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Danses sacrées du Tibet : Le Tcham
Le tcham, ses accessoires, sa musique et son déroulement
Le propos du spectacle des moines danseurs du TibetIl s’agit de présenter le Tcham en tirant parti de la technique scénographique moderne afin de rendre accessible au public toute sa dimension de mystère spirituel, sans pour autant dénaturer, édulcorer ou moderniser cet art plus que millénaire.
Les moines danseurs sont des Lamas qui effectuent chaque jour des prières et des méditations leur permettant de garder intacte la pureté de leur pratique spirituelle.
Si traditionellement ces danses s’inscrivent au sein de cérémonies qui durent des jours et des nuits, leur présentation sur une scène occidentale pour une durée d’une heure quinze n’en fait pas, loin de là, un spectacle folklorique, mais un simple raccourci possédant à l’identique la force et l’essence du Tcham.
Par les formes, les couleurs, les sons, les masques, les costumes et les symboles, le Tcham a pour objectif de faire croître en l’homme son intériorité et de l’amener ainsi à se libérer de la souffrance occasionnée par les émotions.
Les danses sacrées sont donc par elles-mêmes visuellement très puissantes. La mise en oeuvre des moyens techniques ne cherche donc pas à satisfaire les goûts d’un public nourri d’effets spéciaux, mais vise à créer un "écrin" dans lequel les danseurs vont évoluer et faire entrer le public dans l’univers magique du Tcham.
Les danses sacrées du Tibet sont l’expression d’un partage spirituel mais aussi le témoignage d’un peuple qui après avoir subi un génocide humain vit aujourd’hui un génocide culturel. Ces danses, incursion dans le monde sacré des moines, nous permettent de découvrir une facette passionnante de la culture tibétaine, nous permettent de comprendre, comme le dit souvent le Dalaï-lama, que si le Tibet n’a pas de pétrole pour les voitures, il a du pétrole pour l’esprit ! Sa culture est encore vivante ; elle n’est pas seulement l’héritage de quelques six millions de Tibétains, mais fait partie intégrante du patrimoine mondial qu’il nous appartient de préserver.
Ce spectacle entend créer un temps de confluence des cultures, dans laquelle la technique occidentale se mêle à l’art et à la sagesse de l’Orient.
Accessoires et techniquesLes masquesLa fabrication des masques est réalisée par des artistes dont l’habileté a été particulièrement remarquée. Comme dans toutes les traditions d’art, c’est un maître qui en a transmi à son élève les règles.
Sengué, le sculpteur qui réalise les masques du monastère de Shechen, est né au Bhoutan, petit royaume de l’Himalaya, dans une famille de sculpteurs. Son frère ainé, passé maître en cet art, l’enseigne dès l’âge de 15 ans. C’est à base d’images, de copies, en reproduisant l’autre moitié d’un masque dont la première a été réalisée par son frère, que Sengué perfectionne son art.
Il est désormais installé au Népal où lui même devenu maître, enseigne à d’autre l’art du masque et des statues. Il dirige de nombreux chantiers dans des monastères et se déplace ainsi que le faisaient autrefois les bâtisseurs du Moyen-Age.
Pour réaliser un masque, Sengué commence par faire un moule en argile et papier de riz. Ensuite il y coule de la cire, qu’une fois démoulée il recouvre de morceaux d’étoffes croisés et collés. Il en met sept couches puis recouvre le tout d’un mélange très fin de sciure et de colle. Enfin, après l’avoir poli selon les critères imposés, il les peints et leurs donne toute leur expression.
Cet art n’est pas simplement une expression de sa créativité, mais plutôt une volonté d’instruire et de transmettre un message relié à une pratique spirituelle.
En effet dans la tradition Tibétaine, un artiste de renom n’est pas vénéré pour sa créativité ou son art, mais pour sa connaissance et pour la justesse avec laquelle il retransmet la tradition. Il serait contraire à son éducation qu’il puisse tirer gloire de sa renommée.
Les costumesLes habits faits de brocards et d’or, revêtus de symboles, ont été entièrement réalisés au Monastère par un moine déjà bien âgé à qui Khyentsé Rinpoché demanda il y a quelques années de réaliser une coiffe de cérémonie. Il n’avait jusqu’alors jamais pratiqué la couture, du moins à ce niveau. La coiffe fut si réussie que ce moine fut désormais chargé de réaliser toutes les tenues et bannières utilisées lors des cérémonies. C’est ainsi qu’il a taillé tous les costumes du Tcham.
