...La plus simple qui soi a appliquer.
Une existence humaine est extrêmement courte comparée aux existences
célestes des devas et des Brahmas. Cent ans dans le plan humain
équivaut à une heure et demie dans le plan céleste du Paranimmita
Vasavatti. Bien que très courte, la vie humaine est celle qui offre les
meilleures opportunités pour l’atteinte de Nibbana.
Lorsque l’on a obtenu une vie humaine – ce qui est difficile à
obtenir - il est important de faire bon usage de cette précieuse
opportunité. La meilleure façon de le faire, c’est de pratiquer la
méditation Vipassana. Par le simple fait de pratiquer Vipassana, nous
allons nous débarrasser des impuretés comme lobha - le désir – dosa -
la colère - et moha - l’ignorance - qui nous ont entraînés dans les
plans misérables où la souffrance domine. D’autre part, nous
réaliserons la perfection de la concentration et de la sagesse, et
pourrons alors expérimenter nibbana. Voilà pourquoi, lorsqu’on se
trouve dans le plan humain et que l’on veut en tirer le meilleur
profit, il faut pratiquer la méditation Vipassana.
Pratiquer la méditation Vipassana, c’est noter les rupa Dhammas :
composés matériels, et les nama Dhammas : facteurs mentaux qui se
manifestent dans les khandas : les agrégats, afin de réaliser leur
véritable nature : le changement. Il y a quatre Dhammas :
Noter kaya, c’est noter pour prendre conscience de tous les
comportements du corps et d’en réaliser la véritable nature : la
marche, la posture debout, la posture assise, le mouvement qui consiste
à passer à la posture debout, le mouvement qui consiste à se pencher ou
à étendre les bras ou les jambes.
Au début, il n’est pas possible de noter tous les comportements du
corps car l’esprit est agité. Le méditant commence donc par pratiquer
en posture assise pour calmer son esprit. Lorsqu’il aura réalisé la
tranquillité mentale par la méditation en posture assise, il sera en
mesure de noter tous les comportements du corps, à chaque instant.
méditation assise
Pour la méditation assise, il est conseillé de se trouver une
posture confortable dans laquelle on puisse tenir longtemps : soit en
tailleur, jambes croisées, soit sur les genoux, jambes repliées. La
colonne vertébrale doit être maintenue bien droite de même que la tête
; on porte l’attention sur l’abdomen puis sur le gonflement progressif
du ventre au moment où l’air est inspiré, l faut noter «lever ». Il
faut abandonner dans la mesure du possible l’apparence extérieure de
l’abdomen, et réaliser à l’intérieur de l’abdomen, la sensation
croissante de rigidité. Lorsque l’air est expulsé, c’est l’abaissement
progressif de l’abdomen il faut observer, en s’efforçant de réaliser la
sensation de relâchement progressif et noter «baisser ».
méditation en marche
En ce qui concerne la marche, il y a trois façons de noter :
Faire une note à chaque pas
Faire deux notes à chaque pas
Faire trois notes à chaque pas
Une note à chaque pas
L’esprit se concentre sur le mouvement qu’effectue le pied gauche en
notant « gauche » puis sur le mouvement qu’effectue le pied droit en
notant « droit ». Il ne faut pas ralentir l’allure ; elle doit être
naturelle, ni trop rapide, ni trop lente. L’esprit qui note doit
essayer de ne pas s’attacher à la forme extérieure, à l’apparence
physique de la jambe, c’est le mouvement, la sensation de progression
vers l’avant qui doit être perçue en maintenant l’observation pendant
toute la durée du processus.
Deux notes à chaque pas
L’esprit se concentre sur les mouvements d’élévation et
d’abaissement du pied. Ces deux mouvements doivent être effectués de
façon très lente. Lorsqu’il observe son pied qui s’élève, le méditant
doit s’efforcer de se concentrer sur le mouvement d’élévation qu’il
observe très attentivement et pendant toute la durée du processus. Il
doit voir les étapes successives de ce mouvement et ressentir les
sensations qui l’accompagnent.
Lorsque son pied s’abaisse, il doit observer le mouvement
d’abaissement du pied, du début à la fin et doit ressentir les
sensations associées à ce mouvement vers le bas.
Trois notes à chaque pas
L’esprit se focalise sur trois mouvements : l’élévation, l’avancement et l’abaissement du pied.
