Séisme Japon

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https://lh6.googleusercontent.com/_T6BFgIfFI3k/TXvtQxGrlII/AAAAAAAAAmc/d-6pW18rIxw/s720/Ishinomaki%202002.jpg

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Karma Yéshé a écrit:çà me fait très peur.

Y a de quoi...Les japonais ont du croire à un scénario de fin du monde....

Prières et pensées pour eux...

OM MANI PADME HUM!

Tashi

Moi aussi j'y aurais cru !

Pour certains, c'est ...la fin de leur monde !

A signaler ce soir sur Arte 20H40 un documentaire inédit sur tchernobyl et ses conséquences http://www.programme-tv.net/programme/culture-infos/2668967-le-nuage-tchernobyl-et-ses-consequences/

"Nous savons tous que nous sommes assis sur la branche que nous sommes en train de scier." Il faut être réaliste les actions du passé fleurissent aujourd'hui.
Soyons dés maintenant des créateurs d'actions pures pour notre présent et le futur des nouvelles générations.
Restons dans la compassion et l'amour pour soutenir tous les êtres qui en ont besoin de soutien.
Restons a nos enseignements pour pouvoir les partager avec le plus grand nombres
Je ne me connais pas d'autres "intérêts" que de servir celui là.

Bonsoir,

... « documentaires sur Tschernobyl et ses conséquences »...
— J’ai toujours en enregistrement au sujet de “l’énergie civile” du nucléaire, concernant Tschernobyl, deux documentaires qui ne laissaient guère d’illusions sur le “monde” dans lequel nous vivions et que la démence avide de puissance nous à insidieusement imposée.
- Le premier est de mars 1991, réalisé par Clive Gordon et produit par “Yorkshire-Télévision” en collaboration avec T.V. Suisse-Romande.

Je suis parent de quatre enfants, la dernière née le 16 mai 1989, n’avait pas deux ans à l’époque, bouleversé par ce film, parfois insoutenable de douleurs, j’ai compris là que notre humanité était entrain de se renier de la Vie.

— Le second est plus récent de 2010, “TSCHERNOBYL”, film de Luc Riolon, Arte-France, “Caméra-Lucida-Production”, qui dans son développement fait un “état des lieux” et explique comment la nature après ce choc de radiation terriblement pernicieux et violent à réagit vaillamment et ce que les autorités en conclusion du film, envisageaient d’en faire !

Nous sommes resté là “plombé” devant l’évidence que ces pouvoirs étaient devenus des êtres déchus de toute espèce de conscience d’humanité, donc extrêmement dangereux pour la vie dans son ensemble, des ennemis de la Vie, et d'eux même, dans leur déni.

Akira Kurosawa, réalisa en 1989, un film « Rêves » composé de 8 courts-métrages, 8 « rêves-cauchemars », dont « Le Mont Fuji En Rouge » et « Les Démons Gémissants », étaient prémonitoires de l'abomination qui se passe au nord du Japon aujourd'hui ; « Le village des moulins à eau » et son dernier "rêve" dont je souhaite la réalisation non seulement au Japon, mais partout sur notre Terre à tous, si méprisée par nos "puissants". Mais qu'ils prennent garde, nous sommes tout juste autorisé à vivre sur cette Terre, Elle, elle s'en sortira toujours, nous c'est beaucoup moins certain... il va nous falloir de toute nécessité et urgence, revoir notre façon d'aborder notre vie, la Vie.

Bonne soirée, tout de même, je suis plein d’admiration et de respect pour le stoïcisme des Nipons “lambda”, dans leur discipline et leur capacité à vivre l’invivable dans la dignité !

Lama khyen !
Hilde-Rik, “naljorpa-idiotas”, errant sur les bords du Grand-Rien.

Hild Rik a dit :
je suis plein d’admiration et de respect pour le stoïcisme des Nipons “lambda”, dans leur discipline et leur capacité à vivre l’invivable dans la dignité !

Kobayashi Issa (1763-1828)

La fumée
dessine à présent
le premier ciel de l'année

Ces fleurs de cerisier
qui tant me ravissaient
ont disparu de la terre

Le papillon bat des ailes
comme s'il désespérait
de ce monde

Tremblant dans les herbes
des champs
le printemps s'en va.



