Deuxième partie
« Et comment un pratiquant demeure-t-il établi dans l’observation du corps dans le corps ?
« Il va dans la forêt, au pied d’un arbre, ou dans une pièce vide, s’assoit les jambes croisées dans la posture du lotus, le corps droit et établit l’attention devant lui. Il inspire, conscient d’inspirer. Il expire, conscient d’expirer. Quand il inspire longuement, il sait ” j’inspire longuement”. Quand il expire longuement, il sait ” j’expire longuement”. Quand il inspire brièvement, il sait ” j’inspire brièvement”. Quand il expire brièvement, il sait ” j’expire brièvement”.
Il utilise la pratique suivante : “En inspirant, je suis conscient de tout mon corps. En expirant, je suis conscient de tout mon corps.” : “En inspirant, je calme les activités de mon corps. “En expirant, je calme les activités de mon corps.”
Tout comme un habile tourneur sait, quand il tourne longuement : “Je tourne longuement” et sait, quand il tourne brièvement : “Je tourne brièvement”, de même un pratiquant, quand il inspire longuement, sait : “J’inspire longuement”, quand il inspire brièvement, sait : “J’inspire brièvement”, quand il expire longuement, sait : ‘J’expire longuement’ et quand il expire brièvement, sait : ‘J’expire brièvement.’
« Il pratique ainsi : ‘En inspirant je suis conscient de tout mon corps. En expirant, je suis conscient de tout mon corps. En inspirant, je calme les activités de mon corps. En expirant, je calme les activités de mon corps.’
« C’est ainsi que le pratiquant demeure établi dans l’observation du corps dans le corps – l’observation du corps intérieurement ou extérieurement, ou à la fois intérieurement ou extérieurement. Il demeure établi dans l’observation du processus de devenir dans le corps ou du processus de dissolution dans le corps, ou à la fois du processus de devenir et de dissolution. Ou bien il est attentif au fait : “Il y a ici un corps” jusqu’à ce que viennent la compréhension et la pleine conscience. Il demeure établi dans l’observation, libre, n’étant pris dans aucune considération attachée au monde. Voilà comment pratiquer l’observation du corps dans le corps, bhikkhu.
« De plus, quand le pratiquant marche, il est conscient : “Je marche”. Quand il est debout, il est conscient “Je suis debout”. Quand il est assis, il est conscient : “Je suis assis”. Quand il est couché, il est conscient : “Je suis couché”. Quelle que soit la position de son corps, il en est conscient.
« C’est ainsi que le pratiquant demeure établi dans l’observation du corps dans le corps – l’observation du corps intérieurement ou extérieurement, ou à la fois intérieurement ou extérieurement. Il demeure établi dans l’observation du processus de devenir dans le corps ou du processus de dissolution dans le corps, ou à la fois du processus de devenir et de dissolution. Ou bien il est attentif au fait : “Il y a ici un corps” jusqu’à ce que viennent la compréhension et la pleine conscience. Il demeure établi dans l’observation, libre, n’étant pris dans aucune considération attachée au monde. Voilà comment pratiquer l’observation du corps dans le corps, bhikkhu.
« De plus, quand le pratiquant va ou vient, il applique la pleine conscience à son mouvement d’allée ou venue. Quand il regarde devant ou derrière, se courbe ou se tient debout, il applique également la pleine conscience à ce qu’il fait. Il applique la pleine conscience en revêtant la robe sanghatti ou en portant le bol à aumônes. Quand il mange ou boit, mâche ou savoure sa nourriture, il applique la pleine conscience à tout cela. Quand il excrète ou urine, il applique la pleine conscience à cela. Quand il marche, se tient debout, couché, assis, dort ou se réveille, qu‘il parle ou soit silencieux, il éclaire de sa conscience tous ces actes.
« De plus, le pratiquant sur son propre corps de la plante des pieds jusqu’en haut, puis des cheveux du sommet de la tête jusqu’en bas, un corps contenu dans la peau et rempli de toutes les impuretés appartenant au corps : “Voici les cheveux, les poils, les ongles, les dents, la peau, la chair, les tendons, les os, la moelle, les reins, le cœur, le foie, le diaphragme, la rate, les poumons, les intestins, le mésentère, les excréments, la bile, le phlegme, le pus, le sang, la sueur, la graisse, les larmes, le sébum, la salive, le mucus, la synovie, l’urine.”
« Bhikkhu, imaginez un sac ouvert en haut et en bas, rempli de diverses sortes de grains : riz complet, riz sauvage, haricot mung, haricots rouges, sésame, riz blanc. Si quelqu’un doté d’une bonne vue ouvre le sac, il le passera ainsi en revue : “Voici du riz complet, voici du riz sauvage, voici des haricots mung, voici des haricots rouges, voici des graines de sésame, voici du riz blanc.” De même, le pratiquant passe en revue tout son corps de la plante des pieds aux cheveux du sommet de la tête, un corps contenu dans une couche de peau et rempli de toutes les impuretés appartenant au corps : “Voici les cheveux, les poils, les ongles, les dents, la peau, la chair, les tendons, les os, la moelle, les reins, le cœur, le foie, le diaphragme, la rate, les poumons, les intestins, le mésentère, les excréments, la bile, le phlegme, le pus, le sang, la sueur, la graisse, les larmes, le sébum, la salive, le mucus, la synovie, l’urine.”
« C’est ainsi que le pratiquant demeure établi dans l’observation du corps dans le corps – l’observation du corps intérieurement ou extérieurement, ou à la fois intérieurement ou extérieurement. Il demeure établi dans l’observation du processus de devenir dans le corps ou du processus de dissolution dans le corps, ou à la fois du processus de devenir et de dissolution. Ou bien il est attentif au fait : “Il y a ici un corps” jusqu’à ce que viennent la compréhension et la pleine conscience. Il demeure établi dans l’observation, libre, n’étant pris dans aucune considération attachée au monde. Voilà comment pratiquer l’observation du corps dans le corps, bhikkhu.
