La souffrance :
La souffrance fait partie de la vie
Avec Stéphanie Hahusseau, psychiatre et psychothérapeute, auteure de Comment ne pas se gâcher la vie (Odile Jacob, “Poches”, 2010).
Pourquoi nous souffrons ?
Une rupture, un accident, une maladie… Imprégnés de culpabilité judéochrétienne, nous gardons toujours en tête, même inconsciemment, le lien entre souffrance et punition en réponse à un péché. Ce rapprochement est trop souvent fait aujourd’hui par les malades, qui ajoutent à leur douleur le poids de la culpabilité. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’est pas utile d’explorer la piste du « pourquoi », mais rechercher à tout prix la cause unique est une quête vouée à l’échec. Les sources de souffrance sont aussi diverses que leurs impacts. Elles varient en fonction de l’environnement émotionnel dans lequel nous avons grandi. Si nous avons eu la chance d’avoir des parents qui nous ont aidé à développer une culture de l’émotion (ressentir, nommer, accepter), alors la douleur pourra être, plus tard, non pas évitée, mais traversée, digérée. En revanche, si les premières émotions sont déniées, mal accueillies, refoulées, la souffrance face à l’épreuve n’en sera que plus intense.
Comment accepter ?
S’il est inévitable de souffrir, on peut toutefois interroger les croyances génératrices de douleur. Certaines nous maintiennent dans le rôle de victime (je ne suis pas à la hauteur), nous emprisonnent dans un scénario de répétition (les histoires d’amour finissent mal), ou encore nous poussent à être en décalage avec notre ressenti réel (je pleure d’avoir été quitté, mais suis-je vraiment effondré ?). Il s’agit là de dissonance émotionnelle. Pour se mettre à juste distance de la souffrance, il faut commencer par s’immerger dans son ressenti physique, afin de l’identifier clairement et de la nommer. Ce processus chasse les pensées erronées et les émotions parasites. Enfin, il est nécessaire de rechercher la première douleur pour mieux comprendre celle du présent. Aujourd’hui, je souffre d’avoir été abandonné par mon conjoint. Quand ai-je ressenti l’abandon pour la première fois dans ma vie ? Faire face à l’épreuve originelle et prendre conscience que l’on a déjà pu la dépasser aide à mieux traverser celle du présent.
L'injustice
La vie n’est pas toujours juste
Avec Patrice Gourrier, prêtre et psychologue, auteur de Curé, qui es-tu ?, entretiens avec Élisabeth Marshall (Presses de la Renaissance, 2010).
Pourquoi nous souffrons ?
L’épreuve de l’injustice nous rappelle cruellement qu’il ne suffit pas toujours de vivre dans le bien et le vrai pour être bien traité par la vie. Trois causes peuvent expliquer le sentiment d’injustice. D’abord, l’intolérance à la frustration, une posture que notre culture, obsédée par la quête du bonheur hédoniste et individuel, favorise. La non-satisfaction de nos désirs est vécue comme une injustice. Ensuite, nous subissons parfois une situation objective d’injustice qui nous rend impuissant, d’autant plus que le sens de l’épreuve nous échappe (pourquoi être cruellement privé d’un être cher ? Pourquoi être licencié après s’être tant investi dans son travail?). Enfin, l’injustice faite à autrui, proche ou inconnu, peut aussi être source de souffrance. Il s’agit dans ce cas d’une atteinte à notre idéal, à notre code de valeurs morales, qui fait que nous nous sentons personnellement touché et ne le supportons pas.
Comment accepter ?
En commençant par remplacer le mot « accepter » par « prendre en compte ». Puis en interrogeant notre sentiment d’injustice : le ressentir ne signifie pas qu’il soit réel ou légitime, ou encore qu’il nous exonère de nos responsabilités. Subir la perte d’un être cher est profondément injuste et douloureux. Aucun psy ne pourra réduire le temps du chagrin et de la colère ; en revanche, il pourra nous aider si la douleur est insupportable. Pour les autres injustices, relationnelles ou existentielles, demandons-nous : « Que puis-je faire de juste, donc de bon pour moi, pour répondre à l’injuste ? » Cela nous permettra de ne pas rester coincé dans l’amertume ou dans l’esprit de vengeance. Mais il est essentiel, avant tout, d’identifier et de reconnaître les émotions que l’injustice a fait naître. Nous ignorons trop souvent son pouvoir toxique sur l’estime de soi. Paradoxalement, la victime, au lieu de se défendre et de faire valoir ses droits, peut se sentir coupable et honteuse. De ne pas être à la hauteur, d’être mal traitée. C’est pourquoi une injustice doit toujours être nommée et « travaillée ». La garder pour soi est une vraie bombe à retardement pour le psychisme.
