Les notes entre parenthèses en italique sont rajoutées par l'auteur de cet articleIntroduction (extrait)
[...]
Les essais qui suivent visent mieux qu'une simple actualisation du Dharma pour le mettre au goût du jour.
Quand deux façons de penser se rencontrent et s'interrogent l'une l'autre, c'est la bienveillance et le désir partagé de renouveler leur compréhension qui ouvre les perspectives les plus fertiles.
Avec des conséquences qui peuvent être décisives pour chacun des interlocuteurs.
Nous distinguons plus clairement ce qui est essentiel dans le Dharma bouddhiste et nous commençons aussi à mieux discerner ses extraordinaires implications pour la situation qui est aujourd'hui la nôtre.
A mesure que la voie bouddhiste est dé-mythologisée,
sa pertinence contemporaine s'impose avec une évidence accrue.
Certes, il serait présomptueux de parler de " libérer le bouddhisme ", mais s'il est permis de jouer sur les mots,
il me semble utile de dire qu'un bouddhisme plus libéré sera du même coup plus libérateur.
Si ces deux préoccupations sont présentes dans l'ensemble des chapitres qui suivent, le thème du " bouddhisme libéré " est au centre de la première partie de cet ouvrage qui propose quelques façons neuves d'exprimer le Dharma.
Le " bouddhisme libérateur " est plutôt l'affaire de la deuxième partie du livre où le Dharma nous offre des regards neufs qui permettent de comprendre l'impasse dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui.
Dans chaque chapitre, cependant, je souhaite que ces deux perspectives se confortent mutuellement.
La " Souffrance du Moi " pointe au cœur de l'enseignement fondamental du bouddhisme, le lien qu'il dévoile entre notre incapacité à apprécier la vie et notre sentiment illusoire du moi.
Quelle relation entretiennent-ils et comment cette illusion peut-elle être surmontée ?
Le moi est hanté par le sentiment de manque que nous éprouvons sans le comprendre, si bien que nous essayons en général de le combler par des moyens qui ne font qu'aggraver les choses.
Comme ce problème est essentiellement spirituel - en fait c'est le problème spirituel qui se trouve à la racine de nombreux autres problèmes, la plupart peut-être,
la solution doit aussi être spirituelle.
Nous devons cesser de fuir la vacuité qui est notre cœur et réaliser sa vraie nature.
" Le Manque d'Argent ", " La Grande Séduction " et " Piégés dans le Temps " s'appuient sur cette perspective pour comprendre comment nos façons de penser l'argent, la célébrité et le temps sont devenues des illusions qui " nous ligotent sans corde ".
Pourquoi n'en avons-nous jamais assez ?
Le désir d'argent est souvent obsessionnel car l'argent fonctionne comme une sorte de réalité symbolique qui peut combler notre sentiment de manque.
L'argent, considéré comme une construction sociale est bien entendu sans valeur en lui-même - vous ne pouvez manger ni boire un billet de banque -, mais comme moyen d'échange, il est la chose la plus précieuse de toutes.
Dès lors, il était inévitable qu'il en vienne à incarner une forme de bonheur abstrait.
Vous vous rappelez le roi Midas [légendaire roi de Phrygie qui avait obtenu de Dionysos la faculté de transformer en or tout ce qu'il touchait] ?
Aujourd'hui chacun de nous lui ressemble un peu. Il n'y a rien de mal à posséder de l'argent si on en fait un usage approprié, mais vous allez au devant de sérieuses déceptions si vous attendez de lui ce qu'il ne peut vous offrir.
En va-t-il de même pour la célébrité ?
Nous sommes enclins à considérer celle-ci, à l'instar de l'argent, comme une soif universelle, pourtant aucune des deux ne jouait un rôle très important au Moyen Age.
La célébrité moderne requiert des médias modernes : télévision, cinéma, journaux, magazines, etc.
Pourquoi la tentation de la célébrité nous tenaille-t-elle à ce point ?
Pour le comprendre, nous avons aussi besoin d'examiner l'alternative: ce que Leo Braudy a appelé la " mort vivante " de l'anonymat dans un monde chaque jour plus dominé par les médias électroniques.
L'attention collective de tant de gens inconnus semble nous offrir un puissant moyen, peut-être le plus puissant, de nous sentir plus réel.
Mais vu qu'il reste bien incapable de nous rendre vraiment plus réel, on découvre que cette possibilité n'est qu'une illusion collective.
Plus dérangeant encore pour nombre d'entre nous,
le problème du temps, ou plutôt du manque de temps.
Notre manque de temps serait-il lui aussi une des facettes du manque qui ronge le moi ?
Non seulement nous ne disposons jamais d'assez de temps pour faire tout ce que nous avons à faire
mais il ne peut y avoir assez de temps parce que nous savons que notre temps est limité tout comme nous savons ce qui nous attend au terme de notre existence.
