La créativité artistique issue de l’influence du Zen
Michel Batlle
Paru en 1994 dans le N° 67 de " Zen " (Fondateur Maître Taisen Deshimaru)
Marc TobeyLancer un pont entre l’Orient et l’Occident, un vieux rêve présent dans beaucoup d’esprits curieux ou dynamiques pour des conquêtes (de Christophe Colomb à Pearl Harbour), du commerce ou des échanges plus spirituels.
Le XVIlIe siècle s’extasiait sur des céramiques orientales jusqu’à les reproduire dans ses manufactures (les fameux décors " au chinois " ) et plus près de nous les impressionnistes ne japonisaient-ils pas ?
Tout comme l’Art Nègre avait influencé les artistes cubistes, les philosophies orientales et tout particulièrement le bouddhisme zen marquèrent à leur tour la peinture nord-américaine de l’ après-guerre.
Curieux de différences, de mondes nouveaux, de perceptions autres, ils furent des dizaines à écarter les paravents nippons et chinois. Certains firent le voyage, les autres lurent Lao-Tseu ou Suzuki.
Cette rencontre avec de nouveaux concepts philosophiques et une vision nouvelle du monde allait modifier fondamentalement l’espace du tableau peint qui perpétuait les règles et les arcanes de la Renaissance.
Nourrie de la densité de Cézanne, Monet ou Matisse, la peinture américaine découvrait une nouvelle dimension : le vide. Un vide pour oublier les paternités européennes mais aussi un vide prémonitoire qui contrebalancerait un trop-plein, celui de la civilisation de consommation.
Marc Tobey
Précurseur en ce domaine, Marc Tobey, né en 1889, est fasciné par la calligraphie qu’il étudiera en 1920 auprès d’un maître chinois, et c’est en 1934 qu’il effectuera son premier voyage en Chine et au Japon où il séjournera dans un monastère zen.
Le pouvoir des signes emplit toute son oeuvre,devenant une sorte de partition sensible : " Ce qui jadis était un arbre devint rythme. . . " Tobey accédant à la synthèse du Jardin de Pierres des monastères zen, à la grille des compositions de Mondrian.
Mais sa volonté sera toujours que, dans la plus petite parcelle du réel, soient contenues toutes les richesses de l’univers. De la prolifération et des entrelacs de ses signes aux fameux drippings de Jackson Pollock, il n’ y a qu’un pas ; le passage, à ce que nous pourrions appeler la "dimension américaine ", c’est à dire une ampleur nouvelle qui met l’oeuvre à la dimension du corps, ce dernier étant l’échelle et l’outil ; et c’est à ce moment là que la peinture américaine prend conscience de la réalité physique du lieu où elle est fabriquée : les grands espaces de son territoire et la monstruosité des villes. En cela cette peinture prend de vitesse et de force l’Ecole de Paris.
Jackson Pollock
Jackson PollockAinsi naissait, avec Pollock, ce que le critique Harold Rosenberg nomma l’action painting, technique picturale dans laquelle le geste de l’artiste et le fait même de peindre trouvent leur reflet direct dans l’oeuvre une fois achevée ; cette technique permettant une totale identification de l’artiste avec son oeuvre. Mais le pouvoir créateur du geste ne faisait qu’entamer une future et longue carrière, du tachisme jusqu’au body-art. On cultive dans le Zen l’intuition comme ce qui donne une connaissance soudaine, spontanée, indépendante de toute démonstration naturelle, elle est la voie inattendue qui se fait entendre juste au moment nécessaire, elle guide.
Barnett Newman
" Une seule ligne pour maîtriser le chaos "
Barnett NewmanOn peut ainsi dire que les peintures de Franz Kline sont des " actes peints " tout comme celles de la plupart des peintres tachistes. Pour Mark Rothko l’ absence de thême devient le thême même de sa peinture, une sorte de présence-absence avec pour obsession le côté insaisissable de la réalité. Contrairement aux autres artistes expressionnistes abstraits, Barnett Newman ne disperse pas ses formes. Il plante sans concession la ligne verticale, " une seule ligne, dit-il, suffit à maîtriser le chaos " Il se montre " simple, nu, sans couleur " ainsi que le qualifiait Lao-Tseu du moi unique et universel ; vidant l’espace au lieu de le remplir.