« De plus, quelle que soit la position de son corps, le pratiquant passe en revue les éléments constituant ce corps : “Dans ce corps, il y a l’élément terre, l’élément eau, l’élément feu, et l’élément air.”
« De même qu’un boucher habile ou un apprenti boucher, après avoir abattu une vache, s’assiérait à un carrefour pour la dépecer en de nombreuses parties, le pratiquant passe en revue les éléments formant son propre corps : “Dans ce corps il y a l’élément terre, l’élément eau, l’élément feu, l’élément air.”
« C’est ainsi que le pratiquant demeure établi dans l’observation du corps dans le corps – l’observation du corps intérieurement ou extérieurement, ou à la fois intérieurement ou extérieurement. Il demeure établi dans l’observation du processus de devenir dans le corps ou du processus de dissolution dans le corps, ou à la fois du processus de devenir et de dissolution. Ou bien il est attentif au fait : “Il y a ici un corps” jusqu’à ce que viennent la compréhension et la pleine conscience. Il demeure établi dans l’observation, libre, n’étant pris dans aucune considération attachée au monde. Voilà comment pratiquer l’observation du corps dans le corps, bhikkhu.
« De plus, le pratiquant compare son propre corps à un cadavre qu’il imagine jeté dans un charnier et gisant là depuis un, deux, trois jours, enflé, bleuâtre et suppurant, et il observe : “Mon corps est de la même nature. Il finira de la même manière ; rien ne peut lui éviter cet état.”
« C’est ainsi que le pratiquant demeure établi dans l’observation du corps dans le corps – l’observation du corps intérieurement ou extérieurement, ou à la fois intérieurement ou extérieurement. Il demeure établi dans l’observation du processus de devenir dans le corps ou du processus de dissolution dans le corps, ou à la fois du processus de devenir et de dissolution. Ou bien il est attentif au fait : “Il y a ici un corps” jusqu’à ce que viennent la compréhension et la pleine conscience. Il demeure établi dans l’observation, libre, n’étant pris dans aucune considération attachée au monde. Voilà comment pratiquer l’observation du corps dans le corps, bhikkhu.
« De plus, le pratiquant compare son propre corps à un cadavre qu’il imagine jeté dans un charnier, déchiqueté par les corbeaux, dévoré par les faucons, les vautours et les chacals, infesté d’asticots et de vers, et il observe : “Mon corps est de la même nature. Il finira de la même manière ; rien ne peut lui éviter cet état.”
« C’est ainsi que le pratiquant demeure établi dans l’observation du corps dans le corps – l’observation du corps intérieurement ou extérieurement, ou à la fois intérieurement ou extérieurement. Il demeure établi dans l’observation du processus de devenir dans le corps ou du processus de dissolution dans le corps, ou à la fois du processus de devenir et de dissolution. Ou bien il est attentif au fait : “Il y a ici un corps” jusqu’à ce que viennent la compréhension et la pleine conscience. Il demeure établi dans l’observation, libre, n’étant pris dans aucune considération attachée au monde. Voilà comment pratiquer l’observation du corps dans le corps, bhikkhu.
« De plus, le pratiquant compare son propre corps à un cadavre qu’il imagine jeté dans un charnier, réduit à l’état de squelette auquel adhère un peu de peau et de sang, dont les os sont maintenus ensemble par les ligaments, et il observe : “Mon corps est de la même nature. Il finira de la même manière ; rien ne peut lui éviter cet état.”
« De plus, le pratiquant compare son propre corps à un cadavre qu’il imagine jeté dans un charnier, réduit à l’état de squelette, auquel plus aucune chair n’adhère, mais encore tâché d’un peu de sang, aux os encore maintenus par les ligaments, [et il observe… etc., comme ci-dessus]« De plus, le pratiquant compare son propre corps à un cadavre qu’il imagine jeté dans un charnier, réduit à l’état de squelette, auquel plus aucune chair n’adhère, et qui n’est plus tâché de sang, mais aux os encore maintenus ensemble par les ligaments […]
« De plus, le pratiquant compare son propre corps à un cadavre qu’il imagine jeté dans un charnier, réduit à des os éparpillés ça et là – ici les os d’une main, là un tibia, un fémur, un pelvis, une colonne vertébrale, un crâne […]
« De plus,, le pratiquant compare son propre corps à un cadavre qu’il imagine jeté dans un charnier, réduit à des os blanchis, couleur de coquillage […]
« De plus, le pratiquant compare son propre corps à un cadavre qu’il imagine jeté dans un charnier, gisant là depuis plus d’un an, réduit à un amas d’os secs […]
« De plus, le pratiquant compare son propre corps à un cadavre qu’il imagine jeté dans un charnier, réduit à la poussière des os pourris et il observe : “Mon corps est de la même nature. Il finira de la même manière ; rien ne peut lui éviter cet état.”
« C’est ainsi que le pratiquant demeure établi dans l’observation du corps dans le corps – l’observation du corps intérieurement ou extérieurement, ou à la fois intérieurement ou extérieurement. Il demeure établi dans l’observation du processus de devenir dans le corps ou du processus de dissolution dans le corps, ou à la fois du processus de devenir et de dissolution. Ou bien il est attentif au fait : “Il y a ici un corps” jusqu’à ce que viennent la compréhension et la pleine conscience. Il demeure établi dans l’observation, libre, n’étant pris dans aucune considération attachée au monde. Voilà comment pratiquer l’observation du corps dans le corps, bhikkhu.
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