Après la très jolie adaptation de Siddharta de Thich Nhat Hanh
Christine Delmotte nous propose l'adaptation du roman Milarepa
d'Eric Emmanuel Schmitt, toujours au théâtre des Martyrs à Bruxelles
Du 4 fevrier 2011 au 5 mars 2011
Premier volet du cycle de l'invisible
Simon fait chaque nuit le même rêve dont une femme énigmatique lui livre la clef : il est la réincarnation de l'oncle de Milarepa, le célèbre ermite tibétain du XIe siècle, qui vouait à son neveu une haine inexpiable. Pour sortir du cycle des renaissances, Simon doit raconter l'histoire des deux hommes, s'identifiant à eux au point de mêler leur identité et la sienne.
Mais où commence le rêve, où finit le réel ?
Eric-Emmanuel Schmitt, dans ce monologue qui est aussi un conte dans l’esprit du bouddhisme tibétain, poursuit son questionnement philosophique : la réalité existe-t-elle en dehors de la perception que l’on en a ?
En une dizaine d’années, Eric-Emmanuel Schmitt est devenu un des auteurs francophones les plus lus et les plus représentés dans le monde.
Né en 1960, normalien, agrégé de philosophie, docteur, il s’est fait connaître au théâtre avec Le Visiteur, Variations énigmatiques, Le Libertin, Hôtel des deux mondes, Petits crimes conjugaux, Mes Evangiles, La Tectonique des sentiments… Plébiscitées tant par le public que par la critique, ses pièces ont été récompensées par plusieurs Molière et le Grand Prix du théâtre de l’Académie française. Son œuvre est désormais jouée dans plus de quarante pays.
Il écrit le Cycle de l’Invisible, cinq récits sur l’enfance et la spiritualité, qui rencontrent un immense succès aussi bien sur scène qu’en librairie : Milarepa, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, Oscar et la dame rose, L’Enfant de Noé et Le sumo qui ne pouvait pas grossir… et de nombreux romans.
…Au XIe siècle, Milarepa fit un trajet ahurissant : de bandit, il devint saint.
Consacrant sa prime jeunesse à la vengeance, voleur, incendiaire, assassin, il passa le reste de sa vie à marcher vers le calme et le Bien. Les hautes figures spirituelles sont toujours des acrobates, des spécialistes du grand écart. Elles parcourent les extrêmes de l'humain. Elles nous nourrissent par l'exemple de leur grand voyage, car, elles, elles parviennent au terme, alors que nous, milliards d'humains ordinaires, nous ballottons sans cesse du Mal au Bien, de la douleur au bonheur, du calme à l'inquiétude, sans jamais nous fixer, sans jamais nous purger, sans jamais nous engager absolument. Milarepa avait la pureté d'un achèvement.
J'ai écrit un monologue. C'est une forme théâtrale que j'aime, bien que le passé l'ait ignoré et que le présent en abuse. Car il s'agit bien de théâtre, et non de récit.
Le monologue, certes n'est que la parole d'une conscience mais il offre des espaces de jeu au comédien, il fait place à d'autres personnages, aux dialogues, aux scènes, aux ruptures de ton et de temps. Dans Milarepa, je me suis ingénié, de façon bouddhiste, à faire en sorte que les "je" se succèdent, voire se confondent, car le narrateur Simon, un homme d'aujourd'hui, doit achever le cycle de ses vies antérieures en les narrant au public. Le monologue, tout naturellement et tout philosophiquement devient donc duologue, trilogue, voire plus... Une expérience troublante pour le comédien, mais encore plus pour le spectateur.
Eric-Emmanuel Schmitt
L’air des cimes tibétaines traverse ce monologue confié à un homme d’aujourd’hui.
… Eric-Emmanuel Schmitt s’empare de cette histoire avec une belle simplicité, une foi, une sorte de belle lumière qui donne à sa plume la sincérité, l’allant, les éclats…
Olivier Schmitt- Le Monde
Un texte magique joué par Patrick Brüll.
