Lorsque l'on médite, des obstacles apparaissent. Ce sont des empêchements ou nivaranas en pali. Ils sont au nombre de cinq.
Le Bouddha compare ces empêchements à l'état de l'eau. Quelqu'un veut voir son visage se refléter à la surface de l'eau et il constate que l'eau est altérée et qu'il lui est impossible de reconnaître son propre visage. Ceci est l'image d'un homme qui cherche la connaissance de soi, la connaissance du bien-être pour lui-même et du bien pour les autres.
Le premier empêchement est le désir pour le plaisir des sens
Le bouddha dit : « l'homme qui regarde son image à la surface de l'eau comme dans un miroir, dans une eau dont on a changé la couleur, à laquelle on a ajouté de la couleur ». L'homme n'est pas capable de reconnaître son propre visage car l'eau a été altérée par la couleur.
Un esprit qui essaie de trouver le calme n'y parvient pas car il y a dans cet esprit un désir pour toutes sortes d'expériences sensorielles : des sons harmonieux, des odeurs agréables, des pensées intéressantes. Toutes sortes de choses délicieuses provenant de nos six sens qui provoquent tout naturellement l'apparition du désir.
Des choses dont nous nous souvenons peuvent aussi servir de plaisir des sens. Cela ne concerne pas seulement ce que nous touchons, ce que nous sentons, ce que nous goûtons dans le moment présent mais aussi tout ce que nous avons déjà vécu. Tout ce dont nous nous souvenons peut aussi servir de désir sensoriel.
Le deuxième empêchement est l'aversion, la haine
C'est la méchanceté, la malveillance, la colère, l'agressivité, la haine.
Ce deuxième empêchement est un empêchement assez puissant. C'est l'homme qui cherche à voir son image dans le miroir et trouve de l'eau en ébullition. Il ne peut reconnaître son visage.
En effet, quand la colère est dans l'esprit, il est difficile de trouver le calme et de se décontracter. Ce peut-être des choses qui nous reviennent, qui n'ont rien à voir avec notre expérience immédiate. Nous pouvons nous énerver pour des choses qui se sont passées il y a bien longtemps. Nous trouvons notre coussin trop dur, trop bas, nous trouvons toutes sortes de bonnes raisons de nous fâcher. Ces problèmes nous arrachent chaque fois à notre concentration et nous ne parvenons pas à méditer.
Nous constatons pour la plupart que c'est en nous que se trouve ce potentiel latent de colère, de désir, de peur, de besoin de contrôle. Ces émotions sont provoquées par des contacts, par nos relations, par ce qui se passe dans notre vie sociale. Nous avons tendance à dire : « c'est à cause de lui, c'est à cause d'elle » tout en niant qu'en nous-mêmes il y a de la peur, de l'insécurité, de la colère, un sentiment d'impuissance.
En méditant nous expérimentons toutes ces émotions. Parfois nous nous imaginons que cela n'arrive qu'à soi car les autres ont l'air très calme, très serein. Nous les voyons ne bougeant pas, nous pensons qu'ils ont des expériences. Mais si ces gens parlent, ils se rendent compte que tout le monde possède ces émotions et qu'elles remontent dès que l'on médite.
Le potentiel de nos émotions est en nous et les gens que nous blâmons pour avoir provoqué ces émotions ne sont en fait que des catalyseurs. L'émotion dont nous nous plaignons ou dont nous nous réjouissons est en nous ainsi que notre bien-être et notre malheur. Cela ne veut pas dire que dans notre vie il n'y a pas de mauvaises personnes qui se comporteraient mal, de manière inacceptable. Mais notre propre résonance vis-à-vis de ce qui se passe dans notre vie est de notre entière responsabilité. Accepter cela est la base de toute démarche spirituelle. Nous sommes responsables du degré de complicité que nous avons avec notre souffrance et notre bonheur.
Le troisième empêchement est la paresse, la somnolence
C'est la faiblesse de l'esprit qui vacille, qui est visqueux, submergé, incapable de suivre précisément l'objet de méditation. L'esprit devient apathique et ne parvient plus à garder la posture du corps droite et ferme. Les paupières deviennent lourdes, la tête tombe vers l'avant, le dos se courbe. Nous avons tendance à penser « je suis fatigué, je vais aller me reposer et ensuite je pourrai mieux me concentrer ».
