Dvedhāvitakka Sutta - Majjhima Nikāya 19
Le Bouddha raconte comment avant son éveil il pratiqua la discrimination de ses pensées en deux classes (dvedhā= en deux; vitakka= pensée), et explique pourquoi il faut couper court à toutes les pensées négatives et cultiver des pensées bienveillantes.
Evaṃ me sutaṃ:
En une occasion, le Bhagavā demeurait à Sāvatthī, dans le bois de Jeta, le parc d'Anāthapiṇḍika. Là, il s'adressa aux bhikkhus:
– Bhikkhus!
– Oui, Bhante, répondirent les bhikkhus.
Le Bhagavā dit:
– Bhikkhus, avant ma sambodhi, quand je n'étais encore qu'un Bodhisatta non-éveillé, cette pensée vint à moi:
'Et si je divisais mes pensées en deux classes?'
Je fis donc une classe regroupant les pensées empreintes de désir sensuel, les pensées empreintes de rancune, et les pensées empreintes de nocivité, et une autre classe regroupant les pensées de renoncement, les pensées de non-rancune, et les pensées de non-nocivité.
Et alors que je demeurais ainsi attentif, ardent, et résolu, une pensée empreinte de désir sensuel fit son apparition.
Je compris: 'Une pensée empreinte de désir sensuel a surgi en moi;
et cela conduit à ma propre affliction ou à l'affliction d'autres ou à l'affliction des deux'.
Cela fait obstruction à la sagesse, engendre de la contrariété, et ne conduit pas au nibbāna.'
Lorsque je considérai: 'Cela mène à ma propre affliction', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela mène à l'affliction d'autres', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela mène à l'affliction des deux', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela fait obstruction à la sagesse, engendre de la contrariété, et ne conduit pas au nibbāna', elle s'évanouit.
A chaque fois qu'une pensée empreinte de désir sensuel surgissait, je l'abandonnais simplement, la détruisais, la dissipais, l'éliminais.
Et alors que je demeurais ainsi attentif, ardent, et résolu, une pensée empreinte de rancune fit son apparition.
Je compris: 'Une pensée empreinte de rancune a surgi en moi; et cela conduit à ma propre affliction ou à l'affliction d'autres ou à l'affliction des deux'.
Cela fait obstruction à la sagesse, engendre de la contrariété, et ne conduit pas au nibbāna.'
Lorsque je considérai: 'Cela mène à ma propre affliction', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela mène à l'affliction d'autres', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela mène à l'affliction des deux', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela fait obstruction à la sagesse, engendre de la contrariété, et ne conduit pas au nibbāna', elle s'évanouit.
A chaque fois qu'une pensée empreinte de rancune surgissait, je l'abandonnais simplement, la détruisais, la dissipais, l'éliminais.
Et alors que je demeurais ainsi attentif, ardent, et résolu, une pensée empreinte de nocivité fit son apparition. Je compris: 'Une pensée empreinte de nocivité a surgi en moi; et cela conduit à ma propre affliction ou à l'affliction d'autres ou à l'affliction des deux'. Cela fait obstruction à la sagesse, engendre de la contrariété, et ne conduit pas au nibbāna.'
Lorsque je considérai: 'Cela mène à ma propre affliction', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela mène à l'affliction d'autres', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela mène à l'affliction des deux', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela fait obstruction à la sagesse, engendre de la contrariété, et ne conduit pas au nibbāna', elle s'évanouit.
A chaque fois qu'une pensée empreinte de nocivité surgissait, je l'abandonnais simplement, la détruisais, la dissipais, l'éliminais.
Ce à quoi un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment devient l'inclination de son esprit.
Si un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment à des pensées empreintes de désir sensuel, il abandonne ainsi les pensées de renoncement pour cultiver les pensées empreintes de désir sensuel.
Si un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment à des pensées empreintes de rancune, il abandonne ainsi les pensées de non-rancune pour cultiver les pensées empreintes de rancune.
Si un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment à des pensées empreintes de nocivité, il abandonne ainsi les pensées de non-nocivité pour cultiver les pensées empreintes de nocivité.
De la même manière qu'au cours du dernier mois de mousson, pendant la saison d'automne, lorsque les récoltes sont en train de mûrir, un vacher s'occuperait de ses vaches: il les taperait, les piquerait avec un bâton de ce côté-ci et de ce côté-là pour les contrôler et les réfréner.