Lorsqu’il observe son pied qui s’élève, le méditant doit essayer de
maintenir son attention de façon très précise pendant toute la durée du
processus et voir le mouvement d’élévation se produire étape par étape.
Lorsque son pied s’avance, le méditant observe le début du mouvement
d’avancement et maintient son attention jusqu’à la fin. Il observe le
plus attentivement possible la succession des petits mouvements vers
l’avant et les sensations.
Lorsque son pied s’abaisse et prend appui sur le sol, le méditant
observe attentivement le processus d’abaissement, du début à la fin. Il
observe avec un maximum de précision les étapes successives
d’abaissement de son pied et les sensations.
Activités quotidiennes
Lorsqu’il désire s’asseoir, le méditant doit noter le désir de
s’asseoir qui est présent dans son esprit et passe ensuite à la posture
assise très lentement. Il essaye de ne pas se focaliser sur la forme
extérieure de son corps mais de se concentrer le plus attentivement
possible sur le mouvement graduel du corps qui s’abaisse. Il doit
maintenir son attention du début à la fin du processus et essayer de
ressentir la sensation de lourdeur qui s’intensifie au fur et à mesure
que son corps descend.
Lorsqu’il désire se lever, le méditant doit d’abord noter le désir
de se lever, et ensuite seulement, il passe à la station debout, très
lentement. Il essaie de se focaliser sur le mouvement graduel de
redressement, tel qu’il se produit étape par étape. Il doit maintenir
son attention très vigilante pendant toute la durée du processus, du
début à la fin et ressentir la sensation d’allègement qui accompagne ce
mouvement vers le haut
Lorsqu’il mange, le méditant doit noter sans interruption de la façon suivante :
Lorsqu’il regarde la nourriture. Il note « voir»
Lorsque sa fourchette touche la nourriture, il note « toucher»
Lorsqu’il porte la nourriture à la bouche, il note « porter »
Lorsqu’il incline la tête pour prendre la nourriture, il note « incliner »
Lorsqu’il ouvre la bouche, il note « ouvrir »
Lorsqu’il dépose la nourriture dans la bouche, il note « déposer »
Lorsqu’il redresse la tête, il note « redresser »
Lorsqu’il mâche les aliments, il note « mâcher »
Lorsqu’il identifie le goût, il note « goûter »
Lorsqu’il avale, il note « avaler »
Il n’est pas aisé de noter tous ces détails au début, mais à force d’entraînement, le méditant sera en mesure de tout noter.
les processus mentaux
En ce qui concerne les processus mentaux, lorsqu’une pensée surgit,
le méditant doit en prendre conscience et noter « penser, penser ».
Lorsque sa concentration et sa sagesse seront devenues fortes, il lui
suffira de noter une seule fois pour que la pensée disparaisse et cesse
d’exister. Voyant ainsi la rapide disparition des pensées, le méditant
réalise que ces processus mentaux ne sont pas permanents, : ils sont
anicca. Ces disparitions se succèdent si rapidement qu’elles sont
ressenties comme une grande souffrance : c’est dukkha, la souffrance.
Il n’y a pas moyen d’y échapper : c’est anatta, la nature
incontrôlable. Le méditant voit très clairement les trois
caractéristiques de l’existence.
Le sotapanna
Le sotapanna qui a réalisé nibbana n’a aucune crainte au moment de
la mort en ce qui concerne une renaissance éventuelle dans les enfers,
dans le monde animal, dans le monde des petas ou celui des asuras. La
ronde des existences ne sera plus une source d’inquiétude pour lui. Il
ne reprendra naissance que dans des plans meilleurs que celui qu’il
connaît actuellement. Il se peut même qu’il oublie la méditation
Vipassana tant il est heureux. Il ne pourra cependant oublier que
pendant sept vies au maximum, au cours de la septième et dernière
existence, il sera plein de regrets, se remettra à pratiquer Vipassana,
deviendra un arahant et entrera au nibbana.
Voilà pourquoi lorsque l’on a obtenu la chose la plus difficile à
obtenir, une existence dans le plan humain, il faut faire le meilleur
usage de son précieux temps et pratiquer la méditation Vipassana.
source : http://vipassanasangha.free.fr
Une existence humaine est extrêmement courte comparée aux existences
célestes des devas et des Brahmas. Cent ans dans le plan humain
équivaut à une heure et demie dans le plan céleste du Paranimmita
Vasavatti. Bien que très courte, la vie humaine est celle qui offre les
meilleures opportunités pour l’atteinte de Nibbana.
