Suivre l’Exemple des bodhisattvas
Par Khènsour Jampa Tègchok Rinpoché
Dernier titre paru aux Editions Vajra Yogini, Suivre l’Exemple des Bodhisattvas est un commentaire judicieux et détaillé des Trente-sept Pratiques des Bodhisattvas de Togmé Zangpo (1295-1369). L’auteur du texte racine était un bodhisattva renommé dans tout le Tibet pour vivre en accord avec les principes et les pratiques qu’il enseignait. S’entraînant constamment à l’échange de soi pour autrui et à transformer les circonstances adverses, comme la maladie et la pauvreté, en voie d’Eveil, il fut une source d’inspiration aussi bien pour ses disciples immédiats que pour des générations de pratiquants jusqu’à aujourd’hui. étudié par les jeunes et les moins jeunes, les religieux et les laïcs, ce texte décrit en trente-sept quatrains les pratiques fondamentales qui conduisent à l’Eveil.
Khènsour Jampa Tègchok Rinpoché, que nombre d’entre vous connaissent, a été notamment l’abbé du monastère Nalanda à Labastide-St-Georges et est venu enseigner à l’Institut Vajra Yogini durant l’été 2001. Nous avons choisi de vous présenter trois passages distincts, répartis au début, au milieu et à la fin du livre, et traitant respectivement de la motivation, du développement de l’esprit d’Eveil, et de la compréhension de la vacuité. Pour en lire plus ou pour commander le livre. « Les Trente-sept Pratiques des Bodhisattvas est un texte assez succinct mais qui couvre de vastes sujets. Il couvre les points essentiels de grandes œuvres comme : Le Tantra Suprême, L’Ornement des Ecrits du Véhicule Universel, L’Entrée dans la Pratique des Bodhisattvas et Les Etapes du Bodhisattva. Il traite aussi de tous les thèmes de la voie progressive vers l’Eveil : les entraînements relatifs aux trois niveaux de pratiquants et la transformation de la pensée. Ce sont toutes des pratiques de bodhisattvas -ou personnes qui ont développé l’intention altruiste (la bodhicitta) et qui aspirent à devenir Bouddhas pour être plus efficaces dans leur aide à autrui.
Avant d’aborder ce texte, il est utile de savoir comment le maître spirituel doit enseigner, comment l’élève doit écouter et ce que tous deux doivent faire à la fin de l’enseignement. Dès le début, il est important que maître et disciple cultivent une bonne motivation. Sans cela, nous risquons de nous prendre pour de grands pratiquants alors que nos actions resteront très éloignées de la pureté du Dharma. En regardant en arrière, de nombreux yogis et érudits se sont aperçus que même s’ils avaient médité et étudié pendant longtemps, au début leur motivation n’était pas vraiment bonne et ils n’avaient pas vraiment pratiqué le Dharma. Cette constatation les plongeaient alors dans une grande tristesse et une profonde angoisse.
Si nous pratiquons en pensant : "Je veux obtenir des pouvoirs spirituels pour que les autres me respectent. Je pourrai alors guider de nombreux disciples qui me remercieront par diverses offrandes et me traiteront avec considération. Je serai connu et on me demandera de donner des conférences et des interviews.", cela se rapproche très peu du Dharma. Notre motivation reste entachée de visées ordinaires -désirer la richesse, la gloire et l’admiration pour soi-même. Et même si extérieurement nous donnons l’impression de pratiquer une religion, en fait, il n’en est rien !..
... Depuis des temps sans commencement, les êtres vivants, qui ont tous été notre mère dans les vies précédentes, nous ont témoigné beaucoup d’affection et apporté d’immenses bienfaits. Puisqu’ils sont dans la souffrance, comment pouvons-nous être attachés à notre seul bonheur ? Cela ne sert à rien. Aussi, les bodhisattvas génèrent-ils l’intention altruiste d’être bénéfiques à tous les êtres.
En quoi consiste cette intention altruiste, ou bodhicitta ? C’est un esprit principal qui a deux aspirations : celle d’aider tous les êtres vivants et celle d’atteindre l’éveil. On aspire tout d’abord à aider les êtres, puis on prend conscience que malgré cette volonté, on n’a pas encore la capacité de le faire. Qui a cette capacité ? Un Bouddha. Si nous avions atteint l’éveil et possédions toutes les qualités physiques, verbales et mentales d’un Bouddha, et les qualités de ses activités, ainsi que sa compassion, sa sagesse et son habileté, nous pourrions alors aider les autres, selon leurs intérêts et leurs dispositions. Lorsque nous devenons conscients de cela, nous engendrons du fond du cœur le désir ardent d’atteindre absolument l’éveil. L’esprit principal qui émerge en même temps que cette aspiration est la bodhicitta. Nous voyons ainsi que le fait d’avoir bon cœur est une grande qualité mais n’est pas la bodhicitta. De même, ni l’aspiration à aider les êtres, ni celle de devenir un Bouddha ne sont la bodhicitta. L’aspiration à aider tous les êtres est une cause de la bodhicitta : elle apparaît avant et non pas en même temps. Cependant, lorsqu’à partir de cette aspiration à aider les autres, nous engendrons l’esprit principal qui souhaite devenir Bouddha, nous avons généré une complète bodhicitta. Il est important de savoir précisément ce qu’est la bodhicitta. Sinon, nous ne serons pas capables de la développer correctement et ne pourrons pas en retirer les immenses bienfaits qui en découlent.
