Harmoniser les énergies masculines et féminines
Par Tarab Tulku
Extraits d’une conférence de Tarab Tulku donnée à Paris en mars 1998
Dans la tradition tibétaine, l’énergie est envisagée selon deux points de vue différents. D’une part, la tradition bouddhiste et d’autre part la tradition pré-bouddhiste. Cette dernière, très ancrée dans la culture tibétaine, est une façon chamaniste de se relier aux énergies, c’est à dire celles de la nature comme les énergies de l’eau, des arbres, des montagnes... Le bouddhisme en parle de façon assez différente ; mais ces deux approches sont utilisées dans la tradition tibétaine.
Dans le bouddhisme, les pratiques liées à l’énergie relèvent principalement de la tradition tantrique. Elles sont d’abord apparues en Inde et s’y sont beaucoup développées. Puis cette tradition a été importée au Tibet au huitième siècle et transmise à des groupes restreints, donc peu connue du public. Aux onzième et douzième siècle, une seconde vague d’importation a donné une grande popularité à ces pratiques tantriques qui ont commencé à devenir publiques et connues de tous.
Dans ces pratiques tantriques, l’énergie est personnifiée sous forme de dieux et de déesses que j’appelle "déités" faute de trouver un terme précis. Bien qu’il s’agisse d’énergies, de principes et non de personnes, elles sont représentées de cette façon. À première vue, on pourrait croire qu’il s’agit des mêmes dieux et déesses que dans le chamanisme. En fait, bien qu’extérieurement ce soit des formes divines dans les deux cas, l’idée en est très différente. Dans le bouddhisme, ces formes sont des représentations symboliques de l’énergie.
Je vais essayer de l’expliquer autrement.
La plupart des religions et des voies spirituelles utilisent le niveau énergétique alors que notre façon ordinaire de nous relier au monde, à la soit-disant réalité extérieure normale, se fait à un niveau plus matériel. Nous croyons et agissons avec ce que nous pouvons sentir, voir, toucher... mais nous n’allons pas au-delà consciemment. Or les gens ordinaires, dans la vie normale, sont tous en contact avec l’énergie, même s’ils ne le savent pas. Nous n’utilisons donc pas cette faculté. Nous vivons avec la soit-disant réalité que l’on peut voir et entendre. Je l’appelle la "soit-disant" réalité car nous croyons à une réalité, là, à l’extérieur, sans aller au-delà. Alors que les religions et les voies spirituelles essayent de dépasser ce niveau et d’aller vers quelque chose d’autre, c’est ce que nous appelons le niveau énergétique.
Nous souhaitons tous que notre vie normale soit harmonieuse, heureuse et positive et nos actions sont orientées vers ce but. Pour cela nous essayons d’éviter ce que nous n’aimons pas et d’obtenir ce que nous pensons être bon pour nous. Même si nous disons que nous avons quelque chose d’important à faire, un but spécial, une expérience à vivre... quoi que l’on fasse, nous tentons de changer les évènements extérieurs pour attirer ce que nous voulons et repousser ce qui nous est désagréable. Toutes nos actions sont orientées de façon à manipuler la soit-disant réalité que nous croyons extérieure, séparée et indépendante de nous-mêmes. On ne dépasse pas cette croyance et on agit en conséquence. C’est notre façon de vivre.
Le chamanisme croit à l’existence d’un arrière plan beaucoup plus puissant, au-delà de notre monde normal et essaie de joindre ce niveau. Il est plutôt relié aux esprits de la nature et en cas de problèmes dans la vie courante, il tente d’intervenir avec ces puissances invisibles pour modifier ce problème. L’énergie est un autre type de réalité. La plupart des gens en Occident pratiquent la méditation dans l’espoir d’améliorer les conditions de leur existence. S’ils se tournent vers la méditation ou les pratiques avec l’énergie, c’est aussi en croyant à quelque miracle qui va transformer les situations désagréables et apporter l’harmonie dans leur vie, dans la même optique que ce que nous venons de développer. En fait ils ne savent pas réellement ce qu’est la méditation.
Dans la perspective bouddhiste, la méditation est envisagée de façon tout à fait différente. On sait qu’en faisant telle ou telle pratique, on va se développer intérieurement et se transformer. Il y a certaines causes inhérentes à nous-mêmes dans une situation extérieure que nous n’aimons pas. Ce sont ces causes intérieures qui ont besoin d’être changées, ce qui se fait à travers la méditation. Cela n’a rien de miraculeux, on sait comment intervient ce changement. On procède ainsi d’étape en étape en se développant et en allant vers une transformation. Mais bien souvent, vous vous asseyez pour méditer dans l’espoir de ceci ou cela, ce qui n’est pas une vision bouddhiste des pratiques. Dans le bouddhisme, on va progressivement d’étape en étape comme dans un apprentissage normal où on établit d’abord une base sur laquelle on construit pas à pas en apprenant progressivement de plus en plus. La méditation, qui est aussi un travail avec l’énergie, comprend plusieurs niveaux et beaucoup de méthodes différentes pour l’aborder.