Pourquoi cela? Parce qu'il voit qu'il pourrait en résulter une flagellation ou un emprisonnement ou une amende ou une réprimande publique [s'il laissait ses vaches divaguer dans les récoltes].
De la même manière j'ai vu dans les états mentaux malsains des inconvénients, des dégradations, et des souillures, et j'ai vu dans les états mentaux sains la bénédiction du renoncement et l'aspect de purification.
Et alors que je demeurais ainsi attentif, ardent, et résolu, une pensée de renoncement fit son apparition.
Je compris: 'Une pensée de renoncement a surgi en moi; et cela ne conduit ni à ma propre affliction, ni à l'affliction d'autres, ni à l'affliction des deux'.
Elle suscite la sagesse, n'engendre pas de contrariété, et conduit au nibbāna.
Si je devais penser et réfléchir de cette manière même pendant toute une nuit... même pendant toute une journée... même pendant tout un jour et une nuit, je ne vois aucun danger qui pourrait en venir, à part que poursuivre cette pensée et cette réflexion pendant longtemps fatiguerait le corps.
Lorsque le corps est fatigué, l'esprit est perturbé; et un esprit perturbé est loin de la concentration.'
J'ai donc affermi mon esprit intérieurement, je l'ai posé, unifié, et concentré.
Pourquoi donc? De façon à ce que mon esprit ne soit pas perturbé.
Et alors que je demeurais ainsi attentif, ardent, et résolu, une pensée de non-rancune fit son apparition.
Je compris: 'Une pensée de non-rancune a surgi en moi; et cela ne conduit ni à ma propre affliction, ni à l'affliction d'autres, ni à l'affliction des deux'.
Elle suscite la sagesse, n'engendre pas de contrariété, et conduit au nibbāna.
Si je devais penser et réfléchir de cette manière même pendant toute une nuit... même pendant toute une journée... même pendant tout un jour et une nuit, je ne vois aucun danger qui pourrait en venir, à part que poursuivre cette pensée et cette réflexion pendant longtemps fatiguerait le corps.
Lorsque le corps est fatigué, l'esprit est perturbé; et un esprit perturbé est loin de la concentration.'
J'ai donc affermi mon esprit intérieurement, je l'ai posé, unifié, et concentré. Pourquoi donc? De façon à ce que mon esprit ne soit pas perturbé.
Et alors que je demeurais ainsi attentif, ardent, et résolu, une pensée de non-nocivité fit son apparition.
Je compris: 'Une pensée de non-nocivité a surgi en moi; et cela ne conduit ni à ma propre affliction, ni à l'affliction d'autres, ni à l'affliction des deux'.
Elle suscite la sagesse, n'engendre pas de contrariété, et conduit au nibbāna.
Si je devais penser et réfléchir de cette manière même pendant toute une nuit... même pendant toute une journée... même pendant tout un jour et une nuit, je ne vois aucun danger qui pourrait en venir, à part que poursuivre cette pensée et cette réflexion pendant longtemps fatiguerait le corps.
Lorsque le corps est fatigué, l'esprit est perturbé; et un esprit perturbé est loin de la concentration.'
J'ai donc affermi mon esprit intérieurement, je l'ai posé, unifié, et concentré. Pourquoi donc? De façon à ce que mon esprit ne soit pas perturbé.
Ce à quoi un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment devient l'inclination de son esprit.
Si un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment à des pensées de renoncement, il abandonne ainsi les pensées empreintes de désir sensuel pour cultiver les pensées de renoncement.
Si un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment à des pensées de non-rancune, il abandonne ainsi les pensées empreintes de rancune pour cultiver les pensées de non-rancune.
Si un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment à des pensées de non-nocivité, il abandonne ainsi les pensées empreintes de nocivité pour cultiver les pensées de non-nocivité.
Tout comme au cours du dernier mois de la saison chaude, lorsque toutes les récoltes ont été rassemblées dans les villages, un vacher surveillerait ses vaches tout en se reposant à l'ombre d'un arbre ou au grand air, puisqu'il lui suffirait d'être attentif à ce que les vaches soient là.
De la même manière, il me suffisait d'être attentif à ce que ces états mentaux fussent toujours présents.