En fait c'est une invitation à la paresse et à la somnolence. Pour surmonter cet empêchement, nous devons essayer de retrouver notre énergie et nous concentrer à nouveau très fermement.
Le quatrième empêchement est l’agitation et les remords
C’est une inquiétude, une sorte de nervosité qui se transforme en grattements, en besoin de se gratter, en petites douleurs partout.
Parfois ces petites douleurs ont l'air sérieux, cela pourrait être le ménisque, il faut bouger... C'est très convaincant. Il y a toute une histoire qui se monte en rapport avec cela dès que l'on commence à donner de l'intérêt à ces sensations, cela ne s'arrête plus. Nous pouvons passer des heures à nous gratter avec des sensations de chatouillement.
Il ne faut pas bouger. C'est vraiment la façon la plus facile de se débarrasser de ces phénomènes. C'est l'esprit qui se divertit par l'intermédiaire de ces petits maux. Toutes ces sensations qui piquent, qui démangent sont convaincantes et il est très difficile de ne pas y croire. Nous aurons tendance à vouloir nous en débarrasser en bougeant, mais il est recommandé de ne pas bouger, de ne pas se gratter.
L'inquiétude nous empêche de trouver le calme mental, elle nous empêche de trouver la clarté, la lucidité de l'esprit. C'est cette lucidité qui est nécessaire pour avoir une compréhension juste.
Le deuxième aspect, ce sont les remords. C'est la conscience qui se montre, nous sommes perturbés par des remords. Au lieu d'être un problème physique, c'est un problème mental, quelque chose que nous avons fait nous trouble. Nous nous sentons soit coupable soit responsable. Il est très important de comprendre et de respecter les préceptes, car c'est la moralité qui nous protège contre de tels remords.
Sila, la moralité est liée à la pratique de la méditation. Si nous vivons d'une façon qui provoque des remords cela remontera pendant que nous méditerons. Dès que cela remonte, cela nous empêche de nous unifier. C'est pour cette raison qu'une vie morale pure est la base de tout progrès dans la méditation.
Si notre manière de vivre provoque des sentiments de culpabilité, des remords, il sera très difficile de nous concentrer car nous serons troublés. La colère peut aussi nous troubler. Nous pouvons faire des gestes, prononcer des mots, avoir des attitudes qui font mal aux autres et à nous-mêmes. Cela peut aller très vite. Avec les remords cela va un peu moins vite, mais cela nous perturbe quand même.
Le cinquième empêchement est le doute
C'est comme l'eau trouble, ce n'est pas clair, l'homme ne peut y voir son reflet. Le doute est quelque chose qui parvient avec succès à nous empêcher de nous concentrer.
Le doute n'est pas intellectuel, c'est une émotion. En général nous ne reconnaissons pas le doute comme une émotion. Nous considérons le doute comme quelque chose que nous ne savons pas, mais en fait il y a beaucoup de choses que nous ne savons pas et qui ne sont pas des doutes. Par exemple je ne sais pas s'il pleuvra demain, et cela ne me travaille pas du tout.
Le dénouement d'une émotion se passe au niveau du cœur et ne peut se passer au niveau du mental. La pensée ne peut nous aider en face d'une émotion forte. Les émotions ne se pacifient pas avec les pensées. Nous pouvons penser vite pour couvrir l'émotion, mais plutôt que de résoudre l'émotion, nous la figeons, nous la recouvrons parce que l'activité mentale est parfois plus convaincante et plus rapide que l'émotion.
Nous arrivons ainsi à détourner l'attention d'une émotion et à nous convaincre que ce que nous pensons est vrai. En fait l'émotion continue et remonte dès que la pensée diminue. Nous n'arrivons pas vraiment à résoudre ou à dénouer un état émotionnel par la pensée, et le doute en est un très bon exemple. Tout essai pour résoudre le doute par l'intellect est voué à l'échec.
Le doute peut être à propos de soi-même, à propos de la méthode ou de la pratique ou encore en ce qui concerne l'enseignant. Nous nous mettons à douter du moindre aspect de la pratique. C’est plus qu'un simple doute, cela devient de l'épuisement mental dû à la spéculation, à la confusion.
Lorsque ces empêchements apparaissent, il faut commencer par les identifier, les reconnaître et c'est l'attention qui permettra de les éradiquer.
