Bonjour, Voici un des chants mystiques du XVe Karmapa, Khakyab Dordjé ( 1871- 1922), le chef de la lignée Karma-Kagyu du bouddhisme tiébétain. Comme dans bon nombre de ses chants, le style est assez relevé et le rythme soutenu, donnant un poème sans concession. C'est extrait du Kagyu Gourtso, un recueil de chants mystiques des maîtres de la lignée Kagyu.
Bonne lecture
Samthar :*Bouddhisme3:
Bonne lecture
Samthar :*Bouddhisme3:
Ces conseils que je me donne à moi-même et cette prière écrite pour exhorter le maitre à la compassion s'appelle "Le chant de l'ardente dévotion".
Kyé la!
Vénérable seigneur, vous êtes le refuge, l'union de tous les Bouddhas,
Vous êtes Bouddha depuis d'innombrables vies,
Pourtant, dans le but de guider ceux qui errent au fond du samsara,
Vous avez eu la bonté de reprendre une forme humaine.
Père lama, grand trésor de compassion, connaissez-moi!
Bénissez-moi pour que mon esprit se mêle au Dharma!
En ces temps où les cinq dégénérescences sont tapies dans l'ombre,
La vie est aussi furtive qu'un éclair,
La richesse est aussi impermanente que la rosée sur l'herbe,
L'ami qui t'aime le matin te déteste le soir venu.
Tout ceci est comme le rêve de la nuit passée.
Tout est impermanent, mouvant, changeant.
Dorénavant, rejette et abandonne le désir de t'emparer des phénomènes
comme s'ils étaient durables!
Père lama, connaissez-moi! Regardez-moi avec compassion!
J'ai franchi la porte des enseignements de la lignée de la pratique,
J'ai entraîné mon esprit grâce aux trois voeux religieux.
Pourtant, comparable à un esprit avide sur la rive de l'océan,
Quoi qu'il fasse, le barbare borné que je suis
Est soumis aux huit dharma mondains.
Le pratiquant qui ruine les hommes et se détruit lui-même
Est comme de la m... dans un bas de soie[sup]1[/sup].
Le temps est venu d'avouer mes fautes.
Père lama, connaissez-moi! Regardez-moi avec compassion!
Je porte la robe safran, et pourtant je suis un homme ordinaire,
Je porte un nom de bodhisattva, et pourtant j'éprouve de l'attachement et de l'aversion,
Je suis entré dans la voie profonde des mantra,
et pourtant ma vision et mes agissements ne sont que transgressions.
Le renoncement n'a pas dompté mon esprit,
La loi de causalité ne me convainc pas,
Les serments et les voeux restent dans le domaine théorique.
Soumettre des ennemis, protéger des proches, recueillir et accumuler des biens, et tout le reste,
Ces folles agitations m'ont réduit en esclavage.
De même que je viole l'enseignement du tathagata,
J'ai la prétention d'être un disciple du Bouddha.
Devenu l'esclave du démon des émotions,
Je suis le fils obtus et pourri de mes Pères, les Kagyus.
Maintenant, quand je regarde mes manières, je suis abattu.
Père, connaissez-moi! Regardez-moi avec compassion!
Protecteur, vénérable seigneur qui vous manifestez avec difficulté dans les trois temps,
Vous maîtrisez l'art de dompter le sauvage que je suis.
Votre bonté est supérieure à celle du Bouddha,
Je ne l'ai pas reconnu, quelle erreur!
Vous enseignez les instructions orales du Dharma
en ayant recours aux symboles et aux méthodes habiles,
.Je ne les ai pas reconnues, j'ai cherché l'enseignement ailleurs.
C'est là que j'ai perdu la bonne fortune d'une religion pure.
Maintenant, il est temps de bien voir ce que vous faites,
Je remets au lama mes trois portes du corps, de la parole et de l'esprit.
Ce que j'ai accumulé de bien durant de nombreux éons est parfait
et mes fautes sont toutes purifiées.
Je ne sais si cela tournera à mon avantage.
A cause de ma volonté à pratiquer les vertus pour mon propre bien,
Le fruit de l'accomplissement a été grillé par le gel,
Mon esprit est entravé par les vues fausses, j'en ai honte.
