Nous trouvons peu de textes sur l'enfance dans les enseignements du Bouddha et encore moins sur le deuil. Par contre sur l'attachement et l'impermanence, le Bouddha a été très prolixe. Or, ce sont ces deux éléments qui structurent le processus même du deuil, c'est donc à nous à faire le lien entre ce que nous savons de l'enfance et l'éclairer avec l'enseignement du Bouddha.
On a longtemps méconnu la réalité du deuil de l'enfant. Le deuil de l'adulte a été pendant de longues décennies peu pris en compte, a fortiori celui de l'enfant qui a été peu étudié, on doutait même de sa réalité psychologique. C'était en partie lié au fait que la détresse de l'enfant soit un peu mystérieuse, parce qu'il n'a pas les mots pour communiquer son ressenti, sa souffrance. Et lorsqu'on n'a pas les mots, on essaie de les agir, de passer les mots en actes, et l'adulte ne parvient pas toujours à les décoder. L'expression du deuil de l'enfant se manifeste différemment de celui de l'adulte, puisque le processus du deuil, lui-même évolutif dans le temps, survient sur un terrain en constant changement, sans qu'il y ait de point d'équilibre stable longtemps.
Pour les parents entourant un enfant un deuil, il est primordial qu'ils prennent également soin d'eux, parce qu'il est clair qu'ils ne pourront pas prendre en compte l'enfant dans ce qu'il vit, dans ce qu'il souffre, s'ils ne prennent pas eux-mêmes en compte leur propre deuil. Comme dans un avion où les consignes de sécurité stipulent de mettre d'abord son masque à oxygène avant d'aider les personnes dépendantes de soi à mettre leur masque. C'est une attitude universelle, prendre soin de soi, assurer sa sécurité, pour être en mesure d'aider l'autre.
Autre point important pour le parent en deuil, c'est de comprendre qu'il n'est pas forcément la meilleure personne pour aider l'enfant, parce qu'il n'est pas nécessairement disponible pour l'enfant, lui-même étant pris par la résolution de son propre deuil. Il est important de trouver dans son réseau familial, oncle, tante, parrain, marraine… ou parmi les amis de la famille, une personne qui, connaissant bien l'enfant et les enjeux d'un travail de deuil, sera attentif à l'enfant, présent, disponible pour l'écouter, l'épauler et lui permettre d'exprimer sa souffrance à travers ses propres moyens d'expression.
En outre, cet accompagnement permet au parent en deuil d'être dédouané de la responsabilité d'avoir à assumer quelque chose qu'il n'est pas en mesure de faire pour l'instant, et qui rajoute de la souffrance à la mère en deuil par exemple ; se sentir une mère indigne, une mère peu attentive aux besoins de son enfant est très culpabilisant. Mettre en place un réseau pour accompagner une mère et son enfant sera d'une aide très importante. Le deuil nous rend fragile, et cette fragilité-là nous commande, nous impose d'avoir l'humilité de demander et d'accepter l'aide nécessaire.
L'enfant face à l'impermanence
Dans l'enseignement du Bouddha, il y a plusieurs étapes, on dit d'abord qu'on écoute l'enseignement, puis on y réfléchit et c'est cela qui nous permet de comprendre ce qui se passe. Dès le départ, il est important d'informer les enfants, de leur parler de la réalité des choses, et de façon complètement évidente, naturelle. Tout comme nous, adultes, nous avons été enfants, les enfants à leur tour vont devenir adultes et vont rencontrer les mêmes expériences.
Prendre soin des enfants signifie entrer en relation et expliquer les choses, dire la réalité de l'impermanence, partager notre compréhension avec eux, parce que, entendant cela, ils vont pouvoir, au moment où les difficultés vont s'élever, utiliser les outils et faire face aux différentes situations.
En tant qu'adulte face à l'enfant, il est important, occasionnellement, de parler des conditions de vie. En tibétain, on parle de "koroua" et de "sipa". "Koroua" veut dire comment les choses fonctionnent, "sipa" signifie que tout est possible, dans la vie, dans le monde, dans les situations que l'on rencontre.