Pour tous ces artistes, la philosophie zen ouvrait de nouvelles perspectives sur la vision du monde et sur l’homme dans sa chair et dans son âme, devenant sa propre source et le fruit de son acte ; n’ayant rien d’un système de pensée contraignante et rigide, mais la transmission de concepts forgés par une expérience millénaire et toujours neuve à la fois, celle de l’éveil. " Ici et maintenant " , cette notion clef met l’importance sur le présent. Ainsi convient-il d’être complètement présent dans chaque geste. Se concentrer ici et maintenant, telle est la leçon zen. Le sujet étant dans l’objet et le sujet contenant l’objet.
Ad Reinhardt
" L’art en tant qu’art "
Ad Reinhardt Si Tobey avait ouvert la voie vers le Zen, Ad Reinhardt allait à sa suite en être son symbole le plus fort dans le sens où il devenait le " passeur " vers un art qui allait s’appeler le Minimal art et qu’il nommait " art en tant qu’art ". Engagée dans la philosophie zen, sa peinture est avant tout le lieu d’une expérience mystique, le lieu d’une exp‚rience picturale très objective. Il se donne des règles et les suit, il est le maître et l’élève : " La seule œuvre à réaliser pour un artiste peintre, la seule peinture est la peinture usant de la toile de format identique, le schéma unique, un seul moyen formel, une seule couleur monochrome, une seule division linéaire dans chaque direction, une seule symétrie, une seule texture, un seul passage de la brosse à main levée. " Il ira jusqu’au bout de sa peinture avec sa série des Blacks paintings qu’il ne cessera de peindre durant les quinze dernières années de sa vie, afin de la pousser jusqu’à l’indivisible et l’absolu.
Tàpies
" Suggérer le vide et réveiller le spectateur "
Antoni TàpiesFrom a Symbolist perspective, the cross represents the synthesis of everything material (horizontal) and spiritual (vertical), as well as its transcendence. The fact that in order to form the cross the artist deliberately chose the newspaper obituary section, and that together with newsprint he also used Manila paper, which looks like toilet paper, reinforces this character, since all this tells us of the transcendence of what is humble, of the spirituality of the material. Les artistes américains n’étaient pas les seuls à porter leurs regards vers l’Extrême-Orient ; en Europe, des peintres tels que Wols, Mathieu, Degottex, Yves Klein, Soulages ou Tàpies participaient à ce même intérêt.
Forces concentrées dans l’expression de Soulages ou la simplicité tend à l’essentiel, lyrisme de la matière et de signe pour Tàpies :
" Quand j’ai commencé à travailler ,
c’est le Zen qui m’a le plus aidé à m’orienter dans la poésie et l’ art contemporains…
Dans le Zen il y a un côté méditatif,
mais aussi le choc qui secoue la pensée, qui rend une chose indigeste plutôt que digeste.
Il y a des moments où je suis réellement contemplatif et où je me dissous dans le vide.
Mais aussi il y a ces moments où j’essaie, autrement, de suggérer le vide
et de réveiller ainsi le spectateur en le secouant ".
Mais si le Zen influençait les Occidentaux, qu’en était-il des Japonais ?
Pour eux, il était nécessaire de se tourner vers l’Europe ou l’Amérique afin de nourrir leur art de nouvelles informations. Dès 1923, un groupe néo-dadaïste nommé Mavo se fit connaître par ses actions en public ; dans son manifeste, il disait : " Nous affirmons et nions sans cesse. Nous vivons dans tous les sens du mot de façon absolue ". Ainsi, les J aponais allaient introduire dans l’art leur sens du geste, de la concentration et de l’intuition en des actions parfois proches des arts martiaux, intégrant des rituels de leur culture traditionnelle et des préceptes du bouddhisme.
