L’estime de Soi:
retrouver une facette de l’Amour.
par Myriam Lebrun
On dit que le
Dalaï lama, lorsqu’il entra en contact avec le monde occidental, fut
atterré de voir à quel point les occidentaux, en général, avaient peu
d’estime d’eux-mêmes.
Cette affliction de
l’esprit (comme bien d’autres détresses) prend racine dans la
perception erronée de la réalité qui repose sur l’ignorance de notre
vraie nature et la tendance à alimenter les émotions négatives.
Lorsque,
par le processus d’Investigation Intérieure, vous questionnez vos
pensées souffrantes basées sur votre perception de la réalité, vous
tombez immanquablement sur le sentiment de perte d’estime de soi, joint
à une perte de confiance en soi et à une dévalorisation qui mènent
inévitablement à un manque d’amour de soi…
Prenez l’exemple
d’une tristesse, d’une colère, d’une inquiétude et reliez ce sentiment
à la pensée qui l’a suscité par exemple« Je suis en colère à cause de X
parce qu’il/elle ne me respecte pas (ou ne m’écoute pas, ou ne m’aime
pas etc…)».
Quelle est votre tendance réactive, lorsque vous avez cette pensée? (faites votre choix)
- je lui en veux
- je me ferme
- je mets des distances entre nous (je me sépare)
- j’enrage,
- je lui fais des reproches (oralement ou mentalement)
Comment votre corps réagit-il
- je ressens des tensions physiques ou des malaises dans mon organisme
Quel film vous faites-vous mentalement?
-
Toutes sortes d’images me viennent qui confortent les «raisons» que
j’ai de lui adresser ces reproches plein de pensées sous jacentes
émergent: il ne m’apprécie pas, il se moque de moi, il me déteste…
Quelle attitude mettez-vous en place avec cette pensée?
- je m’enferme dans une attitude de mépris ou de supériorité («moi, je ne suis pas comme ça»…)
- je ne le respecte pas (ne l’écoute pas, ne l’aime pas…)
- je cherche des stratégies pour obtenir qu’il me respecte (m’écoute, m’aime…)
- j’essaye de le manipuler pour obtenir son attention, son respect…
- je deviens irritable lorsque cela ne «marche» pas.
Cette pensée apporte-t- elle la paix ou le stress dans votre vie?
- je suis tendu avec mon entourage
- je stresse
- Je ressens de l’anxiété
- je me demande ce que j’ai pu faire pour qu’il ne me respecte pas (ne m’écoute pas…)
- je commence à culpabiliser, à douter de moi
- je me sens nul (je me dévalorise)
- je me puni en m’empêchant de vivre, en me rendant malade, en m’en voulant, etc…
- je me sens victime, triste et impuissant à faire changer l’autre.
- je perds confiance et estime de moi…. Et je perds ainsi l’amour de moi et de l’autre.
La
perte de l’estime de soi fait partie de ces effets pervers décrits dans
le cercle vicieux de la peur - que je développe dans le stage "Aimer ou
avoir peur?"
Cette perte d’estime de soi équivaut à un manque
d’amour de soi, dont l’origine est une blessure qui prend naissance, le
plus souvent, dans l’enfance. Cette blessure est liée au sentiment de
séparation et à la découverte de l’amour conditionnel des parents ainsi
qu’au système établi de récompense/punition.
La perception d’une non
reconnaissance, non acceptation, non appréciation… vont façonner
l’enfant puis l’adulte en provocant une blessure d’âme intolérable,
inconsciente la plupart du temps, et qui s’exprimera sous forme de
syndrome d’abandon, de rejet, d’injustice, etc. selon l’histoire
personnelle de chacun.
Cette blessure originelle de l’âme,
insupportable, provoque un ressentiment, mêlé de colère, d’agressivité
voire de haine envers le(s) parent(s). Or de tels sentiments sont
brimés, cassés à la base par l’éducation et condamnés par la société
(école, groupements, etc). N’ayant pas de réel exutoire, ce
ressentiment sera le plus souvent refoulé, puis, transformé et retourné
vers l’extérieur sous forme de jugements, de critiques et davantage, ou
vers l’intérieur sous forme d’autodestruction, entraînant dans son
sillage, honte, culpabilité, croyance (par ex.«suis mauvais si je suis
en colère»).
L’anxiété, cette forme de la peur, viscéralement
inscrite, est si courante et indécelable qu’elle crée un état de
tension interne dont on cherchera à mettre un terme par
l’auto-punition, cause de nouvelles souffrances - morales, psychiques
(On finira par s’en vouloir d’être comme on est) – entraînant une
dévalorisation de soi, une non estime de soi, une négation de soi qui
glissent lentement vers cette sensation éprouvante de manque l’amour.