L'impermanence
Tout change et meurt
Avec Alain Delourme, psychothérapeute, auteur, avec Alexie de Lorca, de Savoir dire oui pour construire sa vie (Hachette Pratique, “Les Ateliers de Psychologies magazine”, 2009).
Pourquoi nous souffrons?
La vie est un éternel renouvellement. Oui, mais… chacun désire s’installer pour l’éternité, dans la situation ou dans la relation qui lui apporte plaisir et sécurité. Une fois ce point d’équilibre atteint, nous faisons tout pour le conserver, car l’idée de notre propre finitude nous est insupportable. Pourtant, nous le savons, nos enfants grandissent, nos amis s’éloignent, notre corps se transforme… Il existe plusieurs façons de se donner l’illusion de la permanence : s’accrocher aux signes extérieurs de jeunesse, accumuler les biens matériels, vouloir se prémunir contre les maladies, se refuser à toute évolution, être dans l’hyperactivité pour fuir les face-à-face avec soi… Nous sommes inégaux devant le changement. Plus nous l’avons vécu enfant dans une ambiance d’angoisse et de drame, plus nous le craindrons à l’âge adulte. A contrario, son expérience précoce comme donnée de la vie à la fois inévitable et stimulante nous poussera plus tard non seulement à l’accepter, mais parfois aussi à le rechercher.
Comment accepter?
En observant autour de soi l’inéluctabilité de l’évolution et son côté positif : dans la nature, dans nos relations, en nous, de manière à comprendre qu’il ne peut y avoir de gain sans perte et que la vie est intrinsèquement cyclique. Dans cette perspective, la pratique de la méditation de pleine conscience ou de pauses contemplatives peut apaiser nos émotions et nous aider à prendre conscience que le changement n’est pas une menace, mais une condition de l’existence. Enfin, quand il est subi et non choisi, il est important de se placer dans une double dynamique. En identifiant et en accueillant l’émotion qu’il provoque (peur, tristesse, colère), puis en s’interrogeant sur les opportunités qu’il peut offrir. À cette étape, le recours à un tiers (ami, famille, collègue) peut être éclairant. Cela est particulièrement vrai lorsque l’on fait l’expérience de la perte affective. S’investir dans un projet, envisager de nouvelles perspectives est un moyen efficace de neutraliser sa peur de l'inconnu.
http://www.psychologies.com/Therapies/Developpement-personnel/Epanouissement/Articles-et-Dossiers/Accepter-ce-que-l-on-ne-peut-pas-changer/4La-souffrance
La souffrance fait partie de la vie
Avec Stéphanie Hahusseau, psychiatre et psychothérapeute, auteure de Comment ne pas se gâcher la vie (Odile Jacob, “Poches”, 2010).
Pourquoi nous souffrons ?
Une rupture, un accident, une maladie… Imprégnés de culpabilité judéochrétienne, nous gardons toujours en tête, même inconsciemment, le lien entre souffrance et punition en réponse à un péché. Ce rapprochement est trop souvent fait aujourd’hui par les malades, qui ajoutent à leur douleur le poids de la culpabilité. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’est pas utile d’explorer la piste du « pourquoi », mais rechercher à tout prix la cause unique est une quête vouée à l’échec. Les sources de souffrance sont aussi diverses que leurs impacts. Elles varient en fonction de l’environnement émotionnel dans lequel nous avons grandi. Si nous avons eu la chance d’avoir des parents qui nous ont aidé à développer une culture de l’émotion (ressentir, nommer, accepter), alors la douleur pourra être, plus tard, non pas évitée, mais traversée, digérée. En revanche, si les premières émotions sont déniées, mal accueillies, refoulées, la souffrance face à l’épreuve n’en sera que plus intense.
Comment accepter ?
S’il est inévitable de souffrir, on peut toutefois interroger les croyances génératrices de douleur. Certaines nous maintiennent dans le rôle de victime (je ne suis pas à la hauteur), nous emprisonnent dans un scénario de répétition (les histoires d’amour finissent mal), ou encore nous poussent à être en décalage avec notre ressenti réel (je pleure d’avoir été quitté, mais suis-je vraiment effondré ?). Il s’agit là de dissonance émotionnelle. Pour se mettre à juste distance de la souffrance, il faut commencer par s’immerger dans son ressenti physique, afin de l’identifier clairement et de la nommer. Ce processus chasse les pensées erronées et les émotions parasites. Enfin, il est nécessaire de rechercher la première douleur pour mieux comprendre celle du présent. Aujourd’hui, je souffre d’avoir été abandonné par mon conjoint. Quand ai-je ressenti l’abandon pour la première fois dans ma vie ? Faire face à l’épreuve originelle et prendre conscience que l’on a déjà pu la dépasser aide à mieux traverser celle du présent.