Une énergie persistante surgit en moi, et une attention sans faille s'instaura.
Mon corps était calme et sans perturbation, mon esprit concentré et unifié.
Relativement détourné de la sensualité, détourné des états mentaux malsains, je pénétrai et demeurai dans le premier jhāna: ravissement et plaisir nés de la séclusion, accompagnés par les applications initiale et soutenue de l'esprit (à l'objet). [séclusion : isolement protecteur]
Avec l'apaisement des applications initiale et soutenue de l'esprit, je pénétrai et demeurai dans le second jhāna: ravissement et plaisir nés de la concentration, unification de la conscience exempte des applications initiale et soutenue de l'esprit – assurance intérieure.
Avec l'estompement du ravissement je demeurai dans l'équanimité, attentif et vigilant, physiquement sensible au plaisir. Je pénétrai et demeurai dans le troisième jhāna, dont les êtres nobles déclarent: 'Celui qui est équanime et attentif, fait l'expérience de cette félicité.'
Avec l'abandon du plaisir et de la douleur – tout comme pour la disparition préalable de l'euphorie et de l'affliction – je pénétrai et demeurai dans le quatrième jhāna: pureté de l'équanimité et de l'attention, sans plaisir ni douleur.
Lorsque l'esprit fut ainsi concentré, purifié, clair, sans tache, débarrassé des souillures, souple, malléable, ferme, et établi dans l'imperturbabilité, je l'orientai vers la capacité à me rappeler mes vies passées.
Je me rappelai mes multiples vies passées, c'est-à-dire une naissance, deux... cinq... dix... cinquante, cent, mille, cent mille, de nombreux éons de contraction cosmique, de nombreux éons d'expansion cosmique, de nombreux éons de contraction et d'expansion cosmique, de la manière suivante: 'Là j'avais tel nom, j'appartenais à tel clan, j'avais telle apparence.
Telle était ma nourriture, telle mon expérience du plaisir et de la douleur, telle fut la fin de ma vie.
En quittant cet état, après mon décès, je renaquis là.
Là aussi j'avais tel nom, j'appartenais à tel clan, j'avais telle apparence.
Telle était ma nourriture, telle mon expérience du plaisir et de la douleur, telle fut la fin de ma vie.
En quittant cet état, après mon décès, je renaquis ici.' C'est ainsi que je me rappelai mes multiples vies passées dans leurs modes et détails.
Ceci fut la première connaissance à laquelle j'arrivai, durant la première partie de la nuit.
L'ignorance fut détruite; la connaissance surgit; l'obscurité fut détruite; la lumière surgit – comme cela arrive à celui qui est vigilant, ardent, et résolu.
Lorsque l'esprit fut ainsi concentré, purifié, clair, sans tache, débarrassé des souillures, souple, malléable, ferme, et établi dans l'imperturbabilité, je l'orientai vers la connaissance du décès et de la réapparition des êtres.
Je vis – au moyen de l'oeil divin, purifié et surpassant l'oeil humain – des êtres mourant et réapparaissant, et je discernai la façon dont ils étaient inférieurs et supérieurs, beaux et laids, fortunés et infortunés en accord avec leur kamma: 'Certains êtres – qui adoptaient de mauvaises conduites de corps, de paroles, et d'esprit, qui injuriaient les nobles personnes, soutenaient des opinions erronées et entreprenaient des actions sous l'influence d'opinions erronées – avec la rupture du corps, après la mort, réapparaissaient dans le plan d'existence où règne la privation, la mauvaise destination, les domaines inférieurs, en enfer.
Mais certains êtres – qui adoptaient de bonnes conduites de corps, de paroles et d'esprit, qui n'injuriaient pas les nobles personnes, qui soutenaient des opinions correctes et entreprenaient des actions sous l'influence des opinions correctes – avec la rupture du corps, après la mort, réapparaissaient dans les bonnes destinations, dans le monde céleste.' Ainsi – au moyen de l'oeil divin, purifié et surpassant l'oeil humain – je vis des êtres mourant et réapparaissant, et je discernai la façon dont ils étaient inférieurs et supérieurs, beaux et laids, fortunés et infortunés en accord avec leur kamma.
Ceci fut la seconde connaissance à laquelle j'arrivai, durant la seconde partie de la nuit.