Lorsque l’on a obtenu une vie humaine – ce qui est difficile à
obtenir - il est important de faire bon usage de cette précieuse
opportunité. La meilleure façon de le faire, c’est de pratiquer la
méditation Vipassana. Par le simple fait de pratiquer Vipassana, nous
allons nous débarrasser des impuretés comme lobha - le désir – dosa -
la colère - et moha - l’ignorance - qui nous ont entraînés dans les
plans misérables où la souffrance domine. D’autre part, nous
réaliserons la perfection de la concentration et de la sagesse, et
pourrons alors expérimenter nibbana. Voilà pourquoi, lorsqu’on se
trouve dans le plan humain et que l’on veut en tirer le meilleur
profit, il faut pratiquer la méditation Vipassana.
Pratiquer la méditation Vipassana, c’est noter les rupa Dhammas :
composés matériels, et les nama Dhammas : facteurs mentaux qui se
manifestent dans les khandas : les agrégats, afin de réaliser leur
véritable nature : le changement. Il y a quatre Dhammas :
- Kayanupassana satipatthana : la contemplation des phénomènes physiques
- Vedananupassana satipatthana : la contemplation des trois types de sensations : vedana
- Cittanupassana satipatthana : la contemplation des processus mentaux
- Dhammanupassana satipatthana : la contemplation des phénomènes qui
n’appartiennent à aucune des trois catégories précédentes et regroupés
sous l’appellation « objets mentaux ».
Noter kaya, c’est noter pour prendre conscience de tous les
comportements du corps et d’en réaliser la véritable nature : la
marche, la posture debout, la posture assise, le mouvement qui consiste
à passer à la posture debout, le mouvement qui consiste à se pencher ou
à étendre les bras ou les jambes.
Au début, il n’est pas possible de noter tous les comportements du
corps car l’esprit est agité. Le méditant commence donc par pratiquer
en posture assise pour calmer son esprit. Lorsqu’il aura réalisé la
tranquillité mentale par la méditation en posture assise, il sera en
mesure de noter tous les comportements du corps, à chaque instant.
méditation assise
Pour la méditation assise, il est conseillé de se trouver une
posture confortable dans laquelle on puisse tenir longtemps : soit en
tailleur, jambes croisées, soit sur les genoux, jambes repliées. La
colonne vertébrale doit être maintenue bien droite de même que la tête
; on porte l’attention sur l’abdomen puis sur le gonflement progressif
du ventre au moment où l’air est inspiré, l faut noter «lever ». Il
faut abandonner dans la mesure du possible l’apparence extérieure de
l’abdomen, et réaliser à l’intérieur de l’abdomen, la sensation
croissante de rigidité. Lorsque l’air est expulsé, c’est l’abaissement
progressif de l’abdomen il faut observer, en s’efforçant de réaliser la
sensation de relâchement progressif et noter «baisser ».
méditation en marche
En ce qui concerne la marche, il y a trois façons de noter :
Faire une note à chaque pas
Faire deux notes à chaque pas
Faire trois notes à chaque pas
Une note à chaque pas
L’esprit se concentre sur le mouvement qu’effectue le pied gauche en
notant « gauche » puis sur le mouvement qu’effectue le pied droit en
notant « droit ». Il ne faut pas ralentir l’allure ; elle doit être
naturelle, ni trop rapide, ni trop lente. L’esprit qui note doit
essayer de ne pas s’attacher à la forme extérieure, à l’apparence
physique de la jambe, c’est le mouvement, la sensation de progression
vers l’avant qui doit être perçue en maintenant l’observation pendant
toute la durée du processus.
Deux notes à chaque pas
L’esprit se concentre sur les mouvements d’élévation et
d’abaissement du pied. Ces deux mouvements doivent être effectués de
façon très lente. Lorsqu’il observe son pied qui s’élève, le méditant
doit s’efforcer de se concentrer sur le mouvement d’élévation qu’il
observe très attentivement et pendant toute la durée du processus. Il
doit voir les étapes successives de ce mouvement et ressentir les
sensations qui l’accompagnent.
Lorsque son pied s’abaisse, il doit observer le mouvement
d’abaissement du pied, du début à la fin et doit ressentir les
sensations associées à ce mouvement vers le bas.
Trois notes à chaque pas
L’esprit se focalise sur trois mouvements : l’élévation, l’avancement et l’abaissement du pied.