Si les causes ont été créées, tout peut s'élever, aussi bien la souffrance que les joies et le bonheur, et il est important d'expliquer cela à l'enfant. Parce que si l'enfant n'a jamais entendu que tout était possible, face à une difficulté, il est très perturbé par ce qu'il rencontre, et une petite situation devient un grand problème. Alors que si on est habitué, préparé, familiarisé au fait que, dans le monde, on peut rencontrer des choses inattendues, que l'on sait que c'est cet inattendu qui fonctionne à ce moment-là, il y a une aise face aux différentes situations.
C'est important de parler de l'impermanence aux enfants, et ça paraît tout simple cette instruction-là, mais en fait, c'est quelque chose de profond, c'est partager avec les enfants ce qu'est la vie.
Le processus de deuil chez l'enfant
AVANT SIX MOIS, le concept de mort est inexistant, seules les conséquences du deuil du parent seront perceptibles. La qualité de maternage de l'enfant, à savoir les soins du corps, la façon dont la nourriture va lui être donnée, et son environnement feront toute la différence. On sait qu'une maman déprimée portant son petit enfant qui vient de naître après le décès du conjoint, par exemple, peut créer une ambiance de lourdeur, qui peut colorer d'une façon ou d'une autre la relation. Quelque chose s'imprime, s'inscrit dans la vie de l'enfant, et il est important, plus tard, lorsque l'enfant est en mesure de comprendre, de mettre des mots sur son ressenti, lui dire la réalité du deuil et de la mort expérimentée dans sa toute petite enfance.
ENTRE SIX MOIS ET DEUX ANS, le concept de mort est très abstrait pour l'enfant. Il se doute bien que quand on est mort, on ne bouge plus, on ne respire plus, mais la notion de permanence de cet état-là, et le fait de ne plus revoir le défunt, ne sont pas clairs du tout. A cet âge-là, l'enfant développe ce qu'on appelle la confiance de base. La confiance sur le fait que les moments d'absence sont suivis de moments de présence se met en place. Mais si l'enfant fait l'expérience très précocement, que s'il y a présence suivie d'une absence, puis plus rien, il peut développer l'idée que s'attacher est périlleux, et éprouver à l'âge adulte de grandes difficultés à entrer dans une relation stable à cause de cette peur de s'investir.
DE DEUX A CINQ ANS se construit peu à peu la notion de moi, de l'autre, et l'alternance présence absence est intégrée. L'enfant a été confronté à la mort des insectes, il a vu des animaux morts, il a pu voir des hommes morts à la télévision, et donc l'idée de la mort est intégrée, et la permanence de la mort le sera vers quatre, cinq ans. Ce qui peut caractériser ce temps-là, c'est ce qu'on appelle la pensée magique. Pour l'enfant, ce qu'il vit est très centré sur lui, très dépendant de lui, il pense que le monde tourne autour de son nombril, et qu'il est, d'une façon ou d'une autre, même si c'est avec des liens magiques, responsable de ce qui se passe.
Ça peut être, lorsque son grand-père meurt, et puisque l'enfant est dans son fonctionnement de toute puissance, de pensée magique, il peut se vivre comme responsable, adopter un profil bas, ne pas faire de vagues, parce qu'il a peur d'être découvert comme responsable de ce qui s'est passé.
On gagne toujours, même si l'enfant ne manifeste rien de cet ordre, à lui dire que ce n'est pas de sa faute. Aller vers lui et le lui dire, une fois ou même plusieurs fois. On retrouve ce même comportement face à la maladie. C'est important de mettre des mots sur ce qui se vit, "je suis malade, j'ai un cancer, mais tu n'y es pour rien, ce n'est pas de ta faute", et même si on a l'impression d'enfoncer une porte ouverte, parce que c'est évident qu'un enfant de deux ou cinq ans ne peut pas en être responsable.
Autre point important, l'enfant ayant une vision très égocentrique de la situation, peut penser qu'il va mourir également, c'est important d'en avoir conscience et de le rassurer, parce qu'il y a de grandes chances pour qu'il n'en dise rien et développe cette peur en silence, peur qui peut se manifester à travers la peur du noir ou de la solitude par exemple.
C'est aussi le temps pour l'enfant où il a une compréhension très littérale des mots. L'impact du choix des mots va donc être très important pour lui. Par exemple, si on lui dit "maman est partie pour un long voyage", il peut développer colère et ressentiment parce qu'elle ne l'aura pas emmené avec elle, ou bien un sentiment d'abandon, ou de culpabilité fondée sur le fait que "si maman est partie, c'est sans doute que j'ai fait quelque chose de mal…" ou bien encore l'illusion qu'elle va revenir, parce que lorsque l'on part en voyage, on revient ; ou une incompréhension de la situation, "pourquoi tout le monde pleure si elle est partie en voyage, il n'y a pas lieu d'être triste !"