L'ignorance fut détruite; la connaissance surgit; l'obscurité fut détruite; la lumière surgit – comme cela arrive à celui qui est attentif, ardent, et résolu.
Lorsque l'esprit fut ainsi concentré, purifié, clair, sans tache, débarrassé des souillures, souple, malléable, ferme, et établi dans l'imperturbabilité, je l'orientai vers la connaissance de la destruction des impuretés mentales.
Je discernai, tel que c'était réellement présent, que 'Ceci est la souffrance... Ceci est l'origine de la souffrance... Ceci est la cessation de la souffrance... Ceci est le chemin qui mène à la cessation de la souffrance... Voici les impuretés mentales... Ceci est l'origine des impuretés mentales... Ceci est la cessation des impuretés mentales... Ceci est le chemin qui mène à la cessation des impuretés mentales.'
Mon coeur, sachant cela, voyant cela, fut libéré de l'impureté de la sensualité, libéré de l'impureté du devenir, libéré de l'impureté de l'ignorance. Avec la libération, il y eut la connaissance, 'Libéré.'
Je discernai que 'La naissance est terminée, la vie sainte vécue à son terme, la tâche accomplie. Il n'y a rien de plus à réaliser dans ce monde.'
Ceci fut la troisième connaissance à laquelle j'arrivai, durant la troisième partie de la nuit.
L'ignorance fut détruite; la connaissance surgit; l'obscurité fut détruite; la lumière surgit – comme cela arrive à celui qui est attentif, ardent, et résolu.
Supposez, bhikkhus, que dans une forêt sauvage il y ait un grand marais bas, dans lequel vivrait un grand troupeau de cerfs; et qu'un homme devait survenir, ne désirant pas leur bonheur, ne désirant pas leur bien-être, ne désirant pas les libérer de l'esclavage.
Il fermerait le chemin sûr et tranquille qui mène à leur ravissement, et ouvrirait une fausse voie, mettrait en place un leurre mâle, placerait un leurre femelle, et ainsi le grand troupeau de cerfs, plus tard, sombrerait dans la ruine et le désastre.
Puis supposez qu'un homme apparaisse à ce même grand troupeau de cerfs, désirant leur bonheur, désirant leur bien-être, désirant les libérer de l'esclavage.
Il ouvrirait le chemin sûr et tranquille qui mène à leur ravissement, fermerait la fausse voie, enlèverait le leurre mâle, détruirait le leurre femelle, et ainsi le grand troupeau de cerfs, plus tard, connaîtrait la croissance, l'augmentation, et l'abondance.
J'ai donné cette comparaison afin de transmettre une signification.
La signification est celle-ci: 'Le grand marais bas' désigne les plaisirs des sens.
'Le grand troupeau de cerfs' désigne les êtres.
'L'homme qui ne désire pas leur bonheur, ne désire pas leur bien-être, ne désire pas les libérer de l'esclavage' désigne Māra, le Malveillant.
'La fausse voie' désigne l'octuple sentier erroné, c'est-à-dire: vue erronée, intention erronée, parole erronée, action erronée, moyens de subsistance erronés, effort erroné, attention erronée, et concentration erronée.
'Le leurre mâle' désigne la passion et le plaisir.
'Le leurre femelle' désigne l'ignorance. 'L'homme désirant leur bonheur, désirant leur bien-être, désirant les libérer de l'esclavage' désigne le Tathāgata, l'arahant, le sammāsambuddha.
'Le chemin sûr et tranquille qui mène à leur ravissement' désigne le noble octuple sentier, c'est-à-dire: vue correcte, intention correcte, parole correcte, action correcte, moyens de subsistance corrects, effort correct, attention correcte, et concentration correcte.
Ainsi, bhikkhus, j'ai ouvert le chemin sûr et tranquille, j'ai fermé la fausse voie, enlevé le leurre mâle, détruit le leurre femelle. Tout ce que devrait faire un instructeur - recherchant le bien-être de ses disciples, par sympathie pour eux - je l'ai fait pour vous. Là-bas, il y a les racines des arbres; là-bas, des pièces vides.
Pratiquez le jhāna, bhikkhus.
Ne soyez pas négligents ou vous pourriez plus tard le regretter. Ceci est notre message pour vous.
Voici ce que leur dit le Bhagavā. Gratifiés, les bhikkhus se réjouirent des paroles du Bhagavā.