Lorsqu’il observe son pied qui s’élève, le méditant doit essayer de
maintenir son attention de façon très précise pendant toute la durée du
processus et voir le mouvement d’élévation se produire étape par étape.
Lorsque son pied s’avance, le méditant observe le début du mouvement
d’avancement et maintient son attention jusqu’à la fin. Il observe le
plus attentivement possible la succession des petits mouvements vers
l’avant et les sensations.
Lorsque son pied s’abaisse et prend appui sur le sol, le méditant
observe attentivement le processus d’abaissement, du début à la fin. Il
observe avec un maximum de précision les étapes successives
d’abaissement de son pied et les sensations.
Activités quotidiennes
Lorsqu’il désire s’asseoir, le méditant doit noter le désir de
s’asseoir qui est présent dans son esprit et passe ensuite à la posture
assise très lentement. Il essaye de ne pas se focaliser sur la forme
extérieure de son corps mais de se concentrer le plus attentivement
possible sur le mouvement graduel du corps qui s’abaisse. Il doit
maintenir son attention du début à la fin du processus et essayer de
ressentir la sensation de lourdeur qui s’intensifie au fur et à mesure
que son corps descend.
Lorsqu’il désire se lever, le méditant doit d’abord noter le désir
de se lever, et ensuite seulement, il passe à la station debout, très
lentement. Il essaie de se focaliser sur le mouvement graduel de
redressement, tel qu’il se produit étape par étape. Il doit maintenir
son attention très vigilante pendant toute la durée du processus, du
début à la fin et ressentir la sensation d’allègement qui accompagne ce
mouvement vers le haut
Lorsqu’il mange, le méditant doit noter sans interruption de la façon suivante :
Lorsqu’il regarde la nourriture. Il note « voir»
Lorsque sa fourchette touche la nourriture, il note « toucher»
Lorsqu’il porte la nourriture à la bouche, il note « porter »
Lorsqu’il incline la tête pour prendre la nourriture, il note « incliner »
Lorsqu’il ouvre la bouche, il note « ouvrir »
Lorsqu’il dépose la nourriture dans la bouche, il note « déposer »
Lorsqu’il redresse la tête, il note « redresser »
Lorsqu’il mâche les aliments, il note « mâcher »
Lorsqu’il identifie le goût, il note « goûter »
Lorsqu’il avale, il note « avaler »
Il n’est pas aisé de noter tous ces détails au début, mais à force d’entraînement, le méditant sera en mesure de tout noter.
les processus mentaux
En ce qui concerne les processus mentaux, lorsqu’une pensée surgit,
le méditant doit en prendre conscience et noter « penser, penser ».
Lorsque sa concentration et sa sagesse seront devenues fortes, il lui
suffira de noter une seule fois pour que la pensée disparaisse et cesse
d’exister. Voyant ainsi la rapide disparition des pensées, le méditant
réalise que ces processus mentaux ne sont pas permanents, : ils sont
anicca. Ces disparitions se succèdent si rapidement qu’elles sont
ressenties comme une grande souffrance : c’est dukkha, la souffrance.
Il n’y a pas moyen d’y échapper : c’est anatta, la nature
incontrôlable. Le méditant voit très clairement les trois
caractéristiques de l’existence.
Le sotapanna
Le sotapanna qui a réalisé nibbana n’a aucune crainte au moment de
la mort en ce qui concerne une renaissance éventuelle dans les enfers,
dans le monde animal, dans le monde des petas ou celui des asuras. La
ronde des existences ne sera plus une source d’inquiétude pour lui. Il
ne reprendra naissance que dans des plans meilleurs que celui qu’il
connaît actuellement. Il se peut même qu’il oublie la méditation
Vipassana tant il est heureux. Il ne pourra cependant oublier que
pendant sept vies au maximum, au cours de la septième et dernière
existence, il sera plein de regrets, se remettra à pratiquer Vipassana,
deviendra un arahant et entrera au nibbana.
Voilà pourquoi lorsque l’on a obtenu la chose la plus difficile à
obtenir, une existence dans le plan humain, il faut faire le meilleur
usage de son précieux temps et pratiquer la méditation Vipassana.
source : http://vipassanasangha.free.fr
Hier à 20:57 par Mila
» Jour de ROUE important dans le calendrier Bouddhiste
Jeu 21 Nov 2024, 09:26 par Pema Gyaltshen
» Trois livres de David Michie
Dim 17 Nov 2024, 16:50 par Mila
» Les différentes approches du Mahamudra
Jeu 31 Oct 2024, 10:04 par Nangpa
» Bonjour à tous les membres et merci de m'accueillir !