Si on en revient au point de vue religieux, on peut différencier deux façons d’utiliser l’énergie au niveau chamaniste. L’une consiste à se relier à une énergie de la nature et à lui demander d’utiliser son pouvoir, sa force pour modifier en notre faveur une situation désagréable. Nous prions les divers esprits auxquels nous croyons pour qu’ils changent ce problème. L’autre façon consiste à contacter ces mêmes forces naturelles pour qu’elles viennent renforcer notre propre énergie intérieure et c’est nous-mêmes, avec notre propre énergie devenue très puissante qui traitons la situation. Ces deux voies chamanistes diffèrent de la façon ordinaire dont nous traitons habituellement les problèmes avec l’aspect matériel et extérieur des choses. Mais ces méthodes essaient toujours d’intervenir sur les évènements extérieurs de notre vie de façon à obtenir ce que nous désirons et à éviter ce qui nous est désagréable.
Le bouddhisme tantrique a une approche similaire. Il y a des pratiques dans lesquelles on invoque des énergies extérieures ou des déités afin qu’elles utilisent leur pouvoir pour changer notre situation. Et d’autres pratiques où on s’identifie avec la déité pour renforcer notre propre énergie et, ensemble, régler notre problème.
Par contre les types d’énergie manipulées dans le chamanisme et dans le bouddhisme sont très différents.
Dans le chamanisme, il y a cette idée de se relier aux énergies naturelles présentes dans toute la nature mais particulières à certains endroits comme des lacs, des montagnes... et ces énergies sont assimilées à des esprits avec lesquels on peut communiquer ; c’est-à-dire leur parler, ou leur demander d’accomplir quelque chose pour nous et ils nous donnent une réponse, c’est ce que nous entendons par communiquer en tant qu’être humain. On leur fait également des offrandes pour les satisfaire et, en échange, ils nous envoient des signes ou des messages ou certaines de nos conditions auront changé sans que l’on puisse expliquer logiquement comment.
Par Tarab Tulku
Extraits d’une conférence de Tarab Tulku donnée à Paris en mars 1998
Dans la tradition tibétaine, l’énergie est envisagée selon deux points de vue différents. D’une part, la tradition bouddhiste et d’autre part la tradition pré-bouddhiste. Cette dernière, très ancrée dans la culture tibétaine, est une façon chamaniste de se relier aux énergies, c’est à dire celles de la nature comme les énergies de l’eau, des arbres, des montagnes... Le bouddhisme en parle de façon assez différente ; mais ces deux approches sont utilisées dans la tradition tibétaine.
Dans le bouddhisme, les pratiques liées à l’énergie relèvent principalement de la tradition tantrique. Elles sont d’abord apparues en Inde et s’y sont beaucoup développées. Puis cette tradition a été importée au Tibet au huitième siècle et transmise à des groupes restreints, donc peu connue du public. Aux onzième et douzième siècle, une seconde vague d’importation a donné une grande popularité à ces pratiques tantriques qui ont commencé à devenir publiques et connues de tous.
Dans ces pratiques tantriques, l’énergie est personnifiée sous forme de dieux et de déesses que j’appelle "déités" faute de trouver un terme précis. Bien qu’il s’agisse d’énergies, de principes et non de personnes, elles sont représentées de cette façon. À première vue, on pourrait croire qu’il s’agit des mêmes dieux et déesses que dans le chamanisme. En fait, bien qu’extérieurement ce soit des formes divines dans les deux cas, l’idée en est très différente. Dans le bouddhisme, ces formes sont des représentations symboliques de l’énergie.
Je vais essayer de l’expliquer autrement.
La plupart des religions et des voies spirituelles utilisent le niveau énergétique alors que notre façon ordinaire de nous relier au monde, à la soit-disant réalité extérieure normale, se fait à un niveau plus matériel. Nous croyons et agissons avec ce que nous pouvons sentir, voir, toucher... mais nous n’allons pas au-delà consciemment. Or les gens ordinaires, dans la vie normale, sont tous en contact avec l’énergie, même s’ils ne le savent pas. Nous n’utilisons donc pas cette faculté. Nous vivons avec la soit-disant réalité que l’on peut voir et entendre. Je l’appelle la "soit-disant" réalité car nous croyons à une réalité, là, à l’extérieur, sans aller au-delà. Alors que les religions et les voies spirituelles essayent de dépasser ce niveau et d’aller vers quelque chose d’autre, c’est ce que nous appelons le niveau énergétique.