Papillon……by Yiruma
https://www.youtube.com/watch?v=jT5wJNLFh54

Source: http://lci.tf1.fr/science/sante/nucleaire-quels-risques-lies-aux-radiations-6315620.html

Les liquidateurs de Fukushima, nouveaux héros du Japon

Mus par un sentiment du devoir, quelques dizaines de travailleurs de la centrale de Fulushima tentent de contenir la catastrophe nucléaire en cours. Au péril de leur vie.

Ils sont quelques dizaines à être restés sur le site de la centrale de Fukushima pour tenter de contenir la catastrophe en cours. Alors que la radioactivité atteint des niveaux critiques pour leur santé, ces nouveaux héros du peuple japonais s'activent à refroidir les réacteurs accidentés et le combustible irradié. Au péril de leur vie.

"Je ne peux que prier pour la sécurité de tous... N'oubliez pas qu'ils travaillent pour protéger chacun d'entre nous en échange de leurs propres vies", rappelle Michiko Otsuki, une employée de la centrale de Fukushima 2, située à 12 km des réacteurs endommagés sur le site de socialisation japonais Mixi, exprimant un sentiment général dans l'archipel. Le Premier ministre Naoto Kan a également salué le courage de ces travailleurs qui "s'efforcent d'arroser, de faire tous les efforts possibles sans même penser au danger".

"Je me suis empêchée de pleurer lorsque j'ai appris que mon père allait être envoyé demain"
Lorsque l'exploitant Tokyo Electric Power (Tepco) a cherché vingt volontaires de plus pour participer aux opérations, il a reçu plusieurs candidatures d'employés qui avaient été évacués au début de la crise. Parmi eux, cet employé de 59 ans, proche de la retraite dont sa fille parle ainsi sur le site Prayforjapan.jp: "Je me suis empêchée de pleurer lorsque j'ai appris que mon père allait être envoyé demain (...) A la maison, mon père semble un peu dépassé mais je n'ai jamais été aussi fière de lui."

Mardi, un niveau de radioactivité de 400 millisieverts (mSv) par heure a été relevé près du réacteur 3. En France, la dose annuelle autorisée pour les travailleurs du nucléaire est de 20 mSv. Mais le rayonnement fluctue et aurait atteint des doses bien supérieures empêchant tout activité prolongée dans la zone. "Ils sont déjà des héros...", estimait jeudi un expert américain en radiologie.

Des critiques ont cependant fusé du ministère japonaise de la Défense, dont des soldats participant aux opérations ont été blessés et peut-être exposés à des rayonnements, au moment où une explosion a soufflé une partie du bâtiment extérieur du réacteur 3. L'opérateur Tepco et l'agence de sûreté "nous ont dit que ce n'était pas dangereux, nous les avons cru, et nous avons travaillé ici", a déclaré un haut responsable du journal au quotidien.

Par DjS (d'après agences), le 17 mars 2011

"Une nouvelle fois, nous allons reconstruire le Japon"


Sept jours après le séisme le plus fort jamais enregistré au Japon et l'énorme tsunami qui l'a suivi, le bilan est de plus de 6.500 morts et 10.000 disparus. Une minute de silence a été observée dans le nord-est du pays et le Premier ministre s'est adressé à la Nation.

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"Une nouvelle fois, nous allons reconstruire le Japon", a assuré le Premier ministre Naoto Kan vendredi, rappelant que son pays "s'est reconstruit miraculeusement après la guerre". "Le gouvernement va redonner confiance à la population", a-t-il dit, promettant que l''Etat allait reprendre "fermement" le contrôle de la situation à Fukushima, même si la centrale nucléaire accidentée fait toujours face à "d'énormes difficultés".

Dernier bilan : 6539 morts. Le séisme et le tsunami survenus il y a une semaine dans le nord-est du Japon ont déjà fait 6.539 morts, soit plus que celui survenu à Kobe (ouest) en 1995, qui avait fait 6.434 morts, a annoncé la police japonaise. Il y aurait encore plus de 10.000 disparus tandis que plus de 2.400 blessés sont répertoriés.

Une minute de silence a été observée vendredi dans le nord-est du pays par des survivants de l'énorme séisme de magnitude 9 survenu il y a exactement une semaine à 14H46 (05H46 GMT). A l'heure exacte de la catastrophe, des centaines de réfugiés, rassemblés dans un centre d'accueil de la ville de Yamada, se sont levés pour rendre hommage aux victimes.