Le Bouddha raconte comment avant son éveil il pratiqua la discrimination de ses pensées en deux classes (dvedhā= en deux; vitakka= pensée), et explique pourquoi il faut couper court à toutes les pensées négatives et cultiver des pensées bienveillantes.
Evaṃ me sutaṃ:
En une occasion, le Bhagavā demeurait à Sāvatthī, dans le bois de Jeta, le parc d'Anāthapiṇḍika. Là, il s'adressa aux bhikkhus:
– Bhikkhus!
– Oui, Bhante, répondirent les bhikkhus.
Le Bhagavā dit:
– Bhikkhus, avant ma sambodhi, quand je n'étais encore qu'un Bodhisatta non-éveillé, cette pensée vint à moi:
'Et si je divisais mes pensées en deux classes?'
Je fis donc une classe regroupant les pensées empreintes de désir sensuel, les pensées empreintes de rancune, et les pensées empreintes de nocivité, et une autre classe regroupant les pensées de renoncement, les pensées de non-rancune, et les pensées de non-nocivité.
Et alors que je demeurais ainsi attentif, ardent, et résolu, une pensée empreinte de désir sensuel fit son apparition.
Je compris: 'Une pensée empreinte de désir sensuel a surgi en moi;
et cela conduit à ma propre affliction ou à l'affliction d'autres ou à l'affliction des deux'.
Cela fait obstruction à la sagesse, engendre de la contrariété, et ne conduit pas au nibbāna.'
Lorsque je considérai: 'Cela mène à ma propre affliction', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela mène à l'affliction d'autres', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela mène à l'affliction des deux', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela fait obstruction à la sagesse, engendre de la contrariété, et ne conduit pas au nibbāna', elle s'évanouit.
A chaque fois qu'une pensée empreinte de désir sensuel surgissait, je l'abandonnais simplement, la détruisais, la dissipais, l'éliminais.
Et alors que je demeurais ainsi attentif, ardent, et résolu, une pensée empreinte de rancune fit son apparition.
Je compris: 'Une pensée empreinte de rancune a surgi en moi; et cela conduit à ma propre affliction ou à l'affliction d'autres ou à l'affliction des deux'.
Cela fait obstruction à la sagesse, engendre de la contrariété, et ne conduit pas au nibbāna.'
Lorsque je considérai: 'Cela mène à ma propre affliction', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela mène à l'affliction d'autres', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela mène à l'affliction des deux', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela fait obstruction à la sagesse, engendre de la contrariété, et ne conduit pas au nibbāna', elle s'évanouit.
A chaque fois qu'une pensée empreinte de rancune surgissait, je l'abandonnais simplement, la détruisais, la dissipais, l'éliminais.
Et alors que je demeurais ainsi attentif, ardent, et résolu, une pensée empreinte de nocivité fit son apparition. Je compris: 'Une pensée empreinte de nocivité a surgi en moi; et cela conduit à ma propre affliction ou à l'affliction d'autres ou à l'affliction des deux'. Cela fait obstruction à la sagesse, engendre de la contrariété, et ne conduit pas au nibbāna.'
Lorsque je considérai: 'Cela mène à ma propre affliction', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela mène à l'affliction d'autres', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela mène à l'affliction des deux', elle s'évanouit.
Lorsque je considérai: 'Cela fait obstruction à la sagesse, engendre de la contrariété, et ne conduit pas au nibbāna', elle s'évanouit.
A chaque fois qu'une pensée empreinte de nocivité surgissait, je l'abandonnais simplement, la détruisais, la dissipais, l'éliminais.
Ce à quoi un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment devient l'inclination de son esprit.
Si un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment à des pensées empreintes de désir sensuel, il abandonne ainsi les pensées de renoncement pour cultiver les pensées empreintes de désir sensuel.
Si un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment à des pensées empreintes de rancune, il abandonne ainsi les pensées de non-rancune pour cultiver les pensées empreintes de rancune.
Si un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment à des pensées empreintes de nocivité, il abandonne ainsi les pensées de non-nocivité pour cultiver les pensées empreintes de nocivité.
De la même manière qu'au cours du dernier mois de mousson, pendant la saison d'automne, lorsque les récoltes sont en train de mûrir, un vacher s'occuperait de ses vaches: il les taperait, les piquerait avec un bâton de ce côté-ci et de ce côté-là pour les contrôler et les réfréner.