Gutai
" faire vivre la matière "
Akira KanayamaGUTAI GROUP Dans le début des années cinquante, naît le groupe Gutai plus tourné vers la nature, il tente de retrouver l’espace illimité de l’expression artistique pour l’ouvrir à la vie. " L’art Gutai ne transforme pas la matière, il donne vie à la matière. . . Faire vivre la matière est un moyen de faire vivre l’esprit. Elever l’esprit c’est faire entrer la matière dans le champ spirituel supérieur ". Constitué autour de Yoshihara Jiro, ses principaux membres furent :
Shiraga Kazuo, Tanaka Atsuko, Murakami Saburo, Motonaga Sadamasa, Shimamoto Shozo, Kanamaya Akira, Yamasaki Tsuruko, Yoshiwara Michio...
Il serait fastidieux de citer tous les artistes qui se réclament du Zen. En général il est difficile de le déceler, le Zen est avant tout une pratique et une école d’humilité. Ce texte voudrait dire que la plupart des historiens passent sous silence l’influence du Zen sur beaucoup d’artistes, influence toujours forte aujourd’hui car il est une ouverture et une base pour la compréhension du monde, donc de l ’homme.
Michel Batlle
Source : Gutai.com
Michel Batlle
Paru en 1994 dans le N° 67 de " Zen " (Fondateur Maître Taisen Deshimaru)
Marc TobeyLancer un pont entre l’Orient et l’Occident, un vieux rêve présent dans beaucoup d’esprits curieux ou dynamiques pour des conquêtes (de Christophe Colomb à Pearl Harbour), du commerce ou des échanges plus spirituels.
Le XVIlIe siècle s’extasiait sur des céramiques orientales jusqu’à les reproduire dans ses manufactures (les fameux décors " au chinois " ) et plus près de nous les impressionnistes ne japonisaient-ils pas ?
Tout comme l’Art Nègre avait influencé les artistes cubistes, les philosophies orientales et tout particulièrement le bouddhisme zen marquèrent à leur tour la peinture nord-américaine de l’ après-guerre.
Curieux de différences, de mondes nouveaux, de perceptions autres, ils furent des dizaines à écarter les paravents nippons et chinois. Certains firent le voyage, les autres lurent Lao-Tseu ou Suzuki.
Cette rencontre avec de nouveaux concepts philosophiques et une vision nouvelle du monde allait modifier fondamentalement l’espace du tableau peint qui perpétuait les règles et les arcanes de la Renaissance.
Nourrie de la densité de Cézanne, Monet ou Matisse, la peinture américaine découvrait une nouvelle dimension : le vide. Un vide pour oublier les paternités européennes mais aussi un vide prémonitoire qui contrebalancerait un trop-plein, celui de la civilisation de consommation.
Marc Tobey
Précurseur en ce domaine, Marc Tobey, né en 1889, est fasciné par la calligraphie qu’il étudiera en 1920 auprès d’un maître chinois, et c’est en 1934 qu’il effectuera son premier voyage en Chine et au Japon où il séjournera dans un monastère zen.
Le pouvoir des signes emplit toute son oeuvre,devenant une sorte de partition sensible : " Ce qui jadis était un arbre devint rythme. . . " Tobey accédant à la synthèse du Jardin de Pierres des monastères zen, à la grille des compositions de Mondrian.
Mais sa volonté sera toujours que, dans la plus petite parcelle du réel, soient contenues toutes les richesses de l’univers. De la prolifération et des entrelacs de ses signes aux fameux drippings de Jackson Pollock, il n’ y a qu’un pas ; le passage, à ce que nous pourrions appeler la "dimension américaine ", c’est à dire une ampleur nouvelle qui met l’oeuvre à la dimension du corps, ce dernier étant l’échelle et l’outil ; et c’est à ce moment là que la peinture américaine prend conscience de la réalité physique du lieu où elle est fabriquée : les grands espaces de son territoire et la monstruosité des villes. En cela cette peinture prend de vitesse et de force l’Ecole de Paris.