Autre exemple, "Dieu a pris ton papa pour l'emmener au ciel, il avait besoin de lui", et le petit dit " mais moi j'ai besoin de lui ici, je veux mon papa !" ou bien "il va aussi me prendre, ou prendre ma maman !" "Grand-mère est morte parce qu'elle était malade", et si on ne dit rien de plus, très vite l'enfant va associer maladie et mort, et il risque de paniquer à la moindre angine. "Papa s'est endormi pour toujours" et ce sont des troubles du sommeil qui peuvent prendre place. Il est donc essentiel de développer la plus grande prudence dans les mots utilisés et une grande honnêteté, papa ne s'est pas endormi, il est mort.
A cet âge, l'enfant vit un processus de deuil et il est important de ne pas l'exclure de la vie familiale au cours des funérailles, de lui permettre d'être présent s'il le souhaite et de demander à un adulte de l'accompagner pendant ces moments. L'autoriser à poser toutes les questions, lui expliquer ce qui se passe, le rassurer, vont lui permettre d'entrer dans le deuil avec plus de facilité. Suite à la mort d'un parent, l'enfant peut avoir un comportement régressif, en n'étant plus propre par exemple, ou en refusant de s'alimenter seul. A l'inverse, le choc étant trop important, l'enfant va faire comme s'il ne s'était rien passé, il va continuer à jouer, à rire, à chanter.
Ce décalage entre la nouvelle annoncée et l'attitude de l'enfant peut générer une forme d'agressivité de la part des adultes. Derrière cette réaction très paradoxale, il y a en fait un besoin de séquencer les événements ; psychiquement, il n'est pas à même de recevoir l'intégrité de la perte et des conséquences de la perte. Il a reçu la nouvelle, et il va la digérer par petits bouts, "papa est parti, mais ça ne veut pas dire que c'est pour toujours…" Entre le moment où il est dans la détresse, où il a besoin d'être consolé et le moment où il court, joue, hurle de joie avec ses camarades, il ne se passe pas parfois une demi-heure. C'est en partie pour cela que l'adulte a pensé qu'il n'y avait pas de processus de deuil chez l'enfant, ces attitudes sont déconcertantes pour l'adulte.
Vivre le deuil pour un enfant peut prendre une autre modalité, ce sont les phases d'agressivité, expression de toute la violence ressentie d'avoir été abandonné par un parent. En fait, l'enfant est paniqué et son agressivité est une recherche inconsciente de limites, de sécurité.
DE CINQ A HUIT ANS, le concept de mort est à peu près clair, l'idée de permanence de la mort, de l'arrêt des fonctions vitales, d'irrémédiabilité, l'idée que lui aussi peut mourir sont à peu près clairs. C'est maintenant un petit être social, à cet âge on acquiert beaucoup de références sociales, de repères sociaux. C'est là que l'enfant va être beaucoup plus sensible à comment autrui réagit pour se donner un modèle sur comment il doit réagir. Il va intégrer le modèle des adultes, et s'il est dans un environnement où il y a de la place pour l'expression des sentiments, des affects, s'il y a de la place psychiquement pour le deuil, l'enfant va réagir en conséquence. Mais s'il est dans un environnement de non-dit, de non-expression des sentiments, l'enfant de la même façon aura un comportement de silence et de déni.
Les enfants de cet âge sont beaucoup plus attentifs à ce qui se passe, ils ont conscience de la souffrance des parents, et l'enfant peut mettre sa propre douleur entre parenthèses pour ne pas en rajouter. Ce peut être aussi la prise en charge de la souffrance du parent restant pour ne pas qu'il s'effondre, et l'enfant va entrer dans un rôle inapproprié, soutenir émotionnellement ce parent alors qu'il n'a absolument pas les outils pour répondre à la situation.
POUR LES HUIT A DOUZE ANS, on commence à être proche de l'adulte dans la prise en charge, dans le modèle social, dans la difficulté à reconnaître ses besoins et à les mettre en avant. Il est important de se rappeler que l'enfant ne se permettra que ce que l'adulte se permet à lui-même et que ce que l'adulte permet à l'enfant.
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