Le bouddhisme ne promet pas l'immortalité dans le sens habituel du terme - une vie qui se poursuivrait indéfiniment - mais il offre une nouvelle compréhension du temps.
Le temps n'est pas quelque chose que j'ai, c'est quelque chose que je suis et si je suis le temps, alors je ne puis être piégé par le temps.
Paradoxalement, devenir le temps en réalisant ma non-dualité avec lui- ce que Dôgen appelait uji " être-temps " - revient à vivre un éternel présent.
(ou infini présent)Notre façon habituelle de penser au temps et à la façon dont nous pouvons être piégés " en " lui est un bon exemple de la façon nous opérons des distinctions conceptuelles dans lesquelles nous sommes ensuite coincés - par exemple la distinction illusoire entre moi et mon temps.
Le philosophe indien Nagarjuna, qu'on considère en général comme la deuxième figure la plus importante de l'histoire du bouddhisme, a analysé ces dualismes et la façon dont ils nous égarent.
Ce qu'il avait à dire était très important mais son style philosophique est d'une densité qui le rend peu accessible. " Le Second Bouddha " offre un survol de ses enseignements et de la façon dont les philosophes modernes confirment aujourd'hui ce qu'il avait compris voici plus de deux millénaires.
L'un des plus importants problèmes pour le bouddhisme contemporain est
le karma.
Comment devons-nous comprendre cette notion aujourd'hui ?
Comme le suppose la notion d'impermanence, le karma aussi a une histoire et celle-ci a pris la forme d'un legs bien spécifique.
L'interprétation littérale du terme, la plus courante, implique que le tissu social est le reflet de l'organisation morale de l'univers : celui qui est né aveugle ou pauvre récolterait les fruits des actions commises dans une vie antérieure.
A la différence d'anatta, le non-moi, et de beaucoup d'autres enseignements bouddhistes, pourtant, rien dans notre monde moderne ne vient étayer un tel point de vue.
La science n'a pas découvert une telle force, un tel mécanisme.
(ceci est contredit par les avancées de la physique quantique décrivant le temps réversible et la mémorisation inscrite dans le principe universel) Ce constat ne suffit certes pas à réfuter l'interprétation traditionnelle du karma, mais il nous incite sans aucun doute à rechercher d'autres explications.
Le problème, une fois encore, est que le karma est habituellement compris comme quelque chose qui appartient au moi, plutôt que comme ce qu'est le sentiment du moi.
" Comment Gouverner votre Karma " présente cette " nouvelle " perspective.
Pour le Bouddha le karma est, c'est en tout cas son aspect le plus important, la clé du développement spirituel parce qu'il révèle comment notre vie peut être transformée ici et maintenant en changeant les motivations qui sous-tendent nos actes.
Autre problème qui laisse de nombreux bouddhistes contemporains désorientés, celui de la sexualité.
Le bouddhisme est-il compatible avec les attitudes contemporaines envers la sexualité et la différence sexuelle ?
Bien que le célibat ne soit pas nécessaire pour les laïcs, il est exigé des moines.
Avec quelles implications éventuelles pour ceux qui ne sont pas moines, mais qui prennent eux aussi leur pratique très à cœur ?
Vaut-il mieux pour notre développement spirituel que tous les bouddhistes restent célibataires ?
" Pourquoi le sexe nous déçoit-il ? " s'efforce de répondre à cette question en se demandant pourquoi le célibat a été si important pour les moines bouddhistes.
Nous devons aussi nous interroger sur ce que nous attendons aujourd'hui d'une relation amoureuse et sexuelle, surtout sous l'angle de notre espoir continuel que, d'une façon ou d'une autre, elle puisse combler notre sentiment de manque.
Notre monde est très différent de celui du Bouddha. S'il vivait aujourd'hui, que ferait le Bouddha ?
Si la réponse n'est certes pas simple, nul ne peut ignorer la question.
La globalisation des crises économique, militaire et écologique donne un sens neuf au rôle décisif que le bouddhisme assigne à l'interdépendance et elle appelle de nouveaux genres de bodhisattvas - à chacun de nous de répondre de son mieux.
Mais si tout est " vide ", où est l'urgence ?
Afin de vraiment aider le monde, ne devrions-nous pas nous concentrer d'abord sur notre propre éveil ?
Ou bien ces objections méconnaissent-elles la véritable nature de la voie bouddhiste ? " Que ferait le Bouddha ? " s'efforce de répondre à ces questions.
" L'institutionnalisation des Trois Poisons " approfondit la réflexion sur la différence entre notre situation et celle du Bouddha.
Il insistait sur l'importance de transformer les trois motivations malsaines: l'avidité en générosité, la malveillance en bienveillance, l'illusion en sagesse.
Aujourd'hui, nous devons aussi nous atteler à leur version collective: notre système économique institutionnalise l'avidité, le militarisme institutionnalise la malveillance et les médias institutionnalisent l'illusion.