Source: http://vipassanasangha.free.fr
Le Bouddha compare ces empêchements à l'état de l'eau. Quelqu'un veut voir son visage se refléter à la surface de l'eau et il constate que l'eau est altérée et qu'il lui est impossible de reconnaître son propre visage. Ceci est l'image d'un homme qui cherche la connaissance de soi, la connaissance du bien-être pour lui-même et du bien pour les autres.
Le premier empêchement est le désir pour le plaisir des sens
Le bouddha dit : « l'homme qui regarde son image à la surface de l'eau comme dans un miroir, dans une eau dont on a changé la couleur, à laquelle on a ajouté de la couleur ». L'homme n'est pas capable de reconnaître son propre visage car l'eau a été altérée par la couleur.
Un esprit qui essaie de trouver le calme n'y parvient pas car il y a dans cet esprit un désir pour toutes sortes d'expériences sensorielles : des sons harmonieux, des odeurs agréables, des pensées intéressantes. Toutes sortes de choses délicieuses provenant de nos six sens qui provoquent tout naturellement l'apparition du désir.
Des choses dont nous nous souvenons peuvent aussi servir de plaisir des sens. Cela ne concerne pas seulement ce que nous touchons, ce que nous sentons, ce que nous goûtons dans le moment présent mais aussi tout ce que nous avons déjà vécu. Tout ce dont nous nous souvenons peut aussi servir de désir sensoriel.
Le deuxième empêchement est l'aversion, la haine
C'est la méchanceté, la malveillance, la colère, l'agressivité, la haine.
Ce deuxième empêchement est un empêchement assez puissant. C'est l'homme qui cherche à voir son image dans le miroir et trouve de l'eau en ébullition. Il ne peut reconnaître son visage.
En effet, quand la colère est dans l'esprit, il est difficile de trouver le calme et de se décontracter. Ce peut-être des choses qui nous reviennent, qui n'ont rien à voir avec notre expérience immédiate. Nous pouvons nous énerver pour des choses qui se sont passées il y a bien longtemps. Nous trouvons notre coussin trop dur, trop bas, nous trouvons toutes sortes de bonnes raisons de nous fâcher. Ces problèmes nous arrachent chaque fois à notre concentration et nous ne parvenons pas à méditer.
Nous constatons pour la plupart que c'est en nous que se trouve ce potentiel latent de colère, de désir, de peur, de besoin de contrôle. Ces émotions sont provoquées par des contacts, par nos relations, par ce qui se passe dans notre vie sociale. Nous avons tendance à dire : « c'est à cause de lui, c'est à cause d'elle » tout en niant qu'en nous-mêmes il y a de la peur, de l'insécurité, de la colère, un sentiment d'impuissance.
En méditant nous expérimentons toutes ces émotions. Parfois nous nous imaginons que cela n'arrive qu'à soi car les autres ont l'air très calme, très serein. Nous les voyons ne bougeant pas, nous pensons qu'ils ont des expériences. Mais si ces gens parlent, ils se rendent compte que tout le monde possède ces émotions et qu'elles remontent dès que l'on médite.
Le potentiel de nos émotions est en nous et les gens que nous blâmons pour avoir provoqué ces émotions ne sont en fait que des catalyseurs. L'émotion dont nous nous plaignons ou dont nous nous réjouissons est en nous ainsi que notre bien-être et notre malheur. Cela ne veut pas dire que dans notre vie il n'y a pas de mauvaises personnes qui se comporteraient mal, de manière inacceptable. Mais notre propre résonance vis-à-vis de ce qui se passe dans notre vie est de notre entière responsabilité. Accepter cela est la base de toute démarche spirituelle. Nous sommes responsables du degré de complicité que nous avons avec notre souffrance et notre bonheur.
Le troisième empêchement est la paresse, la somnolence
C'est la faiblesse de l'esprit qui vacille, qui est visqueux, submergé, incapable de suivre précisément l'objet de méditation. L'esprit devient apathique et ne parvient plus à garder la posture du corps droite et ferme. Les paupières deviennent lourdes, la tête tombe vers l'avant, le dos se courbe. Nous avons tendance à penser « je suis fatigué, je vais aller me reposer et ensuite je pourrai mieux me concentrer ».
En fait c'est une invitation à la paresse et à la somnolence. Pour surmonter cet empêchement, nous devons essayer de retrouver notre énergie et nous concentrer à nouveau très fermement.