Nous devons tout d’abord avoir une ferme intention d’aider les êtres. Bien sûr nous pouvons leur être bénéfique maintenant, mais d’une façon minime. Pour y parvenir complètement et avec une grande efficacité, il nous faut devenir Bouddhas. Nous pensons alors : "Je vais devenir un Bouddha." L’esprit principal qui apparaît avec ce facteur mental est la précieuse bodhicitta.
Les grands maîtres nous recommandent souvent d’associer nos actions vertueuses de bodhicitta. Cela signifie qu’il faut cultiver l’intention : "Je désire vraiment être bénéfique à tous les êtres. Comme je ne pourrai le faire vraiment que lorsque je serai Bouddha, je dois atteindre cet état sans failles et où toutes les qualités sont pleinement développées. Pour pouvoir parvenir à cet état, je vais accomplir cette action." Nous entreprenons alors notre activité quelle qu’elle soit : se prosterner, méditer, rendre service à la communauté, aller au travail, s’occuper de notre famille, etc. Cette activité sera alors imprégnée de bodhicitta et deviendra très puissante. à notre niveau, la bodhicitta est fabriquée, c’est-à-dire qu’il nous faut constamment faire un effort conscient pour qu’elle se développe, mais au bout d’un certain temps de familiarisation, elle sera spontanée et s’élèvera chaque fois que nous penserons aux êtres vivants. C’est ce qu’on appelle la bodhicitta sans effort, ou bodhicitta spontanée...
... On parle souvent des deux bodhicittas, conventionnelle et ultime. Pour les expliquer, il n’est pas nécessaire d’obéir à un ordre strict. Certains commencent par étudier et analyser la vacuité (la bodhicitta ultime) et s’entraînent à la bodhicitta conventionnelle ultérieurement. D’autres s’entraînent d’abord à l’intention altruiste (la bodhicitta conventionnelle) et méditent ensuite sur la vacuité.
La bodhicitta ultime désigne la sagesse qui réalise la vacuité. La vacuité est considérée comme l’objet "ultime", non qu’il s’agisse d’une vérité absolue indépendante de tout le reste, mais plutôt parce que l’absence d’existence intrinsèque est la façon la plus profonde dont les phénomènes existent. Pour cultiver cette sagesse, il faut donc dépasser la perception superficielle et trompeuse des apparences conventionnelles...
L’exploration de l’absence d’existence intrinsèque des phénomènes nous conduit à nous concentrer sur la vérité ultime, le mode d’existence le plus profond des personnes et des phénomènes. Ces derniers sont des vérités conventionnelles, des éléments interdépendants qui semblent avoir leurs caractéristiques propres et remplissent différentes fonctions. Ces deux vérités sont reliées en ce sens que les vérités conventionnelles désignent ce qui apparaît à notre esprit au quotidien tandis que les vérités ultimes sont leur mode d’existence profond.
On ne trouve jamais rien qui existe en soi ou indépendamment d’autres phénomènes. Tout ce qui apparaît à l’esprit, que ce soient les objets internes liés à l’esprit des êtres, ou les objets externes de leur environnement, est simplement désigné par l’esprit. Si on analyse le mode d’existence final du sujet (l’esprit qui désigne), on voit que, lui aussi, est libre des élaborations relatives aux deux extrêmes de l’existence véritable et de l’absence totale d’existence. Ainsi, le mode d’existence final de l’objet et du sujet est de ne pas exister en eux-mêmes. Ils sont semblables à l’espace, lequel, dans ce contexte, est défini comme la simple absence de tangibilité et d’obstruction. Où que nous regardions dans l’espace, nous ne trouvons aucun obstacle, rien de tangible. De même, si nous recherchons l’existence véritable d’un phénomène, quel qu’il soit, nous ne la trouvons jamais. Nous ne trouvons que la liberté des élaborations par rapport aux deux extrêmes... »
Khènsour Jampa Tègchok Rinpoché
Source: http://www.buddhaline.net/spip.php?article808
Par Khènsour Jampa Tègchok Rinpoché
Dernier titre paru aux Editions Vajra Yogini, Suivre l’Exemple des Bodhisattvas est un commentaire judicieux et détaillé des Trente-sept Pratiques des Bodhisattvas de Togmé Zangpo (1295-1369). L’auteur du texte racine était un bodhisattva renommé dans tout le Tibet pour vivre en accord avec les principes et les pratiques qu’il enseignait. S’entraînant constamment à l’échange de soi pour autrui et à transformer les circonstances adverses, comme la maladie et la pauvreté, en voie d’Eveil, il fut une source d’inspiration aussi bien pour ses disciples immédiats que pour des générations de pratiquants jusqu’à aujourd’hui. étudié par les jeunes et les moins jeunes, les religieux et les laïcs, ce texte décrit en trente-sept quatrains les pratiques fondamentales qui conduisent à l’Eveil.