L'injustice
La vie n’est pas toujours juste
Avec Patrice Gourrier, prêtre et psychologue, auteur de Curé, qui es-tu ?, entretiens avec Élisabeth Marshall (Presses de la Renaissance, 2010).
Pourquoi nous souffrons ?
L’épreuve de l’injustice nous rappelle cruellement qu’il ne suffit pas toujours de vivre dans le bien et le vrai pour être bien traité par la vie. Trois causes peuvent expliquer le sentiment d’injustice. D’abord, l’intolérance à la frustration, une posture que notre culture, obsédée par la quête du bonheur hédoniste et individuel, favorise. La non-satisfaction de nos désirs est vécue comme une injustice. Ensuite, nous subissons parfois une situation objective d’injustice qui nous rend impuissant, d’autant plus que le sens de l’épreuve nous échappe (pourquoi être cruellement privé d’un être cher ? Pourquoi être licencié après s’être tant investi dans son travail?). Enfin, l’injustice faite à autrui, proche ou inconnu, peut aussi être source de souffrance. Il s’agit dans ce cas d’une atteinte à notre idéal, à notre code de valeurs morales, qui fait que nous nous sentons personnellement touché et ne le supportons pas.
Comment accepter ?
En commençant par remplacer le mot « accepter » par « prendre en compte ». Puis en interrogeant notre sentiment d’injustice : le ressentir ne signifie pas qu’il soit réel ou légitime, ou encore qu’il nous exonère de nos responsabilités. Subir la perte d’un être cher est profondément injuste et douloureux. Aucun psy ne pourra réduire le temps du chagrin et de la colère ; en revanche, il pourra nous aider si la douleur est insupportable. Pour les autres injustices, relationnelles ou existentielles, demandons-nous : « Que puis-je faire de juste, donc de bon pour moi, pour répondre à l’injuste ? » Cela nous permettra de ne pas rester coincé dans l’amertume ou dans l’esprit de vengeance. Mais il est essentiel, avant tout, d’identifier et de reconnaître les émotions que l’injustice a fait naître. Nous ignorons trop souvent son pouvoir toxique sur l’estime de soi. Paradoxalement, la victime, au lieu de se défendre et de faire valoir ses droits, peut se sentir coupable et honteuse. De ne pas être à la hauteur, d’être mal traitée. C’est pourquoi une injustice doit toujours être nommée et « travaillée ». La garder pour soi est une vraie bombe à retardement pour le psychisme.
L'impermanence
Tout change et meurt
Avec Alain Delourme, psychothérapeute, auteur, avec Alexie de Lorca, de Savoir dire oui pour construire sa vie (Hachette Pratique, “Les Ateliers de Psychologies magazine”, 2009).
Pourquoi nous souffrons?
La vie est un éternel renouvellement. Oui, mais… chacun désire s’installer pour l’éternité, dans la situation ou dans la relation qui lui apporte plaisir et sécurité. Une fois ce point d’équilibre atteint, nous faisons tout pour le conserver, car l’idée de notre propre finitude nous est insupportable. Pourtant, nous le savons, nos enfants grandissent, nos amis s’éloignent, notre corps se transforme… Il existe plusieurs façons de se donner l’illusion de la permanence : s’accrocher aux signes extérieurs de jeunesse, accumuler les biens matériels, vouloir se prémunir contre les maladies, se refuser à toute évolution, être dans l’hyperactivité pour fuir les face-à-face avec soi… Nous sommes inégaux devant le changement. Plus nous l’avons vécu enfant dans une ambiance d’angoisse et de drame, plus nous le craindrons à l’âge adulte. A contrario, son expérience précoce comme donnée de la vie à la fois inévitable et stimulante nous poussera plus tard non seulement à l’accepter, mais parfois aussi à le rechercher.
Comment accepter?
En observant autour de soi l’inéluctabilité de l’évolution et son côté positif : dans la nature, dans nos relations, en nous, de manière à comprendre qu’il ne peut y avoir de gain sans perte et que la vie est intrinsèquement cyclique. Dans cette perspective, la pratique de la méditation de pleine conscience ou de pauses contemplatives peut apaiser nos émotions et nous aider à prendre conscience que le changement n’est pas une menace, mais une condition de l’existence. Enfin, quand il est subi et non choisi, il est important de se placer dans une double dynamique. En identifiant et en accueillant l’émotion qu’il provoque (peur, tristesse, colère), puis en s’interrogeant sur les opportunités qu’il peut offrir. À cette étape, le recours à un tiers (ami, famille, collègue) peut être éclairant. Cela est particulièrement vrai lorsque l’on fait l’expérience de la perte affective. S’investir dans un projet, envisager de nouvelles perspectives est un moyen efficace de neutraliser sa peur de l'inconnu.
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