...de Gyétrul Jigme Rinpoche concernant le virus

Le Darmakaya n'est-il pas le chemin de la mort ?

On récolte, ce con s'aime ..

Non ce n'est pas le chemin de la mort, mais celui de l'Eveil ! 

Hum.. A ce niveau il n'est plus vraiment question de chemin mais plutôt de fruits semble-t'il. Mais pourquoi polémiquer ? On récolte ce con s'aime (Covid 19).

Je pense aussi qu on recolte ce qu on sème. C edt le kzrma apres tout.

Oui et pas n'importe lequel : C'est celui de ce con qui s'aime :-)

Fais gaffe, en répétant tout le temps la même chose , on crée du karma 

Il fait beau : Le soleil brille. Le nombre de victimes dues à la pollution va certainement diminuer cette année (40 000 en France il y a un peu moins de 10 ans). Depuis au moins Ashoka, jamais la vie n'a été autant respectée ici bas. Fin des divinités paisibles. Il faut être vraiment STUPIDES pour ne pas se rendre compte que le covid 19 est le fruit délicieux qu'attendaient les êtres sensibles de cette terre, vraiment LACHES pour ne pas le signifier, et complètement FOUS pour ne pas l'inventer :-)
Mieux comme çà ?

C est pas faux

Cette histoire fait très peur, attention, un peu dans le genre des contes de la crypte. Si vous le pouvez, prenez un coussin à portée de main pour vous cacher le visage avec quand la tension sera à son comble et intenable. C’est une histoire d’origine américaine. Mais peut-être l’auteur ne l’était-il pas car elle semble, comme vous risquez de vous en apercevoir, remonter à notre mémoire reptilienne des mites anciennes. Je ne me souviens plus du titre exact, mais c’était quelque chose comme :
LA TERRE, LE CORONAVIRUS ET LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE S’EN VONT DANS LES BOIS CUEILLIR DES FRAISES (DES BOIS).
Si Vous avez besoin d’un fond musical, pour la lire, ou la raconter, je vous suggère celui du magicien d’Oz, avec Judy Garland. Je l’ai découverte dans la première moitié des années 70 en achetant un comics, non périodique, américain à la fête du PSU, dont le président était à l’époque Rocard. La fête du PSU était vraiment un petit Woodstock à la française, mieux peut-être, bon enfant. Enfin n’exagérons rien ! C’est pas pass qu’on vivait dans l’aventure, sans casque sur les motos et avec la peine de mort qui pouvait trancher le cou de n’importe quel innocent, que nous étions moins mesquins que vous. Qui ne reluquait pas sur le joint du voisin et dans quel sens il allait tourner ou les nénés de la meuf du poteau. Bref. Il y avait un grand pré de tentes canadiennes à 1 ou 2 places avec des babas cools qui fumait ouvertement sans que cela pose problèmes. Les trips d’acids ont surement du aussi tourner, vu la déglingue de certains. Mais pas ou très peu d’héro, encore moins de coc, très très très confidentielle à l’époque et vraiment réservée aux Stones et aux mecs du XVI. Pour ainsi dire pas d’alcools dans le coin canadienne, mais beaucoup de canettes et de litre de jaja dans la foule devant la scène.
Il y avait aussi des stands où on vendait des revues politiques, des merguez et des frites, et … mon comics américain. Il avait dû être écrit fin des années 60, tout début 70, et presque surement juste après le « summer love ».
L’histoire tenait en 2 pages, pas plus, et elle était dessinée à la plume et encre de chine, avec des détails précis et réalistes.
Voilà; ça se passe à une époque ancienne où les hommes étaient encore doués d’imagination et c’est l’histoire d’un couple qui part à la conquête d’un trésor dont ils ont entendu parler.