Jeu 31 Oct 2024, 06:25 par heyopibe
» Bizarre, apaisant et Respiration assoiffée
Sam 26 Oct 2024, 01:39 par LeLoups
» L'utilisation de l'encens pour les morts
Ven 25 Oct 2024, 11:28 par heyopibe
» Bonjour à tous - Merci pour l'accueil
Ven 25 Oct 2024, 11:19 par heyopibe
» 4 documentaires sur le bouddhisme : Sri Lanka, Tibet, Kalou Rimpoché, Bouthan
Sam 19 Oct 2024, 08:18 par Darvel
» Prise de refuge à Beaumont
Dim 13 Oct 2024, 06:28 par Mila
» Bonjour a tous, sous un grand chêne, en creuse
Sam 05 Oct 2024, 22:24 par Ortho
» Présentation Jonathan Carribo., je devais m'inscrire à l'arbre à refuges
Ven 04 Oct 2024, 17:31 par Aurélien-relax-yoga
» Bonjour à toutes et tous !
Ven 04 Oct 2024, 17:26 par Aurélien-relax-yoga
» Présentation de Djinn, pratiquant en autonomie du dharma
Ven 04 Oct 2024, 17:24 par Aurélien-relax-yoga
» Bonjour à tous de la part de Pieru
Ven 04 Oct 2024, 17:23 par Aurélien-relax-yoga
» Dharma Appliqué: Présentation de la rubrique
Mer 02 Oct 2024, 13:34 par Nidjam
» Le maître né du lotus: THE DAKINI CODE
Dim 22 Sep 2024, 09:12 par Pema Gyaltshen
» Michel Collon – Face à Israël : Que pouvez-vous faire ?
Dim 22 Sep 2024, 09:07 par Pema Gyaltshen
» ESSAI La notion de possession
Dim 08 Sep 2024, 19:29 par Ortho
» Déterminisme: Le Choix est-il une illusion ?
Mer 21 Aoû 2024, 19:07 par Nidjam
» Canon Pali : comment reconnaître une mauvaise personne et une bonne personne au regard de l’orgueil et de l'humilité
Dim 18 Aoû 2024, 14:39 par LeLoups
» Les problèmes de la méditation de pleine conscience
Dim 18 Aoû 2024, 13:13 par LeLoups
» Tukdam : méditer jusqu’à la mort
Mer 07 Aoû 2024, 15:57 par Disciple laïc
» La petite voix ? ...................
Dim 04 Aoû 2024, 08:11 par Algo
» Bouddhisme : la loi du silence
Ven 02 Aoû 2024, 21:05 par dominique0
» On nait mis en boîte ! .....................
Ven 02 Aoû 2024, 05:55 par Algo
» Bouddha n'était pas non violent...
Ven 02 Aoû 2024, 05:38 par Algo
» Le Cercle d'Eveil 2024 Juin
Sam 08 Juin 2024, 07:34 par Pema Gyaltshen
» Amitābha: Le Grand Soutra de la Vie Infinie
Mar 14 Mai 2024, 21:22 par Disciple laïc
» Saga Dawa 2024 ( du 9 mai au 6 juin 2024 )
Ven 10 Mai 2024, 09:09 par Mila
» Bertrand Piccard, son dernier livre ( 2021 )
Lun 06 Mai 2024, 09:41 par Pema Gyaltshen
» Blessé au visage , un orang-outan se soigne avec un pansement végétal
Sam 04 Mai 2024, 20:17 par Mila
» Découvrez les Bienfaits du Bouddhisme Tibétain pour une Vie Équilibrée
Lun 29 Avr 2024, 12:52 par Puntsok Norling
» Drouptcheu de Keuntchok Tchidu
Dim 21 Avr 2024, 12:02 par Mila
» Citation de Richard Gere ( Article du journal : AuFéminin )
Ven 19 Avr 2024, 15:31 par arcane 17
» Cinquantenaire de la fondation de Palden Shangpa La Boulaye
Ven 05 Avr 2024, 19:05 par Nangpa
» Bonne Nouvelle chrétienne et Bonne Nouvelle bouddhiste
Lun 01 Avr 2024, 10:34 par Algo
» Qu’entend-on vraiment par « tout vient de l’esprit » ?