Jackson Pollock
Jackson PollockAinsi naissait, avec Pollock, ce que le critique Harold Rosenberg nomma l’action painting, technique picturale dans laquelle le geste de l’artiste et le fait même de peindre trouvent leur reflet direct dans l’oeuvre une fois achevée ; cette technique permettant une totale identification de l’artiste avec son oeuvre. Mais le pouvoir créateur du geste ne faisait qu’entamer une future et longue carrière, du tachisme jusqu’au body-art. On cultive dans le Zen l’intuition comme ce qui donne une connaissance soudaine, spontanée, indépendante de toute démonstration naturelle, elle est la voie inattendue qui se fait entendre juste au moment nécessaire, elle guide.
Barnett Newman
" Une seule ligne pour maîtriser le chaos "
Barnett NewmanOn peut ainsi dire que les peintures de Franz Kline sont des " actes peints " tout comme celles de la plupart des peintres tachistes. Pour Mark Rothko l’ absence de thême devient le thême même de sa peinture, une sorte de présence-absence avec pour obsession le côté insaisissable de la réalité. Contrairement aux autres artistes expressionnistes abstraits, Barnett Newman ne disperse pas ses formes. Il plante sans concession la ligne verticale, " une seule ligne, dit-il, suffit à maîtriser le chaos " Il se montre " simple, nu, sans couleur " ainsi que le qualifiait Lao-Tseu du moi unique et universel ; vidant l’espace au lieu de le remplir.
Pour tous ces artistes, la philosophie zen ouvrait de nouvelles perspectives sur la vision du monde et sur l’homme dans sa chair et dans son âme, devenant sa propre source et le fruit de son acte ; n’ayant rien d’un système de pensée contraignante et rigide, mais la transmission de concepts forgés par une expérience millénaire et toujours neuve à la fois, celle de l’éveil. " Ici et maintenant " , cette notion clef met l’importance sur le présent. Ainsi convient-il d’être complètement présent dans chaque geste. Se concentrer ici et maintenant, telle est la leçon zen. Le sujet étant dans l’objet et le sujet contenant l’objet.
Ad Reinhardt
" L’art en tant qu’art "
Ad Reinhardt Si Tobey avait ouvert la voie vers le Zen, Ad Reinhardt allait à sa suite en être son symbole le plus fort dans le sens où il devenait le " passeur " vers un art qui allait s’appeler le Minimal art et qu’il nommait " art en tant qu’art ". Engagée dans la philosophie zen, sa peinture est avant tout le lieu d’une expérience mystique, le lieu d’une exp‚rience picturale très objective. Il se donne des règles et les suit, il est le maître et l’élève : " La seule œuvre à réaliser pour un artiste peintre, la seule peinture est la peinture usant de la toile de format identique, le schéma unique, un seul moyen formel, une seule couleur monochrome, une seule division linéaire dans chaque direction, une seule symétrie, une seule texture, un seul passage de la brosse à main levée. " Il ira jusqu’au bout de sa peinture avec sa série des Blacks paintings qu’il ne cessera de peindre durant les quinze dernières années de sa vie, afin de la pousser jusqu’à l’indivisible et l’absolu.
Tàpies
" Suggérer le vide et réveiller le spectateur "
Antoni TàpiesFrom a Symbolist perspective, the cross represents the synthesis of everything material (horizontal) and spiritual (vertical), as well as its transcendence. The fact that in order to form the cross the artist deliberately chose the newspaper obituary section, and that together with newsprint he also used Manila paper, which looks like toilet paper, reinforces this character, since all this tells us of the transcendence of what is humble, of the spirituality of the material. Les artistes américains n’étaient pas les seuls à porter leurs regards vers l’Extrême-Orient ; en Europe, des peintres tels que Wols, Mathieu, Degottex, Yves Klein, Soulages ou Tàpies participaient à ce même intérêt.