10.000 disparus dans une seule commune.
Pour autant, ce dernier bilan officiel est loin d'être définitif. Le nombre d'habitants d'Ishinomaki disparus après le violent séisme et le tsunami dévastateur de vendredi s'élève probablement à 10.000, a déclaré mercredi le maire de cette ville, située dans la préfecture de Miyagi, dans le nord-est du Japon, selon l'agence Kyodo. Située sur la côte ravagée par le raz de marée qui a suivi la secousse tellurique de magnitude 9, cette cité comptait 16.000 résidents avant la catastrophe.

La préfecture de Miyagi, où se trouve notamment la ville de Sendai, est la plus meurtrie par le plus fort tremblement de terre jamais enregistré en territoire nippon. Par ailleurs, la ville portuaire de Minamisanriku, également située dans cette région, rapporte aussi que 10.000 personnes n'ont à ce jour toujours pas été retrouvées.

440.000 sinistrés... Les autorités devaient également faire face à l'impatience grandissante des 440.000 personnes sinistrées, confrontées à des pénuries d'eau potable et de vivres malgré la mobilisation sans précédent de 80.000 soldats, policiers et secouristes dans le nord-est dévasté. 100.000 personnes âgées et enfants seraient sans logis.

Les Tokyoïtes font des stocks de vivres ou quittent la capitale. Depuis vendredi dernier, l'activité s'y est fortement réduite. Les vents restent favorables en poussant vers l'océan Pacifique les rejets radioactifs de la centrale.

850.000 foyers sont toujours privés d'électricité dans le nord du pays alors que les températures sont hivernales. Le gouvernement avait mis en garde jeudi contre un risque de vaste panne d'électricité à Tokyo. Cette menace a finalement été écartée car la consommation d'électricité n'a pas augmenté.

Nicolas Sarkozy s'est entretenu vendredi avec le Premier ministre japonais, auprès duquel il a salué "le courage et la dignité exceptionnels" de ses concitoyens, répétant qu'il était prêt à se rendre au Japon dès que possible.

Devant la menace d'un accident nucléaire majeur, la plupart des ambassades ont recommandé à leurs ressortissants de s'éloigner de la zone pour se replier vers le sud, dans la région d'Osaka, ou bien de quitter le Japon. La Grande-Bretagne, l'Allemagne, la Suisse, l'Italie et l'Australie ont également conseillé à leurs ressortissants de quitter le nord et la région de Tokyo. La France, comme la Belgique et la Russie, va envoyer des avions supplémentaires afin d'évacuer les familles souhaitant quitter le pays et un premier appareil transportant une centaine de personnes a commencé à évacuer des Américains jeudi à destination de Taïwan. La Chine a demandé au Japon de fournir des informations "opportunes et précises" afin de calmer une opinion publique inquiète de l'arrivée dans le pays d'éventuels rejets radioactifs. L'ambassade des Etats-Unis a fixé la zone de risque à 80 km autour de la centrale. Les autorités nippones n'ont pour l'instant établi un périmètre de sécurité que de 30 km, et le gouvernement a affirmé mercredi que les radiations au-delà de la zone d'exclusion des 20 km "ne posent pas de danger immédiat pour la santé". Par précaution, 10.000 personnes de la préfecture de Fukushima seront soumises à des tests de radioactivité dans 26 centres d'examen.

L'UE conseille des contrôles de radioactivité des aliments importés.
L'Union européenne a recommandé aux Etats de procéder à des contrôles de radioactivité des aliments importés du Japon, à la suite de la catastrophe nucléaire sur l'île, a-t-on appris mercredi auprès d'un porte-parole de la Commission européenne.

Ikea, H&M et d'autres offrent à leurs employés de quitter Tokyo. Plusieurs grandes entreprises nordiques, dont les géants Ikea et H&M, ont proposé mercredi à leurs employés japonais de quitter Tokyo et ses environs pour se rendre plus au sud.