Mise en scène et scénographie : Christine Delmotte
Eclairage : Nathalie Borlée
Costume : Cathy Peraux
Christine Delmotte nous propose l'adaptation du roman Milarepa
d'Eric Emmanuel Schmitt, toujours au théâtre des Martyrs à Bruxelles
Du 4 fevrier 2011 au 5 mars 2011
Premier volet du cycle de l'invisible
Simon fait chaque nuit le même rêve dont une femme énigmatique lui livre la clef : il est la réincarnation de l'oncle de Milarepa, le célèbre ermite tibétain du XIe siècle, qui vouait à son neveu une haine inexpiable. Pour sortir du cycle des renaissances, Simon doit raconter l'histoire des deux hommes, s'identifiant à eux au point de mêler leur identité et la sienne.
Mais où commence le rêve, où finit le réel ?
Eric-Emmanuel Schmitt, dans ce monologue qui est aussi un conte dans l’esprit du bouddhisme tibétain, poursuit son questionnement philosophique : la réalité existe-t-elle en dehors de la perception que l’on en a ?
En une dizaine d’années, Eric-Emmanuel Schmitt est devenu un des auteurs francophones les plus lus et les plus représentés dans le monde.
Né en 1960, normalien, agrégé de philosophie, docteur, il s’est fait connaître au théâtre avec Le Visiteur, Variations énigmatiques, Le Libertin, Hôtel des deux mondes, Petits crimes conjugaux, Mes Evangiles, La Tectonique des sentiments… Plébiscitées tant par le public que par la critique, ses pièces ont été récompensées par plusieurs Molière et le Grand Prix du théâtre de l’Académie française. Son œuvre est désormais jouée dans plus de quarante pays.
Il écrit le Cycle de l’Invisible, cinq récits sur l’enfance et la spiritualité, qui rencontrent un immense succès aussi bien sur scène qu’en librairie : Milarepa, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, Oscar et la dame rose, L’Enfant de Noé et Le sumo qui ne pouvait pas grossir… et de nombreux romans.
…Au XIe siècle, Milarepa fit un trajet ahurissant : de bandit, il devint saint.
Consacrant sa prime jeunesse à la vengeance, voleur, incendiaire, assassin, il passa le reste de sa vie à marcher vers le calme et le Bien. Les hautes figures spirituelles sont toujours des acrobates, des spécialistes du grand écart. Elles parcourent les extrêmes de l'humain. Elles nous nourrissent par l'exemple de leur grand voyage, car, elles, elles parviennent au terme, alors que nous, milliards d'humains ordinaires, nous ballottons sans cesse du Mal au Bien, de la douleur au bonheur, du calme à l'inquiétude, sans jamais nous fixer, sans jamais nous purger, sans jamais nous engager absolument. Milarepa avait la pureté d'un achèvement.
J'ai écrit un monologue. C'est une forme théâtrale que j'aime, bien que le passé l'ait ignoré et que le présent en abuse. Car il s'agit bien de théâtre, et non de récit.
Le monologue, certes n'est que la parole d'une conscience mais il offre des espaces de jeu au comédien, il fait place à d'autres personnages, aux dialogues, aux scènes, aux ruptures de ton et de temps. Dans Milarepa, je me suis ingénié, de façon bouddhiste, à faire en sorte que les "je" se succèdent, voire se confondent, car le narrateur Simon, un homme d'aujourd'hui, doit achever le cycle de ses vies antérieures en les narrant au public. Le monologue, tout naturellement et tout philosophiquement devient donc duologue, trilogue, voire plus... Une expérience troublante pour le comédien, mais encore plus pour le spectateur.
Eric-Emmanuel Schmitt
L’air des cimes tibétaines traverse ce monologue confié à un homme d’aujourd’hui.
… Eric-Emmanuel Schmitt s’empare de cette histoire avec une belle simplicité, une foi, une sorte de belle lumière qui donne à sa plume la sincérité, l’allant, les éclats…
Olivier Schmitt- Le Monde
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