Ce
n’est que par l’accueil et l’acceptation de Ce Qui Est, dans l’instant,
que ce soit la situation ou la souffrance vécue, que peut s’inverser ce
processus d’auto destruction.
L’observation et l’investigation de
l’origine de cette souffrance et la reconnaissance de tous nos états
internes sans jugement peuvent faire renaître l’estime de soi et un
jugement approprié de la réalité.
Par la compréhension et la
réalisation des phénomènes vécus, nous éprouvons peu à peu de la
compassion et de la gratitude qui illuminent notre vie intérieure et
s’expriment à l’extérieur.
La confiance se développe par la
pratique d’observation de nos schémas compulsifs qui peuvent être enfin
gérés dans une foi nouvelle en notre capacité de régénération et un
lâcher prise (voir article n° 184 Recto Verseau déc.2007).
Cette reconnaissance permet une attitude neuve de présence à soi-m’aime.
L’action,
soutenue par l’amour et l’estime de soi, prendra une toute autre
ampleur et une communication bienveillante dans le respect de soi en
est une des résultantes.
Par exemple, imaginez-vous la même
situation sans la pensée que X ne vous respecte pas (ne vous écoute
pas, ne vous aime pas, etc.).
Qui
seriez-vous si vous n’aviez pas expérimenté cette pensée? Que
ressentez-vous alors? Comment pourriez-vous vivre votre vie sans cette
pensée? Comment agiriez-vous avec autrui sans cette pensée?
Ne
pourriez-vous pas davantage exprimer votre besoin (de respect, de
tendresse etc..), simplement, sans en faire toute une histoire?
Ce n’est pas la situation mais bien la perception de celle-ci et le jugement porté sur soi qui provoque la souffrance.
Par exemple, si je penseje suis trop gros(se), trop petit, pas assez intelligent, beau/belle , je suis nul(le) etc….
Comment est-ce que je me traite? Quelle opinion ai-je de moi? Comment est-ce que je me considère quand j’ai ces pensées?
Faites l’exercice à votre tour…
Comment me sentirai-je sans ces pensées dévalorisantes en étant simplement tel(le) que je suis?
Prenez votre temps, écoutez à l’intérieur de vous la réponse.
La
paix, la sérénité, la clarté mentale et l’estime de soi peuvent refaire
surface lorsqu’il est perçu clairement que ce sont nos pensées qui
génèrent nos afflictions.
Dans le travail d’investigation, on
procède également à un retournement des pensées initialement émises, ce
qui est révélateur de notre projection mentale sur le monde extérieur.
En
effet, une pensée comme « Il ne me respecte pas » donne à l’inverse «Je
ne ME respecte pas ». Faites le silence en vous et regardez, en toute
ingénuité, si cela n’est pas aussi vrai, ou même plus vrai (dans mon
cas c’était souvent plus vrai).
Un autre retournement est « Je
ne LE respecte pas ». Voyez comment, lorsque vous êtes blessé, vous
chercher à blesser l’autre à votre tour. Cependant, qui ressent la
douleur?
Le monde est le reflet de notre esprit.
C’est surtout la Loi du talion qui règne sur cette planète. Plutôt
que d’investiguer et de comprendre les mécanismes et les programmes de
survie des humains, nous cherchons à nous en défendre pour nous
sécuriser, jusqu’à attaquer à notre tour. Ce faisant, nous perdons
l’estime de nous et de l’autre, aveuglé par notre peur.
L’estime
de soi, étroitement liée à la confiance en soi, au respect de soi et
donc à l’amour de soi est un pilier pour accroître un potentiel
d’ancrage dans la réalité. Elle conduit à la foi qui permet d’aborder
la vie avec sérénité. Elle naît de la reco-naissance de notre nature
essentielle, et s’enracine dans la compréhension de cette vraie nature,
faites de joie et d’amour. Elle nous aide à grandir, sans orgueil, sans
mépris, sans supériorité ou infériorité, sans haine et sans fausse
pudeur. Elle nous aide à exprimer nos vrais besoins dans une
communication bienveillante et saine, à respecter ce qui ne nous
convient pas et à en assumer la responsabilité.
L’estime de soi
est aussi le gage d’une souveraineté à retrouver dans le seul royaume
où nous ayons un réel pouvoir: à l’intérieur de nous. Le pouvoir de
nous accepter totalement tel que nous sommes, ce qui n’a rien à voir
avec une complaisance ou un laxisme.
C’est un pas essentiel de
retour en notre demeure, démarche très souvent absente dans notre
culture, influencée par des mémoires judéo-chrétiennes qui nous ont
enfoncé peu à peu dans un déni de nous sous prétexte de don ou plutôt
de sacrifice de soi afin d’atteindre … Quoi, au fond?
source
retrouver une facette de l’Amour.
par Myriam Lebrun
On dit que le
Dalaï lama, lorsqu’il entra en contact avec le monde occidental, fut
atterré de voir à quel point les occidentaux, en général, avaient peu
d’estime d’eux-mêmes.