Khènsour Jampa Tègchok Rinpoché, que nombre d’entre vous connaissent, a été notamment l’abbé du monastère Nalanda à Labastide-St-Georges et est venu enseigner à l’Institut Vajra Yogini durant l’été 2001. Nous avons choisi de vous présenter trois passages distincts, répartis au début, au milieu et à la fin du livre, et traitant respectivement de la motivation, du développement de l’esprit d’Eveil, et de la compréhension de la vacuité. Pour en lire plus ou pour commander le livre. « Les Trente-sept Pratiques des Bodhisattvas est un texte assez succinct mais qui couvre de vastes sujets. Il couvre les points essentiels de grandes œuvres comme : Le Tantra Suprême, L’Ornement des Ecrits du Véhicule Universel, L’Entrée dans la Pratique des Bodhisattvas et Les Etapes du Bodhisattva. Il traite aussi de tous les thèmes de la voie progressive vers l’Eveil : les entraînements relatifs aux trois niveaux de pratiquants et la transformation de la pensée. Ce sont toutes des pratiques de bodhisattvas -ou personnes qui ont développé l’intention altruiste (la bodhicitta) et qui aspirent à devenir Bouddhas pour être plus efficaces dans leur aide à autrui.
Avant d’aborder ce texte, il est utile de savoir comment le maître spirituel doit enseigner, comment l’élève doit écouter et ce que tous deux doivent faire à la fin de l’enseignement. Dès le début, il est important que maître et disciple cultivent une bonne motivation. Sans cela, nous risquons de nous prendre pour de grands pratiquants alors que nos actions resteront très éloignées de la pureté du Dharma. En regardant en arrière, de nombreux yogis et érudits se sont aperçus que même s’ils avaient médité et étudié pendant longtemps, au début leur motivation n’était pas vraiment bonne et ils n’avaient pas vraiment pratiqué le Dharma. Cette constatation les plongeaient alors dans une grande tristesse et une profonde angoisse.
Si nous pratiquons en pensant : "Je veux obtenir des pouvoirs spirituels pour que les autres me respectent. Je pourrai alors guider de nombreux disciples qui me remercieront par diverses offrandes et me traiteront avec considération. Je serai connu et on me demandera de donner des conférences et des interviews.", cela se rapproche très peu du Dharma. Notre motivation reste entachée de visées ordinaires -désirer la richesse, la gloire et l’admiration pour soi-même. Et même si extérieurement nous donnons l’impression de pratiquer une religion, en fait, il n’en est rien !..
... Depuis des temps sans commencement, les êtres vivants, qui ont tous été notre mère dans les vies précédentes, nous ont témoigné beaucoup d’affection et apporté d’immenses bienfaits. Puisqu’ils sont dans la souffrance, comment pouvons-nous être attachés à notre seul bonheur ? Cela ne sert à rien. Aussi, les bodhisattvas génèrent-ils l’intention altruiste d’être bénéfiques à tous les êtres.
En quoi consiste cette intention altruiste, ou bodhicitta ? C’est un esprit principal qui a deux aspirations : celle d’aider tous les êtres vivants et celle d’atteindre l’éveil. On aspire tout d’abord à aider les êtres, puis on prend conscience que malgré cette volonté, on n’a pas encore la capacité de le faire. Qui a cette capacité ? Un Bouddha. Si nous avions atteint l’éveil et possédions toutes les qualités physiques, verbales et mentales d’un Bouddha, et les qualités de ses activités, ainsi que sa compassion, sa sagesse et son habileté, nous pourrions alors aider les autres, selon leurs intérêts et leurs dispositions. Lorsque nous devenons conscients de cela, nous engendrons du fond du cœur le désir ardent d’atteindre absolument l’éveil. L’esprit principal qui émerge en même temps que cette aspiration est la bodhicitta. Nous voyons ainsi que le fait d’avoir bon cœur est une grande qualité mais n’est pas la bodhicitta. De même, ni l’aspiration à aider les êtres, ni celle de devenir un Bouddha ne sont la bodhicitta. L’aspiration à aider tous les êtres est une cause de la bodhicitta : elle apparaît avant et non pas en même temps. Cependant, lorsqu’à partir de cette aspiration à aider les autres, nous engendrons l’esprit principal qui souhaite devenir Bouddha, nous avons généré une complète bodhicitta. Il est important de savoir précisément ce qu’est la bodhicitta. Sinon, nous ne serons pas capables de la développer correctement et ne pourrons pas en retirer les immenses bienfaits qui en découlent.