Tout éveil personnel que nous pourrions obtenir sur notre coussin restera incomplet jusqu'à ce qu'il soit complété par un " éveil général ", levier d'une réponse sociale à ces causes institutionnelles de souffrance collective.
L'éveil bouddhiste libère notre conscience de ses saisies et fixations.
Tout comme l'avidité, la malveillance et l'illusion institutionnalisées, nous sommes aujourd'hui victimes de nouveaux pièges à attention que j'examine dans " La merchandisation de la conscience ".
Notre conscience subit de nouveaux conditionnements: fragmentée par les nouvelles technologies de l'information et de la communication, elle se voit transformée en marchandise par des techniques de propagande sophistiquées.
Qui est propriétaire de notre attention collective et qui a le droit de décider de ce qui doit en advenir ?
Au cas où les médias ne vous l'auraient pas assez seriné, aucun problème actuel n'est plus important que le changement climatique global et les crises écologiques qui menacent la pérennité de la civilisation sous sa forme actuelle.
Pourquoi sommes-nous incapables de répondre à ces défis avec le sérieux qu'ils exigent ?
" Guérir l'Ecologie " propose une perspective bouddhiste basée sur l'illusion du moi et le manque qui le hante.
Si mon problème personnel fondamental consiste dans l'illusion d'être séparé des autres, cette vérité est-elle aussi valable sur le plan collectif ?
Si le parallèle est pertinent, notre divorce d'avec la biosphère doit être une source continuelle d'anxiété collective pour nous et nos tentatives de nous rassurer ne font qu'aggraver la situation.
Pourquoi notre PNB n'est-il jamais assez élevé ?
Pourquoi avons-nous besoin de technologies toujours plus performantes ?
" Le Karma de la Nourriture " offre justement un exemple de la façon dont l'enseignement bouddhiste peut nous aider à évaluer les nouvelles technologies, notamment les bénéfices et les dangers des aliments génétiquement modifiés.
Bien qu'il se soit trouvé au moins une organisation bouddhiste pour condamner comme anti-naturels les aliments contenant des OGM, cette préoccupation d' " être naturel " est très peu présente dans les enseignements bouddhistes traditionnels.
Une meilleure façon de résoudre cette question consisterait à se rappeler l'insistance bouddhiste sur les conséquences karmiques de la motivation.
Jusqu'à quel point les grands groupes alimentaires se soucient-ils de ce qui est bénéfique pour les consommateurs et la biosphère et à quel point sont-ils motivé.s par l'avidité et l'illusion institutionnalisée ?
" Pourquoi nous adorons la Guerre " examine le malheureux paradoxe qui veut que bien que tous les hommes prétendent détester la guerre, ils ne cessent de la faire.
Est-ce que la guerre serait un autre moyen d'essayer de résoudre notre sentiment de manque ?
Devons-nous lutter contre les méchants là-bas afin de nous sentir mieux dans notre peau de gens d'ici ?
Historiquement, les tentatives de se débarrasser des méchants ont généralement fini par engendrer plus de mal encore.
N'est-ce pas aussi vrai de la Guerre contre la Terreur ?
Si le terrorisme est la guerre des pauvres, la guerre est le terrorisme des riches.
Peut-être ne pouvons-nous comprendre la séduction que continuent d'exercer la guerre et le terrorisme avant d'avoir compris le sentiment de manque qui ronge la modernité profane qui nous offre, en apparence, différentes façons de devenir heureux mais demeure incapable d'expliquer pourquoi aucune d'elles ne fonctionne.
Il est relativement aisé de repérer les problèmes.
Mais comment le bouddhisme peut-il nous aider à les résoudre ? Dans " Notes pour une Révolution Bouddhiste ", j'explique qu'
un bouddhisme socialement engagé n'implique pas la création d'un mouvement social distinct.
Mais en association avec d'autres mouvements spirituels engagés, il pourrait avoir à jouer un rôle important dans ce qui est devenu un mouvement global pour la paix et la justice sociale.
Le bouddhisme souligne l'importance de la pratique spirituelle personnelle, l'engagement dans la non-violence, la flexibilité qu'implique l'impermanence et la non substantialité (anatta et shunyata) ainsi que la réalisation que la fin de notre propre dukkha suppose comme corollaire que nous nous attelions à soulager la dukkha de tous nos semblables.
Ces essais ont de nombreuses implications sur les modes d'engagement qui pourraient être les nôtres, mais sur quoi des bouddhistes socialement engagés devraient-ils concentrer leurs efforts ?
Alors qu'il nous faut sans aucun doute nous opposer à la militarisation de notre société et aux ravages écologiques de notre économie,
le rôle décisif que le bouddhisme assigne à la libération de la conscience suggère une critique plus spécifique des ornières où s'est enlisée notre conscience collective et des manipulations dont elle fait l'objet.
Mais cette démarche nous révèle-t-elle aussi sur quels problèmes concentrer nos efforts ?
Source : cliquer sur ce lien
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