Cette affliction de
l’esprit (comme bien d’autres détresses) prend racine dans la
perception erronée de la réalité qui repose sur l’ignorance de notre
vraie nature et la tendance à alimenter les émotions négatives.
Lorsque,
par le processus d’Investigation Intérieure, vous questionnez vos
pensées souffrantes basées sur votre perception de la réalité, vous
tombez immanquablement sur le sentiment de perte d’estime de soi, joint
à une perte de confiance en soi et à une dévalorisation qui mènent
inévitablement à un manque d’amour de soi…
Prenez l’exemple
d’une tristesse, d’une colère, d’une inquiétude et reliez ce sentiment
à la pensée qui l’a suscité par exemple« Je suis en colère à cause de X
parce qu’il/elle ne me respecte pas (ou ne m’écoute pas, ou ne m’aime
pas etc…)».
Quelle est votre tendance réactive, lorsque vous avez cette pensée? (faites votre choix)
- je lui en veux
- je me ferme
- je mets des distances entre nous (je me sépare)
- j’enrage,
- je lui fais des reproches (oralement ou mentalement)
Comment votre corps réagit-il
- je ressens des tensions physiques ou des malaises dans mon organisme
Quel film vous faites-vous mentalement?
-
Toutes sortes d’images me viennent qui confortent les «raisons» que
j’ai de lui adresser ces reproches plein de pensées sous jacentes
émergent: il ne m’apprécie pas, il se moque de moi, il me déteste…
Quelle attitude mettez-vous en place avec cette pensée?
- je m’enferme dans une attitude de mépris ou de supériorité («moi, je ne suis pas comme ça»…)
- je ne le respecte pas (ne l’écoute pas, ne l’aime pas…)
- je cherche des stratégies pour obtenir qu’il me respecte (m’écoute, m’aime…)
- j’essaye de le manipuler pour obtenir son attention, son respect…
- je deviens irritable lorsque cela ne «marche» pas.
Cette pensée apporte-t- elle la paix ou le stress dans votre vie?
- je suis tendu avec mon entourage
- je stresse
- Je ressens de l’anxiété
- je me demande ce que j’ai pu faire pour qu’il ne me respecte pas (ne m’écoute pas…)
- je commence à culpabiliser, à douter de moi
- je me sens nul (je me dévalorise)
- je me puni en m’empêchant de vivre, en me rendant malade, en m’en voulant, etc…
- je me sens victime, triste et impuissant à faire changer l’autre.
- je perds confiance et estime de moi…. Et je perds ainsi l’amour de moi et de l’autre.
La
perte de l’estime de soi fait partie de ces effets pervers décrits dans
le cercle vicieux de la peur - que je développe dans le stage "Aimer ou
avoir peur?"
Cette perte d’estime de soi équivaut à un manque
d’amour de soi, dont l’origine est une blessure qui prend naissance, le
plus souvent, dans l’enfance. Cette blessure est liée au sentiment de
séparation et à la découverte de l’amour conditionnel des parents ainsi
qu’au système établi de récompense/punition.
La perception d’une non
reconnaissance, non acceptation, non appréciation… vont façonner
l’enfant puis l’adulte en provocant une blessure d’âme intolérable,
inconsciente la plupart du temps, et qui s’exprimera sous forme de
syndrome d’abandon, de rejet, d’injustice, etc. selon l’histoire
personnelle de chacun.
Cette blessure originelle de l’âme,
insupportable, provoque un ressentiment, mêlé de colère, d’agressivité
voire de haine envers le(s) parent(s). Or de tels sentiments sont
brimés, cassés à la base par l’éducation et condamnés par la société
(école, groupements, etc). N’ayant pas de réel exutoire, ce
ressentiment sera le plus souvent refoulé, puis, transformé et retourné
vers l’extérieur sous forme de jugements, de critiques et davantage, ou
vers l’intérieur sous forme d’autodestruction, entraînant dans son
sillage, honte, culpabilité, croyance (par ex.«suis mauvais si je suis
en colère»).
L’anxiété, cette forme de la peur, viscéralement
inscrite, est si courante et indécelable qu’elle crée un état de
tension interne dont on cherchera à mettre un terme par
l’auto-punition, cause de nouvelles souffrances - morales, psychiques
(On finira par s’en vouloir d’être comme on est) – entraînant une
dévalorisation de soi, une non estime de soi, une négation de soi qui
glissent lentement vers cette sensation éprouvante de manque l’amour.