Paris met 2 avions à disposition des Français du Japon et distribue des pastilles d'iode. Les autorités françaises mettent deux avions gouvernementaux à disposition des Français souhaitant quitter le Japon, a indiqué mercredi le ministère des Affaires étrangères sur son site internet. L'ambassade de France à Tokyo a en outre commencé, "à titre préventif" face au risque nucléaire, à distribuer des pastilles d'iode aux Français du Japon dont environ 3.000 se trouvent aujourd'hui dans la région de la capitale japonaise, a annoncé jeudi le Quai d'Orsay. Le groupe nucléaire Areva et l'électricien EDF ont affrété jeudi un avion, qui doit partir vendredi, transportant 100 tonnes d'acide borique (substance chimique permettant d'empêcher la réaction nucléaire) et du matériel de protection contre la radioactivité, a annoncé le gouvernement français.

Des Français sont déjà rentrés à Paris. Environ 185 personnes, pour la plupart des Français et leurs proches, sont arrivées mercredi à l'aéroport Roissy-Charles-De-Gaulle en provenance du Japon, partagées entre le soulagement et la culpabilité d'avoir laissé derrière elles famille et amis. Au-delà du seul cas des Français, les étrangers continuaient mercredi à quitter la région de Tokyo, comme l'ont conseillé un grand nombre de pays. Mais les liaisons aériennes étaient perturbées par la décision de plusieurs compagnies aériennes d'annuler des vols vers Tokyo ou de les rediriger vers Osaka ou Nagoya.

Washington autorise les familles du personnel d'ambassade à quitter le Japon dans les régions les plus affectées, alors que propose Barack Obama propose l'aide américaine pour la reconstruction au Japon.

Une réunion spéciale à Bruxelles. Les ministres européens de l'Energie vont tenir une réunion extraordinaire lundi à Bruxelles pour tirer les premières leçons de l'accident nucléaire au Japon, a annoncé mercredi le président de l'UE.

Les vents scrutés par les voisins des Japonais. Chine, Russie et jusqu'en Californie, au-delà du Pacifique, tous ces pays suivent avec une extrême attention le sens des vents. En Chine, des messages catastrophistes ont été relayés sur internet et par SMS mais les autorités ont assuré qu'aucun niveau anormal de radioactivité n'avait été détecté dans le pays. Le gouvernement français a annoncé mercredi avoir commencé à envoyer des comprimés d'iode à Saint-Pierre-et-Miquelon, en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française et à Wallis et Futuna pour faire face à une éventuelle contamination.

Une peur palpable jusqu'en Europe occidentale, pourtant située à près de 10.000 km. Des pharmaciens en Allemagne et en France ont fait état d'une hausse des achats de pastilles d'iode, utilisées pour bloquer l'accumulation d'iode radioactive dans le corps.


le 18 mars 2011
Source: http://lci.tf1.fr/monde/asie/2011-03/japon-16-600-morts-et-disparus-une-semaine-apres-la-catastrophe-6321288.html

et bien j'espere qu'en reconstruisant le japon, ils penserons qu'on ne met pas de centrale nucleaire dans un pays ou il y a 2000 tremblements de terre par an.

On ferait mieux de n'en mettre dans aucun pays !

De plus les experts en sismologie prédisent qu'un tel tremblement de terre pourrait arriver dans la faille du Sud de la France.

Sans parler de San Andreas en Californie

Que la folie cesse pour laisser place à la pleine conscience planétaire

car en attendant, c'est bien la population qui en souffre

au nom du développement avide et du profit sans vergogne

Tristesse et rage m'emportent,

Compassion aimante pour sagesse déterminée

J'ai entendu à la radio hier, qu'il n'y avait pas de centrales nucleaires en italie, que le peuple est contre le fait qu'on en mette. Et pourtant Berlusconi va en instaler deux alors que ce pays est a très fort risques sysmiques. Faut vraiment etre con.

