Bonne rentrée!

moi , je vais commencer les miennes lol
ma fille sera à l'école et mon compagnon au boulot
chacun son tour lol

Allez courage ma p'tite Karma Trindal!!
On est de tout coeur avec toi ::31:!!!!!

Gros bisous et bonne soirée!

Ouhlà Michel, tu me demandes beaucoup, là! ::60: Il faudrait d'abord que je m'éveille moi-même!!! ::62:
Merci pour vos gentils messages!

Bonne soirée!

Je pense très fort à toi pour la rentrée ! ::47: ::49:

bonne rentrée à toi Karma Trindal ,

bonne rentrée à mon autre amie belge , elle aussi institutrice en Belgique,

bonne année à tous ces enfants qui vont retrouver leurs copains mais qui ne savent pas ce qu'ils vont apprendre ni quelles méthodes "pédagogiques" seront utilisées cette année

mon petit fils de 6 ans est tres inquiet de ne pas savoir, il est comme beaucoup.........inquiet au fond de lui car tout le monde l encourage en lui disant qu'il lira et comptera "oui , mais moi je ne sais pas grand mère !", je lui ai simplement répondue (pas trés convaincue) que l'école est justement l'endroit où "l'on apprend"

....alors qu'au fond de moi, je sais pertinemment, qu'il apprendra par coeur les bases ...mais c'est tout

concernant la culture ou tout simplement les réponses à sa curiosité toute naturelle, ce sera tout autre chose .......au risque de se voir "largué" pour cause d'ennui.

CE N EST PAS LES ENSEIGNANTS QUE JE MET EN CAUSE MAIS L EDUCATION NATIONALE QUI VEUT FORMER DE FUTURS BONS INGENIEURS ET AUTRES GRANDS COMMERCIAUX

il existe pourtant l ecole alternative qui n'a pas forcement bonne presse et pour cause mais je vous en parle pour informer celles et ceux insastisfaits qui aimeraient se renseigner sur le sujet:



FONCTIONNEMENT D UNE ECOLE ALTERNATIVE



Rôle des intervenants



Le rôle de l'élève:

• être le principal artisan de sa formation;
• faire des choix;
• assumer les responsabilités qui s'y rattachent;
• gérer son temps;
• organiser son travail;
• dépasser son connu;
• s'impliquer dans la vie du groupe;
• devenir une ressource dans son milieu.

Le rôle de l'enseignant:

• questionner, outiller, soutenir et stimuler l'enfant dans le processus d'apprentissage;
• gérer avec les élèves toutes les composantes de la vie de la classe;
• offrir à chaque enfant une attention particulière;
• évaluer le cheminement personnel avec l'enfant et lui proposer des pistes de développement;
• établir une relation de soutien ou d'aide auprès de l'enfant et du parent.

Le rôle de la direction:
• maintenir une gestion participative et ce, à tous les niveaux de l'école;
• participer à la coordination des comités;
• établir une relation de soutien ou d'aide auprès de l'enfant, du parent et ou de l'enseignant;
• s'intégrer aux activités de perfectionnement;
• collaborer à la création des outils de travail des enseignants;
• être attentive aux besoins des enseignants;
• promouvoir le projet de l'école et diffuser les informations pertinentes;
• participer aux diverses étapes de l'analyse du cheminement de l'école.

Le rôle du parent:
• partager la philosophie d'éducation de l'école et les valeurs qui y sont véhiculées;
• être présent à la démarche d'apprentissage de son enfant;
• s'intéresser à la vie scolaire de son enfant;
• s'impliquer à l'école dans différents comités.


Les spécialistes

Les spécialistes en éducation physique et en arts participent à cette
démarche, de même que l'orthopédagogue et les professionnels qui
oeuvrent au sein de l'école.

Tous les rôles des différents partenaires s'articulent dans la concertation.

j'ajouterais que dans le secondaire c'est ce qu'on appelle le "rénové" en tous cas en belgique et qu'il est très mal mis en pratique. Non pas de la faute aux instituteurs mais ils sont obligés par les inspecteurs de l'éducation (régionale, communautaires et:ou de l'état) à agir en dépit du bon sens
les instits font ce qu'ils peuvent avec les moyens qu'on leur laisse prendre( et en belgiques il n'ont pas beaucoup de marge)
gros bisous à tous les instits et à tous les maîtres d'école pour qui j'ai un profond respect

karma dam tcheu dadreun a écrit:j'ajouterais que dans le secondaire c'est ce qu'on appelle le "rénové" en tous cas en belgique et qu'il est très mal mis en pratique. Non pas de la faute aux instituteurs mais ils sont obligés par les inspecteurs de l'éducation (régionale, communautaires et:ou de l'état) à agir en dépit du bon sens
les instits font ce qu'ils peuvent avec les moyens qu'on leur laisse prendre( et en belgiques il n'ont pas beaucoup de marge)
gros bisous à tous les instits et à tous les maîtres d'école pour qui j'ai un profond respect

c est bien le sens de ma réflexion

merci de la préciser

voici une etude sur la problématique du mauvais fonctionnement de l'éducation nationale:

ADOLESCENTS
Enquête
Nationale

En partenariat avec l'Education
Nationale, Marie Choquet et Sylvie Ledoux ont réalisé,
en mai 1993, une enquête épidémiologique
sur un échantillon national de 12391 élèves
de collèges, lycées d'enseignement général
et technique et lycées professionels de l'enseignement
public, répartis dans huit académies. Cette recherche
avait pour objectifs de décrire l'état de santé
au sens large du terme de ces jeunes. Un questionnaire anonyme
a été présenté en classe en la seule
présence d'un professionnel de la santé scolaire.
Neuf thématiques étaient abordées : les
caractéristiques socio-démographiques, la scolarité,
le corps, les consommations de produits licites et illicites,
l'environnement familial et relationnel, l'image de soi, la violence,
les loisirs et enfin les interlocuteurs privilégiés
en matière d'éducation pour la santé.

DONNEES
GENERALES...
L'échantillon étudié
est représentatif des 5,8 millions de jeunes scolarisés
dans les établissements du second degré de l'enseignement
public. Filles et garçons se répartissent de façon
équivalente sauf en lycée professionnel (prédominance
masculine). L'âge moyen est de 15 ans et 18% des élèves
étaient majeurs au moment de l'enquête. Plus des
trois quarts des jeunes sont Français, 10% sont français
d'origine étrangère et 12% sont de nationalité
étrangère. Père et mère travaillent
généralement (88% des jeunes ont un père
et 60 % une mère en activité professionnelle).
Pour la plupart, la famille est constituée des deux parents
et d'un ou deux frères et soeurs. Mais près d'un
jeune sur cinq a soit des parents divorcés ou séparés,
soit un parent décédé.

...
ET TRANCHES DE VIE




Mis à part le cinéma,
les collégiens ont globalement plus de loisirs que les
lycéens. A l'inverse, les lycéens plus que les
collégiens fréquentent les cafés, vont en
"boîte", traînent dans les rues. Les garçons
sont plus nombreux à pratiquer le sport, les filles apprécient
plus la lecture. Le réseau amical entre adolescents est
important et varié quels que soient l'âge et le
type d'établissement fréquenté.



Pour la grande majorité
des adolescents, la famille demeure un lieu de dialogue et de
communication sur leurs difficultés scolaires ou de santé.
La perception de l'ambiance familiale varie cependant en fonction
du sexe mais peu en fonction de l'âge.



Près de 88% des jeunes
interrogés se disent en bonne santé, avec cependant
quelques différences selon les académies et le
type d'établissement fréquenté. Les handicaps
physiques ou les maladies chroniques concernent moins d'un jeune
sur dix. Les accidents sont plus un état de fait masculin.
Les modifications corporelles sont naturellement importantes
à cette période de la vie. Le poids et l'image
du corps sont des préoccupations essentiellement féminines,
mais de manière générale, les jeunes surestiment
leurs problèmes pondéraux.



Une très large majorité
des adolescents interrogés déjeune et dîne
quotidiennement, mais seulement 62% font tous les jours trois
repas. Le petit-déjeuner est le repas le plus souvent
délaissé, et ce en particulier par les filles.
Si l'ensemble des adolescents mange en général
avec plaisir et appétit, les pratiques alimentaires diffèrent
selon le sexe et l'âge.



Près de neuf adolescents
sur dix, garçons ou filles, estiment avoir une bonne qualité
de sommeil, et cependant beaucoup de filles déclarent
des troubles du sommeil (difficultés d'endormissement,
réveils nocturnes ou cauchemars), qui progressent légèrement
avec l'âge.



La sexualité augmente avec
l'âge. Le plus souvent uniques avant l'âge de 14
ans, les relations sexuelles deviennent régulières
à partir de 18 ans (les jeunes des lycées professionnels
ayant une sexualité à la fois plus active et plus
régulière). La régularité des rapports
sexuels conditionne le recours à la contraception (les
préservatifs étant plutôt utilisés
lors de rapports irréguliers).