Le quatrième empêchement est l’agitation et les remords
C’est une inquiétude, une sorte de nervosité qui se transforme en grattements, en besoin de se gratter, en petites douleurs partout.
Parfois ces petites douleurs ont l'air sérieux, cela pourrait être le ménisque, il faut bouger... C'est très convaincant. Il y a toute une histoire qui se monte en rapport avec cela dès que l'on commence à donner de l'intérêt à ces sensations, cela ne s'arrête plus. Nous pouvons passer des heures à nous gratter avec des sensations de chatouillement.
Il ne faut pas bouger. C'est vraiment la façon la plus facile de se débarrasser de ces phénomènes. C'est l'esprit qui se divertit par l'intermédiaire de ces petits maux. Toutes ces sensations qui piquent, qui démangent sont convaincantes et il est très difficile de ne pas y croire. Nous aurons tendance à vouloir nous en débarrasser en bougeant, mais il est recommandé de ne pas bouger, de ne pas se gratter.
L'inquiétude nous empêche de trouver le calme mental, elle nous empêche de trouver la clarté, la lucidité de l'esprit. C'est cette lucidité qui est nécessaire pour avoir une compréhension juste.
Le deuxième aspect, ce sont les remords. C'est la conscience qui se montre, nous sommes perturbés par des remords. Au lieu d'être un problème physique, c'est un problème mental, quelque chose que nous avons fait nous trouble. Nous nous sentons soit coupable soit responsable. Il est très important de comprendre et de respecter les préceptes, car c'est la moralité qui nous protège contre de tels remords.
Sila, la moralité est liée à la pratique de la méditation. Si nous vivons d'une façon qui provoque des remords cela remontera pendant que nous méditerons. Dès que cela remonte, cela nous empêche de nous unifier. C'est pour cette raison qu'une vie morale pure est la base de tout progrès dans la méditation.
Si notre manière de vivre provoque des sentiments de culpabilité, des remords, il sera très difficile de nous concentrer car nous serons troublés. La colère peut aussi nous troubler. Nous pouvons faire des gestes, prononcer des mots, avoir des attitudes qui font mal aux autres et à nous-mêmes. Cela peut aller très vite. Avec les remords cela va un peu moins vite, mais cela nous perturbe quand même.
Le cinquième empêchement est le doute
C'est comme l'eau trouble, ce n'est pas clair, l'homme ne peut y voir son reflet. Le doute est quelque chose qui parvient avec succès à nous empêcher de nous concentrer.
Le doute n'est pas intellectuel, c'est une émotion. En général nous ne reconnaissons pas le doute comme une émotion. Nous considérons le doute comme quelque chose que nous ne savons pas, mais en fait il y a beaucoup de choses que nous ne savons pas et qui ne sont pas des doutes. Par exemple je ne sais pas s'il pleuvra demain, et cela ne me travaille pas du tout.
Le dénouement d'une émotion se passe au niveau du cœur et ne peut se passer au niveau du mental. La pensée ne peut nous aider en face d'une émotion forte. Les émotions ne se pacifient pas avec les pensées. Nous pouvons penser vite pour couvrir l'émotion, mais plutôt que de résoudre l'émotion, nous la figeons, nous la recouvrons parce que l'activité mentale est parfois plus convaincante et plus rapide que l'émotion.
Nous arrivons ainsi à détourner l'attention d'une émotion et à nous convaincre que ce que nous pensons est vrai. En fait l'émotion continue et remonte dès que la pensée diminue. Nous n'arrivons pas vraiment à résoudre ou à dénouer un état émotionnel par la pensée, et le doute en est un très bon exemple. Tout essai pour résoudre le doute par l'intellect est voué à l'échec.
Le doute peut être à propos de soi-même, à propos de la méthode ou de la pratique ou encore en ce qui concerne l'enseignant. Nous nous mettons à douter du moindre aspect de la pratique. C’est plus qu'un simple doute, cela devient de l'épuisement mental dû à la spéculation, à la confusion.
Lorsque ces empêchements apparaissent, il faut commencer par les identifier, les reconnaître et c'est l'attention qui permettra de les éradiquer.
Source: http://vipassanasangha.free.fr
Hier à 20:57 par Mila
» Jour de ROUE important dans le calendrier Bouddhiste
Jeu 21 Nov 2024, 09:26 par Pema Gyaltshen
» Trois livres de David Michie
Dim 17 Nov 2024, 16:50 par Mila
» Les différentes approches du Mahamudra
Jeu 31 Oct 2024, 10:04 par Nangpa
» Bonjour à tous les membres et merci de m'accueillir !