Forces concentrées dans l’expression de Soulages ou la simplicité tend à l’essentiel, lyrisme de la matière et de signe pour Tàpies :
" Quand j’ai commencé à travailler ,
c’est le Zen qui m’a le plus aidé à m’orienter dans la poésie et l’ art contemporains…
Dans le Zen il y a un côté méditatif,
mais aussi le choc qui secoue la pensée, qui rend une chose indigeste plutôt que digeste.
Il y a des moments où je suis réellement contemplatif et où je me dissous dans le vide.
Mais aussi il y a ces moments où j’essaie, autrement, de suggérer le vide
et de réveiller ainsi le spectateur en le secouant ".
Mais si le Zen influençait les Occidentaux, qu’en était-il des Japonais ?
Pour eux, il était nécessaire de se tourner vers l’Europe ou l’Amérique afin de nourrir leur art de nouvelles informations. Dès 1923, un groupe néo-dadaïste nommé Mavo se fit connaître par ses actions en public ; dans son manifeste, il disait : " Nous affirmons et nions sans cesse. Nous vivons dans tous les sens du mot de façon absolue ". Ainsi, les J aponais allaient introduire dans l’art leur sens du geste, de la concentration et de l’intuition en des actions parfois proches des arts martiaux, intégrant des rituels de leur culture traditionnelle et des préceptes du bouddhisme.
Gutai
" faire vivre la matière "
Akira KanayamaGUTAI GROUP Dans le début des années cinquante, naît le groupe Gutai plus tourné vers la nature, il tente de retrouver l’espace illimité de l’expression artistique pour l’ouvrir à la vie. " L’art Gutai ne transforme pas la matière, il donne vie à la matière. . . Faire vivre la matière est un moyen de faire vivre l’esprit. Elever l’esprit c’est faire entrer la matière dans le champ spirituel supérieur ". Constitué autour de Yoshihara Jiro, ses principaux membres furent :
Shiraga Kazuo, Tanaka Atsuko, Murakami Saburo, Motonaga Sadamasa, Shimamoto Shozo, Kanamaya Akira, Yamasaki Tsuruko, Yoshiwara Michio...
Il serait fastidieux de citer tous les artistes qui se réclament du Zen. En général il est difficile de le déceler, le Zen est avant tout une pratique et une école d’humilité. Ce texte voudrait dire que la plupart des historiens passent sous silence l’influence du Zen sur beaucoup d’artistes, influence toujours forte aujourd’hui car il est une ouverture et une base pour la compréhension du monde, donc de l ’homme.
Michel Batlle
Source : Gutai.com
Hier à 20:57 par Mila
» Jour de ROUE important dans le calendrier Bouddhiste
Jeu 21 Nov 2024, 09:26 par Pema Gyaltshen
» Trois livres de David Michie
Dim 17 Nov 2024, 16:50 par Mila
» Les différentes approches du Mahamudra
Jeu 31 Oct 2024, 10:04 par Nangpa
» Bonjour à tous les membres et merci de m'accueillir !
Jeu 31 Oct 2024, 06:25 par heyopibe
» Bizarre, apaisant et Respiration assoiffée
Sam 26 Oct 2024, 01:39 par LeLoups
» L'utilisation de l'encens pour les morts
Ven 25 Oct 2024, 11:28 par heyopibe
» Bonjour à tous - Merci pour l'accueil
Ven 25 Oct 2024, 11:19 par heyopibe
» 4 documentaires sur le bouddhisme : Sri Lanka, Tibet, Kalou Rimpoché, Bouthan
Sam 19 Oct 2024, 08:18 par Darvel
» Prise de refuge à Beaumont
Dim 13 Oct 2024, 06:28 par Mila
» Bonjour a tous, sous un grand chêne, en creuse
Sam 05 Oct 2024, 22:24 par Ortho
» Présentation Jonathan Carribo., je devais m'inscrire à l'arbre à refuges
Ven 04 Oct 2024, 17:31 par Aurélien-relax-yoga
» Bonjour à toutes et tous !