Pourquoi cela? Parce qu'il voit qu'il pourrait en résulter une flagellation ou un emprisonnement ou une amende ou une réprimande publique [s'il laissait ses vaches divaguer dans les récoltes].
De la même manière j'ai vu dans les états mentaux malsains des inconvénients, des dégradations, et des souillures, et j'ai vu dans les états mentaux sains la bénédiction du renoncement et l'aspect de purification.
Et alors que je demeurais ainsi attentif, ardent, et résolu, une pensée de renoncement fit son apparition.
Je compris: 'Une pensée de renoncement a surgi en moi; et cela ne conduit ni à ma propre affliction, ni à l'affliction d'autres, ni à l'affliction des deux'.
Elle suscite la sagesse, n'engendre pas de contrariété, et conduit au nibbāna.
Si je devais penser et réfléchir de cette manière même pendant toute une nuit... même pendant toute une journée... même pendant tout un jour et une nuit, je ne vois aucun danger qui pourrait en venir, à part que poursuivre cette pensée et cette réflexion pendant longtemps fatiguerait le corps.
Lorsque le corps est fatigué, l'esprit est perturbé; et un esprit perturbé est loin de la concentration.'
J'ai donc affermi mon esprit intérieurement, je l'ai posé, unifié, et concentré.
Pourquoi donc? De façon à ce que mon esprit ne soit pas perturbé.
Et alors que je demeurais ainsi attentif, ardent, et résolu, une pensée de non-rancune fit son apparition.
Je compris: 'Une pensée de non-rancune a surgi en moi; et cela ne conduit ni à ma propre affliction, ni à l'affliction d'autres, ni à l'affliction des deux'.
Elle suscite la sagesse, n'engendre pas de contrariété, et conduit au nibbāna.
Si je devais penser et réfléchir de cette manière même pendant toute une nuit... même pendant toute une journée... même pendant tout un jour et une nuit, je ne vois aucun danger qui pourrait en venir, à part que poursuivre cette pensée et cette réflexion pendant longtemps fatiguerait le corps.
Lorsque le corps est fatigué, l'esprit est perturbé; et un esprit perturbé est loin de la concentration.'
J'ai donc affermi mon esprit intérieurement, je l'ai posé, unifié, et concentré. Pourquoi donc? De façon à ce que mon esprit ne soit pas perturbé.
Et alors que je demeurais ainsi attentif, ardent, et résolu, une pensée de non-nocivité fit son apparition.
Je compris: 'Une pensée de non-nocivité a surgi en moi; et cela ne conduit ni à ma propre affliction, ni à l'affliction d'autres, ni à l'affliction des deux'.
Elle suscite la sagesse, n'engendre pas de contrariété, et conduit au nibbāna.
Si je devais penser et réfléchir de cette manière même pendant toute une nuit... même pendant toute une journée... même pendant tout un jour et une nuit, je ne vois aucun danger qui pourrait en venir, à part que poursuivre cette pensée et cette réflexion pendant longtemps fatiguerait le corps.
Lorsque le corps est fatigué, l'esprit est perturbé; et un esprit perturbé est loin de la concentration.'
J'ai donc affermi mon esprit intérieurement, je l'ai posé, unifié, et concentré. Pourquoi donc? De façon à ce que mon esprit ne soit pas perturbé.
Ce à quoi un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment devient l'inclination de son esprit.
Si un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment à des pensées de renoncement, il abandonne ainsi les pensées empreintes de désir sensuel pour cultiver les pensées de renoncement.
Si un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment à des pensées de non-rancune, il abandonne ainsi les pensées empreintes de rancune pour cultiver les pensées de non-rancune.
Si un bhikkhu pense et réfléchit fréquemment à des pensées de non-nocivité, il abandonne ainsi les pensées empreintes de nocivité pour cultiver les pensées de non-nocivité.
Tout comme au cours du dernier mois de la saison chaude, lorsque toutes les récoltes ont été rassemblées dans les villages, un vacher surveillerait ses vaches tout en se reposant à l'ombre d'un arbre ou au grand air, puisqu'il lui suffirait d'être attentif à ce que les vaches soient là.
De la même manière, il me suffisait d'être attentif à ce que ces états mentaux fussent toujours présents.