Maintenant, il est temps de considérer ce que vous dites comme valable.
Sans faillir, je vous adresse mon ardente prière,
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
Seigneur, vous êtes comme un Bouddha, et je vous ai vu comme un homme,
Votre activité éveillée aux habiles moyens, je l'ai faussement comprise,
J'ai compris à l'envers la réalisation de votre grand oeuvre
Et je n'ai pas senti la pourriture qui me rongeait.
Comme on le ferait d'une lampe dans une image,
J'ai placé mes espoirs dans une foi artificielle.
Maintenant, je reprend courage avec une dévotion indéfectible.
Sors-toi rapidement de la fange des vues fausses!
Revigoré par une foi sans artifices,
Il est temps que je m'en remette au remède des apparences pures.
Je vous en supplie du plus profond de mon être,
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
Quand tu seras en présence de ce fameux ennemi qu'est le Seigneur de la mort,
Le temps du repentir aura passé.
Du lit du pratiquant du Dharma, il ne sortira qu'un cadavre ordinaire,
Tous les hommes, puissants et misérables, n'auront que mépris,
Arrivera le temps de l'errance dans le samsara.
Pense à ça, et aiguise ton intelligence!
Vois tout le monde phénoménal comme le jeu du lama!
Mêle ton esprit à celui du Seigneur!
Dans cet état d'indifférenciation, adresse-lui des prières!
La clarté de ce chant de dévotion ardente
Exhorte à la compassion le refuge infaillible.
Il est temps de prendre soin de la nature essentielle de l'esprit.
Sans faillir, du plus profond de mon être, je vous en supplie,
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
Si l'on n'est pas corrompu par les pensées dualistes,
Celui qui est partout reconnu comme le Bouddha
Ne vient de nulle part ailleurs que de notre esprit lumineux.
Abandonne la méditation trompeuse qui est fabriquée par l'intellect!
Il est temps de voir le vrai visage du non-agir.
Avec une dévotion ardente, je vous en supplie,
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
Tous les phénomènes du samsara et du nirvana, le bonheur, la souffrance,
Ne sont que la bonté du lama.
Toutes les joies et toutes les vertus
Viennent du Père, le protecteur, l'être de diamant.
Partage-les avec la foule de tes mères d'autrefois!
Les liens tissés entre les deux accumulations forment un ornement majestueux.
Libéré des entraves de la saisie du bonheur,
Pratiquant l'union de la félicité et de la vacuité,
Avec une dévotion ardente, je vous en supplie,
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
Toutes les souffrances et tout ce qui est indésirable
Sont l'activité éveillée et compatissante du lama souverain.
Prends sur toi les souffrances de tes mères des six mondes!
Le feu de connaissance des instructions orales dissipe les voiles,
La souffrance n'a pas de nature propre.
Unissant dans ma pratique cette certitude et la vacuité,
L'esprit concentré, je vous en supplie,
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
En général, sans courir après les illusions, quelles que soient celles qui apparaissent,
Reste dans l'état de l'union des apparences et de la vacuité,
Regarde la nature essentielle qui est dépourvue de fondement et de racines!
Celui qui voit et celui qui est vu sont tous deux vides.
Au coeur de leur union non-duelle
Il y a le grand spectacle du mode d'être primordial.
Je vois le visage du lama intérieur de l'esprit,
Je sais que je suis le maître du royaume de la grande félicité.
C'est pourquoi, toi le mécréant convaincu,
Prie sans relâche et sans distraction!
Jette au loin les actions inutiles!
Père, connaissez-moi! Connaisseur des trois temps, connaissez-moi!
Confiant dans la sagesse de toutes vos actions,
Aux six heures du jours et de la nuit, avec la mélodie de la ferveur
L'esprit concentré, votre fils vous adresse sa prière ardente.
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
Je brûle d'une foi sans artifices.
Que s'élève la connaissance de la réalisation et de la libération simultanées!
Que s'agencent spontanément les liens qui font le bien des êtres!
Seigneur, je vous en supplie, faites que je sois inséparable de vous!
Vénérable seigneur, vous êtes le refuge, l'union de tous les Bouddhas,
Vous êtes Bouddha depuis d'innombrables vies,
Pourtant, dans le but de guider ceux qui errent au fond du samsara,
Vous avez eu la bonté de reprendre une forme humaine.