Plaintes
somatiques

La fatigue concerne environ un
adolescent sur deux ; les céphalées, les douleurs
digestives, les dorsalgies et les réveils nocturnes sont
fréquemment ressentis par un jeune sur cinq. Ces plaintes
somatiques sont plus présentes chez les filles, qu'elles
soient uniques ou multiples. L'âge accentue la différence
garçons-filles. Il n'y a aucune différence entre
zone urbaine, zone rurale et banlieue. La nationalité
affecte peu l'importance des plaintes somatiques.



La Dépressivité
Un peu plus d'un jeune sur cinq
présente des signes dépressifs et 7% ont une symptomatologie
dépressive. Les filles sont plus dépressives que
les garçons et cette dépressivité progresse
avec l'âge. Les jeunes de lycées d'enseignement
général et technique présentent plus souvent
une symptomatologie dépressive que ceux de lycées
professionnels. Globalement la dépressivité n'est
pas différente selon les zones d'habitation, ni selon
la nationalité des adolescents.


L'Usage de Médicaments
Psychotropes
Au cours de l'année, 17%
des adolescents ont pris des médicaments contre la nervosité,
l'angoisse ou pour mieux dormir. Les filles consomment davantage
que les garçons et le recours féminin au médicament
devient plus important avec l'âge, quelque soit le type
d'établissement fréquenté. L'usage n'est
pas différent selon les zones d'habitation. En revanche
il est moins important pour les jeunes étrangers que pour
les jeunes français ou d'origine étrangère.

Consommations





La consommation de Tabac
Un peu plus de deux jeunes sur
dix fument, 8% occasionnellement et 15% quotidiennement. Globalement,
garçons et filles fument dans les mêmes proportions
avec une tendance à une consommation féminine quotidienne
plus précoce. En outre, la consommation de tabac, qu'elle
soit occasionnelle ou régulière, augmente sensiblement
avec l'âge. Les jeunes ruraux sont un peu plus nombreux
à fumer que les jeunes des villes ou des banlieues. Les
élèves de lycée professionnel fument plus
que ceux des lycées d'enseignement général
et technique. Enfin les étrangers ou les jeunes d'origine
étrangère fument moins que les français.






La consommation d'Alcool
Plus de la moitié des jeunes
consomment de l'alcool, 40% occasionnellement et 12% plus régulièrement.
La bière est la boisson préférentielle,
suivie par les alcools forts et le vin. La différence
entre les garçons et les filles est notable : 58% des
garçons consomment de l'alcool contre moins d'une fille
sur deux ; écart accentué quand il s'agit de la
consommation régulière. Parallèlement la
consommation s'accroît avec l'âge pour tous les jeunes,
mais de manière plus importante pour les garçons.
Les jeunes ruraux et les jeunes scolarisés dans l'enseignement
professionnel boivent plus. Les étrangers ou les jeunes
d'origine étrangère consom-ment moins d'alcool
que les jeunes Français.






La consommation de drogue
Un jeune sur sept a déjà
fait l'expérience de la drogue, 9% en ont pris moins de
dix fois, et 5% dix fois et plus. Ainsi, comparée au tabac
et à l'alcool, la drogue illicite est le produit le moins
consommé. Le cannabis vient en tête des drogues
expérimentées, soit 12% des eunes enquêtés,
la cocaïne concerne 1.1% des adolescents et l'héroïne
0.9%. Les garçons sont de plus grands consommateurs de
drogue (18%) que les filles (12%) et ce, quelque soit le type
de produit. Parallèlement la consommation s'accroît
avec l'âge, les plus jeunes étant nettement moins
consommateurs que les plus âgés. Les collégiens
consomment moins que les lycéens, qu'ils poursuivent un
enseignement général, technique ou professionnel.
Enfin, il n'y a pas de différence entre le niveau de consommation
des urbains, des ruraux ou des jeunes de banlieues, ou entre
les jeunes français et ceux d'origine étrangère.







Conduites
violentes




Les conduites violentes
Sont considérées
comme conduites violentes, le fait de participer à des
bagarres, de frapper ou de casser sous le coup de la colère
ou de faire du racket. 42% des jeunes ont occasionnellement des
conduites violentes, 19% en ont régulièrement et
2% ont fait du racket. Les garçons s'avèrent plus
violents que les filles, quel que soit l'âge des sujets.
Toutefois, la violence est la seule conduite qui diminue sensiblement
avec l'âge. Elle concerne davantage les jeunes qui vivent
en banlieue ou en ville que ceux vivant à la campagne.
Elle est également plus fréquente au collège
et au lycée professionnel et parmi les jeunes d'origine
étrangère, qu'il s'agisse des filles ou des garçons.