Jeu 31 Oct 2024, 06:25 par heyopibe
» Bizarre, apaisant et Respiration assoiffée
Sam 26 Oct 2024, 01:39 par LeLoups
» L'utilisation de l'encens pour les morts
Ven 25 Oct 2024, 11:28 par heyopibe
» Bonjour à tous - Merci pour l'accueil
Ven 25 Oct 2024, 11:19 par heyopibe
» 4 documentaires sur le bouddhisme : Sri Lanka, Tibet, Kalou Rimpoché, Bouthan
Sam 19 Oct 2024, 08:18 par Darvel
» Prise de refuge à Beaumont
Dim 13 Oct 2024, 06:28 par Mila
» Bonjour a tous, sous un grand chêne, en creuse
Sam 05 Oct 2024, 22:24 par Ortho
» Présentation Jonathan Carribo., je devais m'inscrire à l'arbre à refuges
Ven 04 Oct 2024, 17:31 par Aurélien-relax-yoga
» Bonjour à toutes et tous !
Ven 04 Oct 2024, 17:26 par Aurélien-relax-yoga
» Présentation de Djinn, pratiquant en autonomie du dharma
Ven 04 Oct 2024, 17:24 par Aurélien-relax-yoga
» Bonjour à tous de la part de Pieru
Ven 04 Oct 2024, 17:23 par Aurélien-relax-yoga
» Dharma Appliqué: Présentation de la rubrique
Mer 02 Oct 2024, 13:34 par Nidjam
» Le maître né du lotus: THE DAKINI CODE
Dim 22 Sep 2024, 09:12 par Pema Gyaltshen
» Michel Collon – Face à Israël : Que pouvez-vous faire ?
Dim 22 Sep 2024, 09:07 par Pema Gyaltshen
» ESSAI La notion de possession
Dim 08 Sep 2024, 19:29 par Ortho
» Déterminisme: Le Choix est-il une illusion ?
Mer 21 Aoû 2024, 19:07 par Nidjam
» Canon Pali : comment reconnaître une mauvaise personne et une bonne personne au regard de l’orgueil et de l'humilité
Dim 18 Aoû 2024, 14:39 par LeLoups
» Les problèmes de la méditation de pleine conscience
Dim 18 Aoû 2024, 13:13 par LeLoups
» Tukdam : méditer jusqu’à la mort
Mer 07 Aoû 2024, 15:57 par Disciple laïc
» La petite voix ? ...................
Dim 04 Aoû 2024, 08:11 par Algo
» Bouddhisme : la loi du silence
Ven 02 Aoû 2024, 21:05 par dominique0
» On nait mis en boîte ! .....................
Ven 02 Aoû 2024, 05:55 par Algo
» Bouddha n'était pas non violent...
Ven 02 Aoû 2024, 05:38 par Algo
» Le Cercle d'Eveil 2024 Juin
Sam 08 Juin 2024, 07:34 par Pema Gyaltshen
» Amitābha: Le Grand Soutra de la Vie Infinie
Mar 14 Mai 2024, 21:22 par Disciple laïc
» Saga Dawa 2024 ( du 9 mai au 6 juin 2024 )
Ven 10 Mai 2024, 09:09 par Mila
» Bertrand Piccard, son dernier livre ( 2021 )
Lun 06 Mai 2024, 09:41 par Pema Gyaltshen
» Blessé au visage , un orang-outan se soigne avec un pansement végétal
Sam 04 Mai 2024, 20:17 par Mila
» Découvrez les Bienfaits du Bouddhisme Tibétain pour une Vie Équilibrée
Lun 29 Avr 2024, 12:52 par Puntsok Norling
» Drouptcheu de Keuntchok Tchidu
Dim 21 Avr 2024, 12:02 par Mila
» Citation de Richard Gere ( Article du journal : AuFéminin )
Ven 19 Avr 2024, 15:31 par arcane 17
» Cinquantenaire de la fondation de Palden Shangpa La Boulaye
Ven 05 Avr 2024, 19:05 par Nangpa
» Bonne Nouvelle chrétienne et Bonne Nouvelle bouddhiste
Lun 01 Avr 2024, 10:34 par Algo
» Qu’entend-on vraiment par « tout vient de l’esprit » ?