Ce
n’est que par l’accueil et l’acceptation de Ce Qui Est, dans l’instant,
que ce soit la situation ou la souffrance vécue, que peut s’inverser ce
processus d’auto destruction.
L’observation et l’investigation de
l’origine de cette souffrance et la reconnaissance de tous nos états
internes sans jugement peuvent faire renaître l’estime de soi et un
jugement approprié de la réalité.
Par la compréhension et la
réalisation des phénomènes vécus, nous éprouvons peu à peu de la
compassion et de la gratitude qui illuminent notre vie intérieure et
s’expriment à l’extérieur.
La confiance se développe par la
pratique d’observation de nos schémas compulsifs qui peuvent être enfin
gérés dans une foi nouvelle en notre capacité de régénération et un
lâcher prise (voir article n° 184 Recto Verseau déc.2007).
Cette reconnaissance permet une attitude neuve de présence à soi-m’aime.
L’action,
soutenue par l’amour et l’estime de soi, prendra une toute autre
ampleur et une communication bienveillante dans le respect de soi en
est une des résultantes.
Par exemple, imaginez-vous la même
situation sans la pensée que X ne vous respecte pas (ne vous écoute
pas, ne vous aime pas, etc.).
Qui
seriez-vous si vous n’aviez pas expérimenté cette pensée? Que
ressentez-vous alors? Comment pourriez-vous vivre votre vie sans cette
pensée? Comment agiriez-vous avec autrui sans cette pensée?
Ne
pourriez-vous pas davantage exprimer votre besoin (de respect, de
tendresse etc..), simplement, sans en faire toute une histoire?
Ce n’est pas la situation mais bien la perception de celle-ci et le jugement porté sur soi qui provoque la souffrance.
Par exemple, si je penseje suis trop gros(se), trop petit, pas assez intelligent, beau/belle , je suis nul(le) etc….
Comment est-ce que je me traite? Quelle opinion ai-je de moi? Comment est-ce que je me considère quand j’ai ces pensées?
Faites l’exercice à votre tour…
Comment me sentirai-je sans ces pensées dévalorisantes en étant simplement tel(le) que je suis?
Prenez votre temps, écoutez à l’intérieur de vous la réponse.
La
paix, la sérénité, la clarté mentale et l’estime de soi peuvent refaire
surface lorsqu’il est perçu clairement que ce sont nos pensées qui
génèrent nos afflictions.
Dans le travail d’investigation, on
procède également à un retournement des pensées initialement émises, ce
qui est révélateur de notre projection mentale sur le monde extérieur.
En
effet, une pensée comme « Il ne me respecte pas » donne à l’inverse «Je
ne ME respecte pas ». Faites le silence en vous et regardez, en toute
ingénuité, si cela n’est pas aussi vrai, ou même plus vrai (dans mon
cas c’était souvent plus vrai).
Un autre retournement est « Je
ne LE respecte pas ». Voyez comment, lorsque vous êtes blessé, vous
chercher à blesser l’autre à votre tour. Cependant, qui ressent la
douleur?
Le monde est le reflet de notre esprit.
C’est surtout la Loi du talion qui règne sur cette planète. Plutôt
que d’investiguer et de comprendre les mécanismes et les programmes de
survie des humains, nous cherchons à nous en défendre pour nous
sécuriser, jusqu’à attaquer à notre tour. Ce faisant, nous perdons
l’estime de nous et de l’autre, aveuglé par notre peur.
L’estime
de soi, étroitement liée à la confiance en soi, au respect de soi et
donc à l’amour de soi est un pilier pour accroître un potentiel
d’ancrage dans la réalité. Elle conduit à la foi qui permet d’aborder
la vie avec sérénité. Elle naît de la reco-naissance de notre nature
essentielle, et s’enracine dans la compréhension de cette vraie nature,
faites de joie et d’amour. Elle nous aide à grandir, sans orgueil, sans
mépris, sans supériorité ou infériorité, sans haine et sans fausse
pudeur. Elle nous aide à exprimer nos vrais besoins dans une
communication bienveillante et saine, à respecter ce qui ne nous
convient pas et à en assumer la responsabilité.
L’estime de soi
est aussi le gage d’une souveraineté à retrouver dans le seul royaume
où nous ayons un réel pouvoir: à l’intérieur de nous. Le pouvoir de
nous accepter totalement tel que nous sommes, ce qui n’a rien à voir
avec une complaisance ou un laxisme.
C’est un pas essentiel de
retour en notre demeure, démarche très souvent absente dans notre
culture, influencée par des mémoires judéo-chrétiennes qui nous ont
enfoncé peu à peu dans un déni de nous sous prétexte de don ou plutôt
de sacrifice de soi afin d’atteindre … Quoi, au fond?
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