Père lama, grand trésor de compassion, connaissez-moi!
Bénissez-moi pour que mon esprit se mêle au Dharma!
En ces temps où les cinq dégénérescences sont tapies dans l'ombre,
La vie est aussi furtive qu'un éclair,
La richesse est aussi impermanente que la rosée sur l'herbe,
L'ami qui t'aime le matin te déteste le soir venu.
Tout ceci est comme le rêve de la nuit passée.
Tout est impermanent, mouvant, changeant.
Dorénavant, rejette et abandonne le désir de t'emparer des phénomènes
comme s'ils étaient durables!
Père lama, connaissez-moi! Regardez-moi avec compassion!
J'ai franchi la porte des enseignements de la lignée de la pratique,
J'ai entraîné mon esprit grâce aux trois voeux religieux.
Pourtant, comparable à un esprit avide sur la rive de l'océan,
Quoi qu'il fasse, le barbare borné que je suis
Est soumis aux huit dharma mondains.
Le pratiquant qui ruine les hommes et se détruit lui-même
Est comme de la m... dans un bas de soie[sup]1[/sup].
Le temps est venu d'avouer mes fautes.
Père lama, connaissez-moi! Regardez-moi avec compassion!
Je porte la robe safran, et pourtant je suis un homme ordinaire,
Je porte un nom de bodhisattva, et pourtant j'éprouve de l'attachement et de l'aversion,
Je suis entré dans la voie profonde des mantra,
et pourtant ma vision et mes agissements ne sont que transgressions.
Le renoncement n'a pas dompté mon esprit,
La loi de causalité ne me convainc pas,
Les serments et les voeux restent dans le domaine théorique.
Soumettre des ennemis, protéger des proches, recueillir et accumuler des biens, et tout le reste,
Ces folles agitations m'ont réduit en esclavage.
De même que je viole l'enseignement du tathagata,
J'ai la prétention d'être un disciple du Bouddha.
Devenu l'esclave du démon des émotions,
Je suis le fils obtus et pourri de mes Pères, les Kagyus.
Maintenant, quand je regarde mes manières, je suis abattu.
Père, connaissez-moi! Regardez-moi avec compassion!
Protecteur, vénérable seigneur qui vous manifestez avec difficulté dans les trois temps,
Vous maîtrisez l'art de dompter le sauvage que je suis.
Votre bonté est supérieure à celle du Bouddha,
Je ne l'ai pas reconnu, quelle erreur!
Vous enseignez les instructions orales du Dharma
en ayant recours aux symboles et aux méthodes habiles,
.Je ne les ai pas reconnues, j'ai cherché l'enseignement ailleurs.
C'est là que j'ai perdu la bonne fortune d'une religion pure.
Maintenant, il est temps de bien voir ce que vous faites,
Je remets au lama mes trois portes du corps, de la parole et de l'esprit.
Ce que j'ai accumulé de bien durant de nombreux éons est parfait
et mes fautes sont toutes purifiées.
Je ne sais si cela tournera à mon avantage.
A cause de ma volonté à pratiquer les vertus pour mon propre bien,
Le fruit de l'accomplissement a été grillé par le gel,
Mon esprit est entravé par les vues fausses, j'en ai honte.
Maintenant, il est temps de considérer ce que vous dites comme valable.
Sans faillir, je vous adresse mon ardente prière,
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
Seigneur, vous êtes comme un Bouddha, et je vous ai vu comme un homme,
Votre activité éveillée aux habiles moyens, je l'ai faussement comprise,
J'ai compris à l'envers la réalisation de votre grand oeuvre
Et je n'ai pas senti la pourriture qui me rongeait.
Comme on le ferait d'une lampe dans une image,
J'ai placé mes espoirs dans une foi artificielle.
Maintenant, je reprend courage avec une dévotion indéfectible.
Sors-toi rapidement de la fange des vues fausses!
Revigoré par une foi sans artifices,
Il est temps que je m'en remette au remède des apparences pures.
Je vous en supplie du plus profond de mon être,
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
Quand tu seras en présence de ce fameux ennemi qu'est le Seigneur de la mort,
Le temps du repentir aura passé.