Nous souhaitons tous que notre vie normale soit harmonieuse, heureuse et positive et nos actions sont orientées vers ce but. Pour cela nous essayons d’éviter ce que nous n’aimons pas et d’obtenir ce que nous pensons être bon pour nous. Même si nous disons que nous avons quelque chose d’important à faire, un but spécial, une expérience à vivre... quoi que l’on fasse, nous tentons de changer les évènements extérieurs pour attirer ce que nous voulons et repousser ce qui nous est désagréable. Toutes nos actions sont orientées de façon à manipuler la soit-disant réalité que nous croyons extérieure, séparée et indépendante de nous-mêmes. On ne dépasse pas cette croyance et on agit en conséquence. C’est notre façon de vivre.
Le chamanisme croit à l’existence d’un arrière plan beaucoup plus puissant, au-delà de notre monde normal et essaie de joindre ce niveau. Il est plutôt relié aux esprits de la nature et en cas de problèmes dans la vie courante, il tente d’intervenir avec ces puissances invisibles pour modifier ce problème. L’énergie est un autre type de réalité. La plupart des gens en Occident pratiquent la méditation dans l’espoir d’améliorer les conditions de leur existence. S’ils se tournent vers la méditation ou les pratiques avec l’énergie, c’est aussi en croyant à quelque miracle qui va transformer les situations désagréables et apporter l’harmonie dans leur vie, dans la même optique que ce que nous venons de développer. En fait ils ne savent pas réellement ce qu’est la méditation.
Dans la perspective bouddhiste, la méditation est envisagée de façon tout à fait différente. On sait qu’en faisant telle ou telle pratique, on va se développer intérieurement et se transformer. Il y a certaines causes inhérentes à nous-mêmes dans une situation extérieure que nous n’aimons pas. Ce sont ces causes intérieures qui ont besoin d’être changées, ce qui se fait à travers la méditation. Cela n’a rien de miraculeux, on sait comment intervient ce changement. On procède ainsi d’étape en étape en se développant et en allant vers une transformation. Mais bien souvent, vous vous asseyez pour méditer dans l’espoir de ceci ou cela, ce qui n’est pas une vision bouddhiste des pratiques. Dans le bouddhisme, on va progressivement d’étape en étape comme dans un apprentissage normal où on établit d’abord une base sur laquelle on construit pas à pas en apprenant progressivement de plus en plus. La méditation, qui est aussi un travail avec l’énergie, comprend plusieurs niveaux et beaucoup de méthodes différentes pour l’aborder.
Si on en revient au point de vue religieux, on peut différencier deux façons d’utiliser l’énergie au niveau chamaniste. L’une consiste à se relier à une énergie de la nature et à lui demander d’utiliser son pouvoir, sa force pour modifier en notre faveur une situation désagréable. Nous prions les divers esprits auxquels nous croyons pour qu’ils changent ce problème. L’autre façon consiste à contacter ces mêmes forces naturelles pour qu’elles viennent renforcer notre propre énergie intérieure et c’est nous-mêmes, avec notre propre énergie devenue très puissante qui traitons la situation. Ces deux voies chamanistes diffèrent de la façon ordinaire dont nous traitons habituellement les problèmes avec l’aspect matériel et extérieur des choses. Mais ces méthodes essaient toujours d’intervenir sur les évènements extérieurs de notre vie de façon à obtenir ce que nous désirons et à éviter ce qui nous est désagréable.
Le bouddhisme tantrique a une approche similaire. Il y a des pratiques dans lesquelles on invoque des énergies extérieures ou des déités afin qu’elles utilisent leur pouvoir pour changer notre situation. Et d’autres pratiques où on s’identifie avec la déité pour renforcer notre propre énergie et, ensemble, régler notre problème.
Par contre les types d’énergie manipulées dans le chamanisme et dans le bouddhisme sont très différents.
Dans le chamanisme, il y a cette idée de se relier aux énergies naturelles présentes dans toute la nature mais particulières à certains endroits comme des lacs, des montagnes... et ces énergies sont assimilées à des esprits avec lesquels on peut communiquer ; c’est-à-dire leur parler, ou leur demander d’accomplir quelque chose pour nous et ils nous donnent une réponse, c’est ce que nous entendons par communiquer en tant qu’être humain. On leur fait également des offrandes pour les satisfaire et, en échange, ils nous envoient des signes ou des messages ou certaines de nos conditions auront changé sans que l’on puisse expliquer logiquement comment.
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