Sam 23 Mar 2024, 11:38 par Nidjam
» Bouddhisme vajrayāna : Instructions sur le Mahāmudrā
Ven 22 Mar 2024, 15:02 par Nidjam
» Méditation : Qu'est ce que l'esprit sans réfèrence ?
Ven 22 Mar 2024, 14:11 par Nidjam
» Des arbres , pour l'Arbre .
Dim 17 Mar 2024, 11:35 par Mila
» Lankavatara Sutra ----------------------------------------------------
Lun 11 Mar 2024, 13:52 par heyopibe
» Mauvaise compréhension - besoin d'explication
Ven 08 Mar 2024, 18:51 par Nidjam
» Le Discours entre un Roi et un Moine : Les Questions de Milinda
Ven 01 Mar 2024, 13:23 par Nidjam
» Le Bonheur est déjà là , par Gyalwang Drukpa Rimpoché
Jeu 29 Fév 2024, 18:39 par Nidjam
» Une pratique toute simple : visualisez que tout le monde est guéri ....
Jeu 29 Fév 2024, 18:06 par Nidjam
» Drapeaux de prière - l'aspiration à un bien-être universel
Jeu 29 Fév 2024, 17:30 par Puntsok Norling
» Initiations par H.E. Ling Rimpoché
Ven 23 Fév 2024, 08:54 par Mila
» Bonne année Dragon de Bois à toutes et à tous
Sam 10 Fév 2024, 23:02 par Karma Trindal
» Bouddhisme/-Science de l'esprit : Identité et non-identité
Ven 09 Fév 2024, 12:56 par heyopibe
» Déclaration commune concernant la réincarnation de Kunzig Shamar Rinpoché
Lun 05 Fév 2024, 12:16 par Nangpa
» Les souhaits de Maitreya , par le 12e Kenting Taï Situ Rimpoché
Lun 05 Fév 2024, 09:28 par heyopibe
» L'Interdépendance selon les enseignements du Lamrim
Lun 05 Fév 2024, 09:27 par heyopibe
» Qu'est-ce que l'essence de la voie du Dharma ?
Mar 09 Jan 2024, 19:52 par Puntsok Norling
» Quelles sont les règles respectées dans les temples bouddhistes tibétain
Ven 05 Jan 2024, 10:48 par Nangpa
» Toute l'équipe de L'Arbre des Refuges vous souhaite ses Meilleurs Voeux pour 2024!
Mer 03 Jan 2024, 12:14 par Nutts
» Le Singe
Sam 30 Déc 2023, 21:38 par Karma Trindal
» Le Buffle
Ven 29 Déc 2023, 23:24 par petit_caillou
» Le Tigre
Ven 29 Déc 2023, 23:21 par petit_caillou
» Le Lapin (ou Chat)
Ven 29 Déc 2023, 23:18 par petit_caillou
» Le Coq
Ven 29 Déc 2023, 23:15 par petit_caillou
» La Chèvre (ou Mouton)
Ven 29 Déc 2023, 23:12 par petit_caillou
» Le Dragon
Lun 25 Déc 2023, 14:14 par petit_caillou
» Le Serpent
Lun 25 Déc 2023, 14:09 par petit_caillou
» Le Cochon
Lun 25 Déc 2023, 13:59 par petit_caillou
» L'année du Dragon de bois 2024
Sam 23 Déc 2023, 00:04 par petit_caillou
» Le Cheval
Ven 22 Déc 2023, 23:59 par petit_caillou
» Le Chien
Ven 22 Déc 2023, 23:54 par petit_caillou
» Le Rat
Ven 22 Déc 2023, 23:48 par petit_caillou
» L'Eco Dharma .................................................
Lun 27 Nov 2023, 15:28 par heyopibe
» Shantideva: Bodhicaryâvatâra
Sam 11 Nov 2023, 16:25 par Admin
» J'irai dormir chez vous (émission TV)
Ven 10 Nov 2023, 19:35 par Disciple laïc
» Le Bonheur National Brut
Jeu 09 Nov 2023, 11:34 par heyopibe
» Le champ d'application ...................................
Jeu 09 Nov 2023, 11:02 par heyopibe
» Les Quatre Nobles Vérités -------------------------------------
Mer 08 Nov 2023, 11:40 par heyopibe