Les violences subies
15% des jeunes déclarent
avoir subi des violences physiques, 4% des violences sexuelles.
Les garçons lycéens sont plus souvent victimes
de violences physiques que les filles. Les violences sexuelles,
bien que rares, concernent plus les filles que les garçons,
en particulier les plus âgées.
La violence subie concerne plus
les jeunes des villes et des banlieues et ceux dont les parents
sont divorcés, séparés ou ceux dont le père
est décédé. Les violences sexuelles sont
plus fréquemment déclarées par les étrangers
que par les français, contrairement aux violences physiques.






Les idées suicidaires
et les tentatives de suicide
Ils sont 7% à avoir déjà
fait une tentative de suicide dont un quart plusieurs, 23% à
avoir des idées suicidaires, et 9% y pensent fréquemment.
La différence entre les filles et les garçons s'accentue
avec l'âge ; entre 11-13 ans et 18 ans et plus, les idées
suicidaires passent de 6% à 13% et les tentatives de suicide
de 4% à 12% chez les filles alors que ces phénomènes
restent stables chez les garçons. En zone rurale, les
jeunes n'ont pas plus d'idées ou d'actes suicidaires que
dans les autres zones d'habitation. En revanche, les idées
suicidaires et tentatives de suicide sont plus fréquentes
parmi les filles d'origine étrangère.







L'Ecole...
et l'absentéisme




Parmi les externes ou les demi-pensionnaires,
près des trois quarts consacrent moins d'une demi-heure
par jour pour aller et venir de l'école. Ils sont près
de 33% en zone rurale, contre 17% en zone urbaine à y
consacrer entre une demi-heure et une heure.






La moitié des élèves
du second degré n'a jamais redoublé, un tiers a
redoublé une fois et 16% ont redoublé au moins
deux fois.






Près de la moitié
des élèves dit aimer "beaucoup" ou "bien"
l'école, en particulier les filles, un tiers dit l'aimer
"moyennement" et près d'un élève
sur cinq dit aimer "peu" ou "pas du tout"
l'école.






Les élèves expriment
leur insatisfaction notamment par leur faible assiduité
scolaire. Ils sont 46% à avoir été en retard
ou absents de temps en temps, et 13% souvent. Les garçons
adoptent ces conduites plus souvent que les filles, les lycéens
plus que les collégiens et les élèves de
lycée professionnel plus que ceux de lycée d'enseignement
général et technique. Entre 11 et 18 ans, la proportion
de jeunes qui sont régulièrement absents passe
de 9% à 21% pour les garçons et de 6% à
13% chez les filles. L'absentéisme est plus important
chez les urbains et les jeunes de banlieues que chez les ruraux,
chez les étrangers ou ceux d'origine étrangère
que chez les français. Il concerne également davantage
les consommateurs réguliers d'alcool, de tabac ou de drogue.

A voir aussi









BIBLIOGRAPHIE
Les résultats complets
de cette enquête sont parus dans l'ouvrage suivant :




CHOQUET M, LEDOUX S. Adolescents
: Enquête nationale. Paris, Editions INSERM, 1994






CHOQUET M, ALVIN P, GALLAND O,
FRAISSE F, LEDOUX S, MARECHAL C. Adolescence : physiologie, épidémiologie,
sociologie. Paris, Editions INSERM, Nathan, 1993






BRACONNIER A, CHILAND C, CHOQUET
M, POMAREDE R. Adolescentes, adolescents : psychopathologie différentielle.
Paris, Bayard Editions, Fondation de France, 1995






CHOQUET M, NOEL G, POMAREDE R.
La santé des jeunes. Actualité et Dossier en Santé
Publique, 1995, vol. 10. (Disponible auprès du Haut Comité
de la Santé Publique - 2, rue Auguste Comte - 92170 Vanves)

floraison a écrit:CE N EST PAS LES ENSEIGNANTS QUE JE MET
EN CAUSE MAIS L EDUCATION NATIONALE QUI VEUT FORMER DE FUTURS BONS
INGENIEURS ET AUTRES GRANDS COMMERCIAUX

Ce terme d'education nationale est impropre
Jules Ferry parlait plus humblement d'instruction publique

sentez vous la difference ?
comme sentez vous la difference entre intelligence et mémoire ?
entre culture et érudition?

On ne veut pas les former on veut les formater ...