Une énergie persistante surgit en moi, et une attention sans faille s'instaura.
Mon corps était calme et sans perturbation, mon esprit concentré et unifié.
Relativement détourné de la sensualité, détourné des états mentaux malsains, je pénétrai et demeurai dans le premier jhāna: ravissement et plaisir nés de la séclusion, accompagnés par les applications initiale et soutenue de l'esprit (à l'objet). [séclusion : isolement protecteur]
Avec l'apaisement des applications initiale et soutenue de l'esprit, je pénétrai et demeurai dans le second jhāna: ravissement et plaisir nés de la concentration, unification de la conscience exempte des applications initiale et soutenue de l'esprit – assurance intérieure.
Avec l'estompement du ravissement je demeurai dans l'équanimité, attentif et vigilant, physiquement sensible au plaisir. Je pénétrai et demeurai dans le troisième jhāna, dont les êtres nobles déclarent: 'Celui qui est équanime et attentif, fait l'expérience de cette félicité.'
Avec l'abandon du plaisir et de la douleur – tout comme pour la disparition préalable de l'euphorie et de l'affliction – je pénétrai et demeurai dans le quatrième jhāna: pureté de l'équanimité et de l'attention, sans plaisir ni douleur.
Lorsque l'esprit fut ainsi concentré, purifié, clair, sans tache, débarrassé des souillures, souple, malléable, ferme, et établi dans l'imperturbabilité, je l'orientai vers la capacité à me rappeler mes vies passées.
Je me rappelai mes multiples vies passées, c'est-à-dire une naissance, deux... cinq... dix... cinquante, cent, mille, cent mille, de nombreux éons de contraction cosmique, de nombreux éons d'expansion cosmique, de nombreux éons de contraction et d'expansion cosmique, de la manière suivante: 'Là j'avais tel nom, j'appartenais à tel clan, j'avais telle apparence.
Telle était ma nourriture, telle mon expérience du plaisir et de la douleur, telle fut la fin de ma vie.
En quittant cet état, après mon décès, je renaquis là.
Là aussi j'avais tel nom, j'appartenais à tel clan, j'avais telle apparence.
Telle était ma nourriture, telle mon expérience du plaisir et de la douleur, telle fut la fin de ma vie.
En quittant cet état, après mon décès, je renaquis ici.' C'est ainsi que je me rappelai mes multiples vies passées dans leurs modes et détails.
Ceci fut la première connaissance à laquelle j'arrivai, durant la première partie de la nuit.
L'ignorance fut détruite; la connaissance surgit; l'obscurité fut détruite; la lumière surgit – comme cela arrive à celui qui est vigilant, ardent, et résolu.
Lorsque l'esprit fut ainsi concentré, purifié, clair, sans tache, débarrassé des souillures, souple, malléable, ferme, et établi dans l'imperturbabilité, je l'orientai vers la connaissance du décès et de la réapparition des êtres.
Je vis – au moyen de l'oeil divin, purifié et surpassant l'oeil humain – des êtres mourant et réapparaissant, et je discernai la façon dont ils étaient inférieurs et supérieurs, beaux et laids, fortunés et infortunés en accord avec leur kamma: 'Certains êtres – qui adoptaient de mauvaises conduites de corps, de paroles, et d'esprit, qui injuriaient les nobles personnes, soutenaient des opinions erronées et entreprenaient des actions sous l'influence d'opinions erronées – avec la rupture du corps, après la mort, réapparaissaient dans le plan d'existence où règne la privation, la mauvaise destination, les domaines inférieurs, en enfer.
Mais certains êtres – qui adoptaient de bonnes conduites de corps, de paroles et d'esprit, qui n'injuriaient pas les nobles personnes, qui soutenaient des opinions correctes et entreprenaient des actions sous l'influence des opinions correctes – avec la rupture du corps, après la mort, réapparaissaient dans les bonnes destinations, dans le monde céleste.' Ainsi – au moyen de l'oeil divin, purifié et surpassant l'oeil humain – je vis des êtres mourant et réapparaissant, et je discernai la façon dont ils étaient inférieurs et supérieurs, beaux et laids, fortunés et infortunés en accord avec leur kamma.
Ceci fut la seconde connaissance à laquelle j'arrivai, durant la seconde partie de la nuit.