Lorsqu’on lui demande s’il apporte sa touche personnelle ou sa propre vision, il répond :
"On ne doit qu’appliquer la tradition. Les vêtements usuels ont une fonction qui évolue avec les besoins des hommes ou suivent une mode. Les costumes du Tcham sont eux, codés suivant une tradition issue des visualisations des Maîtres au cours de leurs méditations. Ils ont un sens qui reste le même de génération en génération. Ce sens n’a pas changé".
Les sons et leurs instrumentsLes sons accompagnant le Tcham, au même titre que pour les autres composantes de ces Danses Sacrées, participent d’un art dont les notes, les expressions, les intensités sont, non seulement rigoureusement codifiées, mais porteuses d’une signification précise.
On peut en distinguer deux catégories :
- Les prières chantées et les mantras
- Les instruments de musique.
Selon les enseignements bouddhiques, la vie de tous les jours et les pratiques spirituelles qui visent à la transformer, mettent en oeuvre le corps, la parole et l’esprit. Les exercices physiques ainsi que la méditation sur des objets formels ont pour but de purifier et de transformer le corps ainsi que notre perception du monde. La méditation sur l’esprit vise elle à le libérer du joug des émotions. Quant aux chants et récitations de mantras, ils servent à transformer notre perception des sons et correspondent aussi à la Parole du Bouddha.
De façon ultime, les exercices du corps et de la parole ont pour objet la transformation de l’esprit.
C’est ce qu’indique l’étymologie même du mot mantra : ce qui protège l’esprit. En effet, la récitation de ces formules sacrées protège l’esprit de la distraction et des facteurs qui obscurcissent cet esprit (désir, haine, ignorance) et sont la cause des souffrances.
Les chants et leur mélodie, peuvent être également considérés comme une offrande. Cette offrande permet une relation plus intime avec l’Eveil du Bouddha, qui n’est autre que la nature profonde de l’esprit.
Parmi les instruments de musique utilisés dans les danses sacrées, on distingue ceux qui sont attribués personnellement au moine comme supports de sa pratique spirituelle : La cloche (Rilbu), symbolisant la sagesse - vacuité, le sceptre (Dorje) symbolisant la compassion - méthode, et le petit tambour (Damaru) symbolisant l’union des deux.
Ensuite on trouve les instruments joués par les musiciens.
- Les instruments à vent toujours utilisés par paire :
Les Hautbois(Gyaling)
Les longues trompes (Doungtchen)
- Les percussions :
Le Gong
Les tambours à long manches (Nga)
Les cymbales (Rolmo et Phossang)
Les musiciens suivent un apprentissage rigoureux afin qu’ils soient à même de jouer durant les longues cérémonies, parfois en plein air et toujours dans un style parfaitement pur.
Le SpectaclePrésentation et explications par Matthieu RicardMatthieu Ricard est né en 1946. Après un doctorat en génétique cellulaire,sous la direction du prix Nobel François Jacob, il s’installe en Inde et au Népal, pour se consacrer au bouddhisme Tibétain et, après plusieurs années d’études auprès de grands maîtres, devient moine.
Interprète personnel du Dalaï Lama en français, Matthieu Ricard a notamment publié Le Moine et le Philosophe( Nil) livre de dialogue avec son père Jean François Revel, L’Esprit du Tibet (Seuil), récit et photographies sur son maître Dilgo Khyentse Rinpotché, et, aux éditions Albin Michel, Moines Danseurs du Tibet, livre de photos et textes sur les danses sacrées du Tibet.
Il publie en mai 2000 aux éditions Nil, L’infini dans la paume de la main, du Big Bang à l’Eveil, en compagnie de Trinh Xuan Thuan (astrophysicien auteur de la Mélodie Secrète et le Chaos et l’Harmonie, ed. Fayard).