Ven 04 Oct 2024, 17:26 par Aurélien-relax-yoga
» Présentation de Djinn, pratiquant en autonomie du dharma
Ven 04 Oct 2024, 17:24 par Aurélien-relax-yoga
» Bonjour à tous de la part de Pieru
Ven 04 Oct 2024, 17:23 par Aurélien-relax-yoga
» Dharma Appliqué: Présentation de la rubrique
Mer 02 Oct 2024, 13:34 par Nidjam
» Le maître né du lotus: THE DAKINI CODE
Dim 22 Sep 2024, 09:12 par Pema Gyaltshen
» Michel Collon – Face à Israël : Que pouvez-vous faire ?
Dim 22 Sep 2024, 09:07 par Pema Gyaltshen
» ESSAI La notion de possession
Dim 08 Sep 2024, 19:29 par Ortho
» Déterminisme: Le Choix est-il une illusion ?
Mer 21 Aoû 2024, 19:07 par Nidjam
» Canon Pali : comment reconnaître une mauvaise personne et une bonne personne au regard de l’orgueil et de l'humilité
Dim 18 Aoû 2024, 14:39 par LeLoups
» Les problèmes de la méditation de pleine conscience
Dim 18 Aoû 2024, 13:13 par LeLoups
» Tukdam : méditer jusqu’à la mort
Mer 07 Aoû 2024, 15:57 par Disciple laïc
» La petite voix ? ...................
Dim 04 Aoû 2024, 08:11 par Algo
» Bouddhisme : la loi du silence
Ven 02 Aoû 2024, 21:05 par dominique0
» On nait mis en boîte ! .....................
Ven 02 Aoû 2024, 05:55 par Algo
» Bouddha n'était pas non violent...
Ven 02 Aoû 2024, 05:38 par Algo
» Le Cercle d'Eveil 2024 Juin
Sam 08 Juin 2024, 07:34 par Pema Gyaltshen
» Amitābha: Le Grand Soutra de la Vie Infinie
Mar 14 Mai 2024, 21:22 par Disciple laïc
» Saga Dawa 2024 ( du 9 mai au 6 juin 2024 )
Ven 10 Mai 2024, 09:09 par Mila
» Bertrand Piccard, son dernier livre ( 2021 )
Lun 06 Mai 2024, 09:41 par Pema Gyaltshen
» Blessé au visage , un orang-outan se soigne avec un pansement végétal
Sam 04 Mai 2024, 20:17 par Mila
» Découvrez les Bienfaits du Bouddhisme Tibétain pour une Vie Équilibrée
Lun 29 Avr 2024, 12:52 par Puntsok Norling
» Drouptcheu de Keuntchok Tchidu
Dim 21 Avr 2024, 12:02 par Mila
» Citation de Richard Gere ( Article du journal : AuFéminin )
Ven 19 Avr 2024, 15:31 par arcane 17
» Cinquantenaire de la fondation de Palden Shangpa La Boulaye
Ven 05 Avr 2024, 19:05 par Nangpa
» Bonne Nouvelle chrétienne et Bonne Nouvelle bouddhiste
Lun 01 Avr 2024, 10:34 par Algo
» Qu’entend-on vraiment par « tout vient de l’esprit » ?
Sam 23 Mar 2024, 11:38 par Nidjam
» Bouddhisme vajrayāna : Instructions sur le Mahāmudrā
Ven 22 Mar 2024, 15:02 par Nidjam
» Méditation : Qu'est ce que l'esprit sans réfèrence ?
Ven 22 Mar 2024, 14:11 par Nidjam
» Des arbres , pour l'Arbre .