L'ignorance fut détruite; la connaissance surgit; l'obscurité fut détruite; la lumière surgit – comme cela arrive à celui qui est attentif, ardent, et résolu.
Lorsque l'esprit fut ainsi concentré, purifié, clair, sans tache, débarrassé des souillures, souple, malléable, ferme, et établi dans l'imperturbabilité, je l'orientai vers la connaissance de la destruction des impuretés mentales.
Je discernai, tel que c'était réellement présent, que 'Ceci est la souffrance... Ceci est l'origine de la souffrance... Ceci est la cessation de la souffrance... Ceci est le chemin qui mène à la cessation de la souffrance... Voici les impuretés mentales... Ceci est l'origine des impuretés mentales... Ceci est la cessation des impuretés mentales... Ceci est le chemin qui mène à la cessation des impuretés mentales.'
Mon coeur, sachant cela, voyant cela, fut libéré de l'impureté de la sensualité, libéré de l'impureté du devenir, libéré de l'impureté de l'ignorance. Avec la libération, il y eut la connaissance, 'Libéré.'
Je discernai que 'La naissance est terminée, la vie sainte vécue à son terme, la tâche accomplie. Il n'y a rien de plus à réaliser dans ce monde.'
Ceci fut la troisième connaissance à laquelle j'arrivai, durant la troisième partie de la nuit.
L'ignorance fut détruite; la connaissance surgit; l'obscurité fut détruite; la lumière surgit – comme cela arrive à celui qui est attentif, ardent, et résolu.
Supposez, bhikkhus, que dans une forêt sauvage il y ait un grand marais bas, dans lequel vivrait un grand troupeau de cerfs; et qu'un homme devait survenir, ne désirant pas leur bonheur, ne désirant pas leur bien-être, ne désirant pas les libérer de l'esclavage.
Il fermerait le chemin sûr et tranquille qui mène à leur ravissement, et ouvrirait une fausse voie, mettrait en place un leurre mâle, placerait un leurre femelle, et ainsi le grand troupeau de cerfs, plus tard, sombrerait dans la ruine et le désastre.
Puis supposez qu'un homme apparaisse à ce même grand troupeau de cerfs, désirant leur bonheur, désirant leur bien-être, désirant les libérer de l'esclavage.
Il ouvrirait le chemin sûr et tranquille qui mène à leur ravissement, fermerait la fausse voie, enlèverait le leurre mâle, détruirait le leurre femelle, et ainsi le grand troupeau de cerfs, plus tard, connaîtrait la croissance, l'augmentation, et l'abondance.
J'ai donné cette comparaison afin de transmettre une signification.
La signification est celle-ci: 'Le grand marais bas' désigne les plaisirs des sens.
'Le grand troupeau de cerfs' désigne les êtres.
'L'homme qui ne désire pas leur bonheur, ne désire pas leur bien-être, ne désire pas les libérer de l'esclavage' désigne Māra, le Malveillant.
'La fausse voie' désigne l'octuple sentier erroné, c'est-à-dire: vue erronée, intention erronée, parole erronée, action erronée, moyens de subsistance erronés, effort erroné, attention erronée, et concentration erronée.
'Le leurre mâle' désigne la passion et le plaisir.
'Le leurre femelle' désigne l'ignorance. 'L'homme désirant leur bonheur, désirant leur bien-être, désirant les libérer de l'esclavage' désigne le Tathāgata, l'arahant, le sammāsambuddha.
'Le chemin sûr et tranquille qui mène à leur ravissement' désigne le noble octuple sentier, c'est-à-dire: vue correcte, intention correcte, parole correcte, action correcte, moyens de subsistance corrects, effort correct, attention correcte, et concentration correcte.
Ainsi, bhikkhus, j'ai ouvert le chemin sûr et tranquille, j'ai fermé la fausse voie, enlevé le leurre mâle, détruit le leurre femelle. Tout ce que devrait faire un instructeur - recherchant le bien-être de ses disciples, par sympathie pour eux - je l'ai fait pour vous. Là-bas, il y a les racines des arbres; là-bas, des pièces vides.
Pratiquez le jhāna, bhikkhus.
Ne soyez pas négligents ou vous pourriez plus tard le regretter. Ceci est notre message pour vous.
Voici ce que leur dit le Bhagavā. Gratifiés, les bhikkhus se réjouirent des paroles du Bhagavā.
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