants, les pensées néfastes et les paroles déplaisantes souffre certainement beaucoup. Si vous regardez profondément et que vous voyez la souffrance, votre cœur s'ouvrir et la clé de la compréhension s'ouvrira d'elle même. Dans notre société, il y a beaucoup de gens qui ont été maltraités dans leur enfance et qui continuent de souffrir toute leur vie. La peur et la haine qui les habitent ne cessent jamais et ils ont peu d'estime pour eux-mêmes. Si ces personnes pouvaient apprendre à regarder la souffrance de leur agresseur, si elles pouvaient voir la source des maltraitances qu'elles ont subi, si elles pouvaient voir que leurs agresseurs sont prisonniers de leur esprit souillé par la colère, l'attachement et les illusions, leur cœur pourrait s'ouvrir et leur peur et leur haine diminuer peu à peu.
Il y a quatre ans, un jeune homme qui était très en colère contre son père est venu au Village des Pruniers. A ce moment-là, les résidents pratiquaient la méditation de l'amour et écrivaient des lettres aux personnes avec qui elles avaient des difficultés. Il y a un exercice dans le livre
Un lotus s'épanouit qui consiste à méditer sur l'enfant de cinq ans qui est en soi :
« Me voyant comme un enfant de cinq ans, j'inspire. Souriant à l'enfant de cinq ans, j'expire ».Cet enfant de cinq ans est toujours en vous. Il a peut être beaucoup souffert mais si vous réussissez à entrer en contact avec lui, votre cœur sera rempli de compassion.
Un enfant de cinq ans est très vulnérable ; il peut être blessé facilement. Il y a tant de parents qui élèvent leurs enfants sans pleine conscience. Ils déversent toute leur douleur et toute leur colère sur eux si bien qu'à l'âge de cinq ans, l'enfant est déjà plein de peur et de chagrin. Et quand il essaie d'exprimer ses sentiments à ses parents, ces derniers n'ont pas la capacité d'écouter. Un si jeune enfant ne sait pas expliquer sa souffrance. Tandis qu'il cherche ses mots, sa mère l'interrompt ou se met à crier. Un tel langage est comme de l'eau glacée qu'on déverse sur un cœur tendre. L'enfant ne fera peut être plus jamais confiance à ses parents et la blessure sera profonde. Les parents répètent sans arrêt de tels actes, jusqu'au jour ou le lien avec leur enfant finit par être atteint. La cause en est le manque de pleine conscience. Si un père ne sait pas comment contrôler sa colère, il peut en arriver à se couper de toute communication avec son fils et le fils pourra en souffrir toute sa vie, de sorte qu'il sera lui-même incapable de communiquer avec ses professeurs, ses amis, et plus tard avec son propre fils.
J'ai demandé au jeune homme de méditer sur lui à l'age de cinq ans pendant une semaine, puis je lui ai donné l'exercice suivant :
« J'inspire, je vois mon père à l'âge de cinq ans. J'expire, je souris à mon père à l'âge de cinq ans. »Nous avons tous une image de notre père adulte, mais nous oublions qu'il a été un jour un petit garçon dont les sentiments pouvaient être blessés facilement. Je vous en prie, pratiquez cette méditation. Si cela peut vous aider, essayez de trouver une photo de votre père à l'âge de cinq ans. Vous verrez que votre père porte des blessures en lui comme vous. En pratiquant ainsi, vous devenez votre père.
Dans ses enseignements sur les 4 États illimités, le Bouddha utilisait le terme
sabbattataya, qui signifie « être un avec tout ». Vous devenez un avec l'objet de votre contemplation, et dans ce cas vous devenez votre père. Si vous regardez profondément, vous comprendrez que lorsqu'il était enfant de cinq ans, votre père a été profondément blessé par le comportement cruel des autres. S'il a été blessé dans son enfance et qu'il n'a jamais appris à transformer ses blessures, il n'y a rien d'étonnant à ce qu'il ait infligé sa souffrance aux autres, dont vous. Son propre enfant est devenu une victime de sa souffrance, de même qu'il était lui-même une victime de la souffrance de ses parents.
Le jeune homme plaça une photo de son père sur la table de la chambre qu'il occupait au Village des Pruniers. Chaque fois qu'il entrait dans la pièce, il regardait son père dans les yeux, cherchant à connaître l'homme qui avait été un tel étranger pour lui. Il souriait et éprouvait de la sympathie pour son père qui avait souffert dans son enfance. Avant de quitter la pièce, il regardait à nouveau la photo de son père et respirait en pleine conscience.
Un jour, il a écrit une lettre à son père qui était déjà mort. En écrivant cette lettre, son cœur s'est soudain ouvert et il a senti qu'un lourd fardeau venait de le quitter. Il avait vu la souffrance de son père et lui avait pardonné. L'amour et la compassion étaient devenus des énergies authentiques en lui et son désir de se réconcilier avec son père n'avait rien de superficiel. Le poison de la colère s'était dissous. Cette méditation ressemble beaucoup à celle offerte par Sariputra. Si l'on regarde profondément la souffrance d'une personne et que l'on en comprend les sources, la porte de l'amour et de la compréhension peut s'ouvrir.
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