Dim 17 Mar 2024, 11:35 par Mila
» Lankavatara Sutra ----------------------------------------------------
Lun 11 Mar 2024, 13:52 par heyopibe
» Mauvaise compréhension - besoin d'explication
Ven 08 Mar 2024, 18:51 par Nidjam
» Le Discours entre un Roi et un Moine : Les Questions de Milinda
Ven 01 Mar 2024, 13:23 par Nidjam
» Le Bonheur est déjà là , par Gyalwang Drukpa Rimpoché
Jeu 29 Fév 2024, 18:39 par Nidjam
» Une pratique toute simple : visualisez que tout le monde est guéri ....
Jeu 29 Fév 2024, 18:06 par Nidjam
» Drapeaux de prière - l'aspiration à un bien-être universel
Jeu 29 Fév 2024, 17:30 par Puntsok Norling
» Initiations par H.E. Ling Rimpoché
Ven 23 Fév 2024, 08:54 par Mila
» Bonne année Dragon de Bois à toutes et à tous
Sam 10 Fév 2024, 23:02 par Karma Trindal
» Bouddhisme/-Science de l'esprit : Identité et non-identité
Ven 09 Fév 2024, 12:56 par heyopibe
» Déclaration commune concernant la réincarnation de Kunzig Shamar Rinpoché
Lun 05 Fév 2024, 12:16 par Nangpa
» Les souhaits de Maitreya , par le 12e Kenting Taï Situ Rimpoché
Lun 05 Fév 2024, 09:28 par heyopibe
» L'Interdépendance selon les enseignements du Lamrim
Lun 05 Fév 2024, 09:27 par heyopibe
» Qu'est-ce que l'essence de la voie du Dharma ?
Mar 09 Jan 2024, 19:52 par Puntsok Norling
» Quelles sont les règles respectées dans les temples bouddhistes tibétain
Ven 05 Jan 2024, 10:48 par Nangpa
» Toute l'équipe de L'Arbre des Refuges vous souhaite ses Meilleurs Voeux pour 2024!
Mer 03 Jan 2024, 12:14 par Nutts
» Le Singe
Sam 30 Déc 2023, 21:38 par Karma Trindal
» Le Buffle
Ven 29 Déc 2023, 23:24 par petit_caillou
» Le Tigre
Ven 29 Déc 2023, 23:21 par petit_caillou
» Le Lapin (ou Chat)
Ven 29 Déc 2023, 23:18 par petit_caillou
» Le Coq
Ven 29 Déc 2023, 23:15 par petit_caillou
» La Chèvre (ou Mouton)
Ven 29 Déc 2023, 23:12 par petit_caillou
» Le Dragon
Lun 25 Déc 2023, 14:14 par petit_caillou
» Le Serpent
Lun 25 Déc 2023, 14:09 par petit_caillou
» Le Cochon
Lun 25 Déc 2023, 13:59 par petit_caillou
» L'année du Dragon de bois 2024
Sam 23 Déc 2023, 00:04 par petit_caillou
» Le Cheval
Ven 22 Déc 2023, 23:59 par petit_caillou
» Le Chien
Ven 22 Déc 2023, 23:54 par petit_caillou
» Le Rat
Ven 22 Déc 2023, 23:48 par petit_caillou
» L'Eco Dharma .................................................
Lun 27 Nov 2023, 15:28 par heyopibe
» Shantideva: Bodhicaryâvatâra
Sam 11 Nov 2023, 16:25 par Admin
» J'irai dormir chez vous (émission TV)
Ven 10 Nov 2023, 19:35 par Disciple laïc
» Le Bonheur National Brut
Jeu 09 Nov 2023, 11:34 par heyopibe
» Le champ d'application ...................................
Jeu 09 Nov 2023, 11:02 par heyopibe
» Les Quatre Nobles Vérités -------------------------------------
Mer 08 Nov 2023, 11:40 par heyopibe