Sam 23 Mar 2024, 11:38 par Nidjam
» Bouddhisme vajrayāna : Instructions sur le Mahāmudrā
Ven 22 Mar 2024, 15:02 par Nidjam
» Méditation : Qu'est ce que l'esprit sans réfèrence ?
Ven 22 Mar 2024, 14:11 par Nidjam
» Des arbres , pour l'Arbre .
Dim 17 Mar 2024, 11:35 par Mila
» Lankavatara Sutra ----------------------------------------------------
Lun 11 Mar 2024, 13:52 par heyopibe
» Mauvaise compréhension - besoin d'explication
Ven 08 Mar 2024, 18:51 par Nidjam
» Le Discours entre un Roi et un Moine : Les Questions de Milinda
Ven 01 Mar 2024, 13:23 par Nidjam
» Le Bonheur est déjà là , par Gyalwang Drukpa Rimpoché
Jeu 29 Fév 2024, 18:39 par Nidjam
» Une pratique toute simple : visualisez que tout le monde est guéri ....
Jeu 29 Fév 2024, 18:06 par Nidjam
» Drapeaux de prière - l'aspiration à un bien-être universel
Jeu 29 Fév 2024, 17:30 par Puntsok Norling
» Initiations par H.E. Ling Rimpoché
Ven 23 Fév 2024, 08:54 par Mila
» Bonne année Dragon de Bois à toutes et à tous
Sam 10 Fév 2024, 23:02 par Karma Trindal
» Bouddhisme/-Science de l'esprit : Identité et non-identité
Ven 09 Fév 2024, 12:56 par heyopibe
» Déclaration commune concernant la réincarnation de Kunzig Shamar Rinpoché
Lun 05 Fév 2024, 12:16 par Nangpa
» Les souhaits de Maitreya , par le 12e Kenting Taï Situ Rimpoché
Lun 05 Fév 2024, 09:28 par heyopibe
» L'Interdépendance selon les enseignements du Lamrim
Lun 05 Fév 2024, 09:27 par heyopibe
» Qu'est-ce que l'essence de la voie du Dharma ?
Mar 09 Jan 2024, 19:52 par Puntsok Norling
» Quelles sont les règles respectées dans les temples bouddhistes tibétain
Ven 05 Jan 2024, 10:48 par Nangpa
» Toute l'équipe de L'Arbre des Refuges vous souhaite ses Meilleurs Voeux pour 2024!
Mer 03 Jan 2024, 12:14 par Nutts
» Le Singe
Sam 30 Déc 2023, 21:38 par Karma Trindal
» Le Buffle
Ven 29 Déc 2023, 23:24 par petit_caillou
» Le Tigre
Ven 29 Déc 2023, 23:21 par petit_caillou
» Le Lapin (ou Chat)
Ven 29 Déc 2023, 23:18 par petit_caillou
» Le Coq
Ven 29 Déc 2023, 23:15 par petit_caillou
» La Chèvre (ou Mouton)
Ven 29 Déc 2023, 23:12 par petit_caillou
» Le Dragon
Lun 25 Déc 2023, 14:14 par petit_caillou
» Le Serpent
Lun 25 Déc 2023, 14:09 par petit_caillou
» Le Cochon
Lun 25 Déc 2023, 13:59 par petit_caillou
» L'année du Dragon de bois 2024
Sam 23 Déc 2023, 00:04 par petit_caillou
» Le Cheval
Ven 22 Déc 2023, 23:59 par petit_caillou
» Le Chien
Ven 22 Déc 2023, 23:54 par petit_caillou
» Le Rat
Ven 22 Déc 2023, 23:48 par petit_caillou
» L'Eco Dharma .................................................
Lun 27 Nov 2023, 15:28 par heyopibe
» Shantideva: Bodhicaryâvatâra
Sam 11 Nov 2023, 16:25 par Admin
» J'irai dormir chez vous (émission TV)
Ven 10 Nov 2023, 19:35 par Disciple laïc
» Le Bonheur National Brut
Jeu 09 Nov 2023, 11:34 par heyopibe
» Le champ d'application ...................................
Jeu 09 Nov 2023, 11:02 par heyopibe
» Les Quatre Nobles Vérités -------------------------------------
Mer 08 Nov 2023, 11:40 par heyopibe