Le mec c’est quif quif Schwartsi, dans Conan le barbare, à 101%. Cheveux longs, muscles saillants, bandala pour tenir ses cheveux longs, épée attachée dans le dos, bouclier, Conan, quoi ! Pour ceux qui auraient plutôt la culture de « Pif le chien » ou « Pif Gadget », ou qui n’ont jamais allumé la télé, on aurait pu le comparer à l’arrière, arrière, arrière, arrière-petit-fils de Rahan.
Sa meuf c’est tout pareil : Qui se ressemble s’assemble ! Wonderwoman mais pas Américaine. Plutôt russe ou scandinave, et pas avec les gadgets de m****, sado-maso, de la précédemment sus-nommée, non, une bonne épée en acier, un bouclier d’airain etc etc…
Les 2 héros, cupides, décident de partir s’emparer d’un trésor qui est sur une ile, dans le genre de l’Ile des Buttes Chaumont si vous connaissez ou le Mont St Michel sinon. Un peu entre les 2 en fait, les Buttes étant forcémént de dimensions trop minuscules pour une pareille fantaisie héroïque et le Mont St Michel, comment dire, hanté par des générations de moines et rendant toute fiction impossible ? Vous savez quoi ? Malgré les mises en garde qu’on leurs a faites sur le fameux gardien du trésor, Conan et Conane (la femme de Conan) se mettent quand même en route.
L’ile, en forme de piton, donc, est reliée au monde par un grand pont suspendu, comme le pont des suicidés aux Buttes ou le golden gate au Mont St Michel. En tous cas avec de grand filins qui supportent un tablier. C’est le principe des ponts suspendus.
Nos 2 héros, cupides, mettent pied sur le pont.
Au beau milieu du pont ils aperçoivent un genre d’ogre, massif, c’est un euphémisme, il est presqu’aussi haut que large, d’au moins 2m 50, avec une tignasse sur les yeux et une hache dans les mains.
Que crois-tu que va faire Conan ? Il se précipite ben tiens ! Et sa compagne le suit de près. La suite est indescriptible, vous avez déjà tous déjà vu les films de Tarantino, ça se termine que Conan il donne un grand coup d’épée, de gauche à droite, au milieu du ventre de l’ogre et ils se retrouvent, lui et sa compagne, avec 2 moitiés d’ogre pissant le sang sur les bras, d’un côté la tête et le torse, de l’autre le ventre et les jambes.
Nos héros, cupides, se regardent, comblés et presque étonnés, les yeux exorbités par la victoire : « On a réussi ! On a tué le gardien ! »
Et ils se précipitent sur l’autre moitié du pont vers l’ile.
Soudain, un genre de tentacule arrive dans la bulle (n’oubliez pas nous sommes dans une bande dessinée) et entoure Connane (la femme de Conan, je le répète, au cas où)). Puis la soulève et l’emporte brusquement on ne sait où. Wouah ! Qué pasa ? Conan se retourne, en garde, l’épée dégainée. 5 autres tentacules apparaissent l’enveloppent et l’emportent.
Fin de la première page.
Dans la seconde page, sur toute la page, un monstre qui fait 3 fois la taille de l’ile. Le bas de ses jambes sont ce qui semblait être le pilier du pont suspendu, ses bras les filins démêlés qui supportaient le pont. Maintenant, en se redressant et se tenant debout, il a tout rassemblé l’édifice en lui et on le voit dans toute son horreur grandiose. Il a un aspect général humain mais son visage a de la murène et ses yeux du serpent. De ses longs bras de centaines de filins assemblés, certains se balancent encore dans le vide et à l’extrémité de l’un d’eux, au milieu de sa bouche grande ouverte, on voit qu’il tient une tache minuscule, prête à être englouti dans laquelle on reconnait Conan; tandis que l’auteur de la bande dessinée lui fait prononcer ces mots :
« JE suis le gardien ! »
Moralité : Si vous n’êtes pas sages, le prochain confinement on le fera dans les tunnels du RER A !
Signé : N’importe qui à l’exception du père Fouras