On veut maintenant faire de nos enfants de bons perroquets et de bons singes savants.
Mais surtout pas des êtres éveillés ou simplement humains.
On n'enseigne pas
A nos futurs "bons ingenieurs" que SCIENCE SANS CONSCIENCE n'est QUE RUINE DE L'AME "

à nos futurs "grands commerciaux" qu'Hermes (ou Mercure) qui était le Dieu du commerce etait AUSSI le Dieu des voleurs ...

A méditer en ce jour de rentrée

Merci Floraison

Je vous trouve bien amers et durs envers les profs..........
D'abord il n'y a pas "les profs" mais des individus souvent très différents les uns des autres,et heureusement.
J'ai la chance d'enseigner une matière où je peux mettre beaucoup d'humain,beaucoup de coeur,beaucoup d'amour déjà par le choix des textes............et j'évoque Rabelais et son "science sans conscience n'est que ruine de l'âme"..........Je n'ai pourtant rien d'un prof exceptionnel!

ni flo ni michel ne sont amers contre les professeurs djinpa au contraire
ils ont simplement peur de voir certains élèves sortir d'école dans un état déplorable

moi non plus je n'en ai rien contre les professeurs mais contre un système qui n'aide personne, ni les élèves, ni les professeurs eux même
un système qui musèle les professeurs et les empêchent de travailler correctement et pire les font travailler en dépit du bon sens (je parle surtout des secondaires, le primaire est beaucoup moins touché me semble-t-il)

Jene suis pas nostalgiste dans le mauvais sens du terme mais il n'y a que 20 ans, on aurait jamais osé manquer de respect à un professeur. Si par malheur, nous n'étions pas d'accord avec eux et que nous osions le dire et même de façon polie, nous étions déjà taxés d'arrogance

Regarde maintenant le nombre de professeurs aggressés par les élèves, les parents,...
D'accord, il y a de mauvais profs, j'en ai subit deux moi-même, mais ce n'est pas une généralité heureusement. Il existe des bons et des mauvais partout.

Mais quand tu vois certains parents qui sont persuadés que leur gamin est un vrai petit ange et que le prof a tort dans tous les cas, je m'insurge aussi. Te rends -tu compte qu'en Belgique certains professeurs ont tellement peur qu'ils n'osent même pas porter plainte pour coups et blessures tellement ils ont peur des représailles.

Combien de professeurs sont en absentéisme chronique pour dépression et qu'ils n'arrivent pas à s'en sortir tellement leur peur est grande

C'est ce que michel et flo ont voulu dénoncer, peut être de façon maladroite, vu ta réaction (tout à fait légitime aussi) mais je les connais assez pour te dire que ce n'est pas du tout une attaque de leur part vis à vis de personnes mais un questionnement qu'ils nous livrent avec articles de journeaux à l'appui qu'ils utilisent comme argumentaire.

voilà j'espère n pas avoir dénaturé les interventions de chacun et si c'est le cas je vous en présente mes excuses

Au fait , courage à tous ceux qui rentrent à l'école, élèves comme professeur et tout le personnel qui gravitent autours d'eux, qui sont sérieux; ils s'engagent dans une voie noble qu'il faut protéger et aimer

entendu au journal télévisé de RTL-TVI de 13 h aujourd'hui
numéro de téléphone vert contre les violence à l'école
que ce soit pour les élèves ou les professeurs et le personnel au complet:

0800/11211

sincerement désolé si nous t'avons causé du mal Djinpa
nous ne pensions pas si mal nous exprimer

et merci Thudie pour "ton explication de textes"

non vraiment aucun mal Michel et Floraison,c'était juste une remarque!
Je ne dis pas que le système soit parfait ,loin de là,et ces études révèlent bien de nombreux échecs mais je ne crois pas qu'une solution soit si facile à trouver......

J'ai 35 élèves dans mes classes au lycée et je pense tout simplement que je pourrais vraiment faire un accompagnement personnalisé de qualité si on divisait le nombre par deux!!!!!Mais la tendance n'est pas à l'augmentation des postes......Comme toujours c'est un problème d'argent et les profs ne peuvent que faire avec........

cqfd

Merci Michel,quel bonheur de voir le visage de P. Rabhi que j'ai pu découvrir cet été lors d'un écofestival où il a parlé de cette "expérience" pédagogique.............hélas ce n'est qu'une expérience réalisable à petite échelle et sans doute pas pour le collège et le lycée......................
Les utopies font un bien incommensurable mais je garde les pieds sur terre et doute d'une possibilité de développement de ces "alternatives"...............Si je pouvais me tromper sur ce point.......................!

Comme je te comprends Michel!!!