La connerie n'a d'égal que l'avidité

Bonjour,

Le stoïcien et philosophe empereur romain, Marc Aurèle disait déjà ceci de sont temps :

... « La bêtise humaine est la seule chose qui donne une idée de l’infini... »...

et plus près de notre époque, d’Albert Einstein le physicien...
"Deux choses sont infinies : l'Univers et la bêtise humaine ; mais en ce qui concerne l'Univers, je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue.”
Lui qui regretta jusqu’à la fin de sa vie d’avoir encouragé le gouvernement des U.S.A. à mettre au point la fission nucléaire à des fin guerrières par peur de voir le nazisme du IIIéme Reich découvrir “la bombe H” avant eux, et il avait tord, ils en était très loin lors de la débâcle de 45... quand aux U.S.A., ont sait tous ce qu’ils en ont fait, au Japon !
Et aujourd’hui, nous n’en avons toujours pas fini avec la “salissure abyssale” de ce qui c’est passé dans ces périodes sombres de l’histoire de l’homme.
L’énergie atomique dite pudiquement “civile”, ne l’a jamais été en fait, elle à toujours été sous contrôle du “secret-défense” des Etats à travers le monde avec la complicité des économie de l’industrie de l’armement, des banques pour faire bref. Il y à là des “liens incestueux immondes”, une absence totale de séparation des “pouvoirs” et maintenu volontairement hors du débat public.
Il (A. E.) disait aussi que...
"L'imagination est plus importante que la connaissance."
Nous allons devoir “imaginer” une autre forme de manière de vivre...
Bonne journée... et bon appétit !

L'imagination d'une autre manière de vivre est en marche,

c'est surtout le changement individuel qui doit trouver désormais sa marche en avant

Hello ! “heyopibe”,

... « L'imagination d'une autre manière de vivre est en marche... »...
Mouvouiii ? des précisions concrètes peut-être ?
... « c'est surtout le changement individuel qui doit trouver désormais sa marche en avant... »...
Ok, Very very very well !...
Mais vous voyez ça comment ? Si je puis me permettre...

Car pour ce qui concerne le sujet présent, voilà ce que je me dis au fond de ma profonde ignorance de citoyen “lambda” du ce pays de France qui est celui où les aléas des “transmigrations” m’a fait donner le jour, par les voies naturelle de ma mère, il y a un temps certain déjà, à ma minuscule échelle de vie...
Mon questionnement est le suivant :
L’énergie nucléaire nous à été imposée en catimini et diverses dissimulations par des “caciques” (comme beaucoup d’autres choses... dans d'autres domaines...), à qui la “majorité” des votants de notre pays "républicain et démocratique" ont donné leur confiance.
La question précise que je pose aujourd’hui est celle-ci.
Devant les risques encouru et avéré des populations concernées (c’est à dire nous tous, mais plus particulièrement et précisément les habitant(e)s proches des sites nucléaires d’exploitation électrique atomique), est il oui ou non mis en place une réelle et véritable politique de protection civile préfectorale des populations déjà les plus sensibles, à savoir : les femmes enceintes, les enfants en bas âge, les adolescent(e)s... etc... (nos “frères” les animaux et végétaux ça on n'y pense même pas !) ? ... par exemple les fameuses “pastilles d'iode” en cas de gros “pépins” (ou même soit disant “insignifiants”) de fonctionnement des dites “centrales”, quel qu’en puisse être l’origine (catastrophes naturelles, défaillances humaines... etc.) ?
En l’état...

http://global.arte.tv/fr/2011/03/16/catastrophe-au-japon-ruee-sur-l%E2%80%99iode/

la réponse est non, pas vraiment... et ce n’est là qu’un exemple en notre pays de France, dont on peu se dire que c’est loin d’être le pire... ! Alors... effectivement il serait souhaitable de devenir “conscient” et “responsable individuellement" ce que j’ai très très rarement vu... (se planquer derrière l'institution, le "groupe", le "clan", ça oui...), là où nous vivons, et commencer par “incarner” l’être de sage bienveillance qui n’a d’autres préoccupations que “le bien commun” en dehors de tous les “ismes” confondus en prétentions et ambitions diverses obscures, et là, pour cela faut être doté d’une détermination, d’un courage et d’une pugnacité sans faille, qui ne vient pas de l’homme, mais qui est en l’homme... et ce n’est pas une mince affaire... et sans risques !

Lama khyen !
Hilde-Rik, “naljorpa-idiotas”, errant sur les bords du Grand-Rien.

Au Japon, des milliers de personnes sont portées disparues, blessées ou décédées. Plusieurs centaines de millier d'autres ont du quitter leur foyer.

La Croix-Rouge leur vient en aide.

http://www.croix-rouge.be/page.aspx?PageID=1232

"Le problème aujourd'hui n'est pas l'énergie atomique, mais le coeur des hommes." albert einstein

Magnifique ! Merci Ben