Du lit du pratiquant du Dharma, il ne sortira qu'un cadavre ordinaire,
Tous les hommes, puissants et misérables, n'auront que mépris,
Arrivera le temps de l'errance dans le samsara.
Pense à ça, et aiguise ton intelligence!
Vois tout le monde phénoménal comme le jeu du lama!
Mêle ton esprit à celui du Seigneur!
Dans cet état d'indifférenciation, adresse-lui des prières!
La clarté de ce chant de dévotion ardente
Exhorte à la compassion le refuge infaillible.
Il est temps de prendre soin de la nature essentielle de l'esprit.
Sans faillir, du plus profond de mon être, je vous en supplie,
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
Si l'on n'est pas corrompu par les pensées dualistes,
Celui qui est partout reconnu comme le Bouddha
Ne vient de nulle part ailleurs que de notre esprit lumineux.
Abandonne la méditation trompeuse qui est fabriquée par l'intellect!
Il est temps de voir le vrai visage du non-agir.
Avec une dévotion ardente, je vous en supplie,
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
Tous les phénomènes du samsara et du nirvana, le bonheur, la souffrance,
Ne sont que la bonté du lama.
Toutes les joies et toutes les vertus
Viennent du Père, le protecteur, l'être de diamant.
Partage-les avec la foule de tes mères d'autrefois!
Les liens tissés entre les deux accumulations forment un ornement majestueux.
Libéré des entraves de la saisie du bonheur,
Pratiquant l'union de la félicité et de la vacuité,
Avec une dévotion ardente, je vous en supplie,
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
Toutes les souffrances et tout ce qui est indésirable
Sont l'activité éveillée et compatissante du lama souverain.
Prends sur toi les souffrances de tes mères des six mondes!
Le feu de connaissance des instructions orales dissipe les voiles,
La souffrance n'a pas de nature propre.
Unissant dans ma pratique cette certitude et la vacuité,
L'esprit concentré, je vous en supplie,
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
En général, sans courir après les illusions, quelles que soient celles qui apparaissent,
Reste dans l'état de l'union des apparences et de la vacuité,
Regarde la nature essentielle qui est dépourvue de fondement et de racines!
Celui qui voit et celui qui est vu sont tous deux vides.
Au coeur de leur union non-duelle
Il y a le grand spectacle du mode d'être primordial.
Je vois le visage du lama intérieur de l'esprit,
Je sais que je suis le maître du royaume de la grande félicité.
C'est pourquoi, toi le mécréant convaincu,
Prie sans relâche et sans distraction!
Jette au loin les actions inutiles!
Père, connaissez-moi! Connaisseur des trois temps, connaissez-moi!
Confiant dans la sagesse de toutes vos actions,
Aux six heures du jours et de la nuit, avec la mélodie de la ferveur
L'esprit concentré, votre fils vous adresse sa prière ardente.
Père, regardez-moi avec compassion! Bénissez-moi!
Je brûle d'une foi sans artifices.
Que s'élève la connaissance de la réalisation et de la libération simultanées!
Que s'agencent spontanément les liens qui font le bien des êtres!
Seigneur, je vous en supplie, faites que je sois inséparable de vous!
Le pratiquant confirmé, le lama Karma Gyelwang, en me faisant l'offrande d'une étoffe de bon augure en soie et d'une lampe à beurre en argent, me pressa d'écrire une prière qui ferait naître une foi sans artifice. Il n'existe pas de prières supérieures à celles qui furent dites par les siddha souverains. Je me suis dit qu'une prière écrite par un être vil comme moi était non seulement vide de sens mais qu'elle rendrait oisif. Pourtant, je ne tenais pas à dire non à celui qui m'avait exhorté. Considérant qu'il ne pouvait être mauvais de me donner des conseils à moi-même, de stimuler l'esprit de ceux qui partagent mon sort et de développer la dévotion, moi, le faignant connu sous le nom de Khakhyab Dordjé, qui a la prétention d'être un maître en ces temps obscurs, j'ai arrangé en un chapelet de lettres tout ce qui m'a traversé la tête.
1 Le tibétain dit phyi sa gos bzang gis gyogs dang mtshung, soit textuellement Des excréments recouverts / enveloppés par un tissu pur / bon (de la soie).
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