1 - Sérkyém
Les danseurs, portant une large coiffe noire surmontée d’un soleil et d’une lune, arborant un miroir d’argent sur la poitrine, vêtus de brocarts, parés d’écharpes multicolores, portant un tablier noir brodé d’un visage terrible, brandissent une coupe d’argent et font une offrande aux déités pacifiques et terribles afin qu’elles écartent les obstacles sur le chemin de la libération.
Gong - Courtes trompes (Kangling) - Grandes cymbales (Rolmo) - Tambour (Nga)
Longues trompes (Doungtchén) - 8 danseurs
2 - Dourdag
("Les maîtres des cimetières"). Quatre danseurs masqué de tête de mort et vêtus de costumes multicolores, apportent une effigie qui représente l’attachement à l’ego, et entament autours d’elle une danse virevoltante. Au cours du tableau suivant, un cerf "libérera" cette effigie au sein de la vérité absolue. L’Atsara vient apporter sa note d’humanité.
Cymbales (Rolmo) -Courtes trompes (Kangling) -Tambour (Nga) - 4 Danseurs - 1 Atsara
L’Atsara, personnage familier et ludique très apprécié des tibétains est à la fois, le bouffon, le clown et le fou divin. Son rôle multiple loin de détruire l’atmosphère enchantée des danses, leur apporte un aspect concret qui renforce paradoxalement la magie créée par les danseurs sacrés.
3 - Shawa
"Danse du Cerf". Un danseur au visage de cerf accomplit une danse sacrificielle qui anéantit l’effigie, symbole de l’attachement à l’ego. Il est dit que Gourou Padmasambhawa vit un jour l’esprit du dieu du vent, monté sur un cerf qui ravissait l’esprit des gens et les distrayait de l’objet de leur concentration. Gourou Padmasambhawa réduisit cet esprit à sa merci, monta le cerf et lui fit promettre de protéger les êtres en anéantissant les forces du mal qui sont la cristallisation de l’ignorance.
Cymbales (Rolmo) - Tambour (Nga) - Longues trompes (Doungtchén) - Officiant du rituel - 1 danse
4 -Dorje Droleu
(Aspect courroucé de Padmasambhava) La plus étonnante des Manifestations du Bouddha Tibétain danse d’abord seul, puis accompagné d’un enfant, sans masque et dans la sobriété du costume monastique. Il subjugue les forces négative pour permettre la perpétuation de la tradition.
Cymbales (Rolmo) - Tambour (Nga) - Longues trompes (Doungtchén) - 2 danseurs
5 -Tchinbép
("la pluie de bénédiction"). Six dakinis (principe féminin associé à la sagesse) invoquent, par des danses et des moudras (gestes rituels), les bénédictions des Bouddhas et des Bodhisattvas, et plus particulièrement de Gourou Padmasambhawa.
Hautbois (Gyaling) - Cymbales (Rolmo) - Tambour (Nga) - 8 danseurs
6 - Patcham
("danse des héros"). Une danse acrobatique et virevoltante inspirée d’une vision du paradis de Gourou Padmasambhawa que le grand maître Péma Lingpa eut au XVème siècle.
Cymbales bhoutanaises (Phossang) - Tambour (Nga) - 6 Danseurs
7 - Tsoklén
Les danseurs libèrent les forces négatives au sein de l’espace infini de la vérité absolue, dans une danse qui prépare à la fête rituelle du ganachakra (cérémonie d’offrandes destinée à parfaire l’accumulation de mérites et de sagesse nécessaires pour atteindre l’éveil).
Cymbales (Rolmo) - Tambour (Nga) - Longues trompes (Doungtchén) - 6 danseurs - 1 Atsara
8 - Gings
(danse des êtres célestes). Les dakas et les dakinis entourent Gourou Padmasambhawa dans son paradis de Sangdopalri, la Glorieuse Montagne Couleur de Cuivre. Les dakas masculins, vêtus d’une peau de tigre et les Dakinis féminines (littéralement "celles qui marchent dans le ciel"), vêtues de peaux de léopards, viennent recueillir leur part du festin spirituel.
Cymbales (Rolmo) - Tambour (Nga) - Longues Trompes (Doungtchén) - 8 danseurs - 1 Atsara
9 - Solo de Doungtchen (trompes)
A la fin du spectacle, les musiciens et les danseurs chantent ensemble une prière mélodieuse adressée à Gourou Padmasambhawa.
Source:
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