Nous devons tout d’abord avoir une ferme intention d’aider les êtres. Bien sûr nous pouvons leur être bénéfique maintenant, mais d’une façon minime. Pour y parvenir complètement et avec une grande efficacité, il nous faut devenir Bouddhas. Nous pensons alors : "Je vais devenir un Bouddha." L’esprit principal qui apparaît avec ce facteur mental est la précieuse bodhicitta.
Les grands maîtres nous recommandent souvent d’associer nos actions vertueuses de bodhicitta. Cela signifie qu’il faut cultiver l’intention : "Je désire vraiment être bénéfique à tous les êtres. Comme je ne pourrai le faire vraiment que lorsque je serai Bouddha, je dois atteindre cet état sans failles et où toutes les qualités sont pleinement développées. Pour pouvoir parvenir à cet état, je vais accomplir cette action." Nous entreprenons alors notre activité quelle qu’elle soit : se prosterner, méditer, rendre service à la communauté, aller au travail, s’occuper de notre famille, etc. Cette activité sera alors imprégnée de bodhicitta et deviendra très puissante. à notre niveau, la bodhicitta est fabriquée, c’est-à-dire qu’il nous faut constamment faire un effort conscient pour qu’elle se développe, mais au bout d’un certain temps de familiarisation, elle sera spontanée et s’élèvera chaque fois que nous penserons aux êtres vivants. C’est ce qu’on appelle la bodhicitta sans effort, ou bodhicitta spontanée...
... On parle souvent des deux bodhicittas, conventionnelle et ultime. Pour les expliquer, il n’est pas nécessaire d’obéir à un ordre strict. Certains commencent par étudier et analyser la vacuité (la bodhicitta ultime) et s’entraînent à la bodhicitta conventionnelle ultérieurement. D’autres s’entraînent d’abord à l’intention altruiste (la bodhicitta conventionnelle) et méditent ensuite sur la vacuité.
La bodhicitta ultime désigne la sagesse qui réalise la vacuité. La vacuité est considérée comme l’objet "ultime", non qu’il s’agisse d’une vérité absolue indépendante de tout le reste, mais plutôt parce que l’absence d’existence intrinsèque est la façon la plus profonde dont les phénomènes existent. Pour cultiver cette sagesse, il faut donc dépasser la perception superficielle et trompeuse des apparences conventionnelles...
L’exploration de l’absence d’existence intrinsèque des phénomènes nous conduit à nous concentrer sur la vérité ultime, le mode d’existence le plus profond des personnes et des phénomènes. Ces derniers sont des vérités conventionnelles, des éléments interdépendants qui semblent avoir leurs caractéristiques propres et remplissent différentes fonctions. Ces deux vérités sont reliées en ce sens que les vérités conventionnelles désignent ce qui apparaît à notre esprit au quotidien tandis que les vérités ultimes sont leur mode d’existence profond.
On ne trouve jamais rien qui existe en soi ou indépendamment d’autres phénomènes. Tout ce qui apparaît à l’esprit, que ce soient les objets internes liés à l’esprit des êtres, ou les objets externes de leur environnement, est simplement désigné par l’esprit. Si on analyse le mode d’existence final du sujet (l’esprit qui désigne), on voit que, lui aussi, est libre des élaborations relatives aux deux extrêmes de l’existence véritable et de l’absence totale d’existence. Ainsi, le mode d’existence final de l’objet et du sujet est de ne pas exister en eux-mêmes. Ils sont semblables à l’espace, lequel, dans ce contexte, est défini comme la simple absence de tangibilité et d’obstruction. Où que nous regardions dans l’espace, nous ne trouvons aucun obstacle, rien de tangible. De même, si nous recherchons l’existence véritable d’un phénomène, quel qu’il soit, nous ne la trouvons jamais. Nous ne trouvons que la liberté des élaborations par rapport aux deux extrêmes... »
Khènsour Jampa Tègchok Rinpoché
Source: http://www.buddhaline.net/spip.php?article808
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