La coproduction conditionnée (paṭiccasamuppāda)
Extrait du Vade-mecum
“Celui qui voit clairement la loi de la production conditionnée, voit clairement le Dhamma.
Celui qui voit clairement le Dhamma, voit clairement la loi de la production conditionnée.”
Majjhima Nikāya
Le saṁsāra, le processus du mal-aise et des existences répétées, est entretenu par une chaîne d’éléments (« liens »), matériels et non matériels, interconnectés dont la présence ou l’absence est déterminée selon une relation plus conditionnelle que causale : « Cela étant, ceci apparaît. ». Tous les phénomènes physiques et mentaux obéissent à des lois et sont soumis à des conditions ; ils apparaissent, se transforment et disparaissent, en fonction de l’évolution de ces conditions. Il s’ensuit qu’aucune chose dans l’univers relatif n’existe en soi et par soi, mais en raison de conditions déterminantes et détermine à son tour d’autres choses ; rien n’est un commencement en soi ou une fin en soi (la seule exception étant l’arahanta, l’être pleinement libéré). Cet enseignement révèle également la méthode pour briser cette chaîne et mettre un terme au processus ; celui-ci n’est en effet pas inéluctable, il est possible de trouver une porte de sortie et de rompre le cercle vicieux.
Au sens premier la « production conditionnée » ou « origine(s) interdépendante(s) » fait référence à la façon dont le mal-aise apparaît en dépendance directe de l’échec à appréhender correctement la réalité (ignorance) et de l’esclavage des désirs, et disparaît (ou n’apparaît pas) conjointement à leur cessation (ou plutôt, dès qu’ils cessent d’être un problème, dès que l’on est libéré de leur emprise).
Chaque lien conditionne le suivant dans le sens naissance, apparition (paccaya) selon l’ordre progressif (anuloma) ou dans le sens cessation ou plutôt non-apparition (nirodha) selon l’ordre rétrograde (paṭiloma). Nous avons ainsi la description du surgissement de la « maladie » (ordre progressif), et la description de la façon de faire cesser cette « maladie » (ordre rétrograde).
Conditionnés par :
1. l’ignorance (avijjā), apparaissent :
2. les facteurs d’existence (saṅkhārā),
3. conditionnée par les facteurs d’existence apparaît la conscience discriminative (viññāṇa),
4. conditionnée par la conscience discriminative apparaît l’individualité psychophysiologique (nāma rūpa),
5. conditionnés par l’individualité psychophysiologique apparaissent les six bases des activités des sens (saḷāyatana),
6. conditionné par les six bases des activités des sens apparaît le contact (phassa),
7. conditionné par le contact apparaît le ressenti (vedanā),
8. conditionné par le ressenti apparaît le désir ardent (tanhā),
9. conditionné par le désir ardent apparaît l’attachement (upādāna),
10. conditionné par l’attachement apparaît le devenir (bhava),
11. conditionnée par le devenir apparaît la naissance (jāti),
12. conditionnés par la naissance apparaissent la décrépitude et la mort (jarā maraṇa).
Définition des termes du paṭiccasamuppāda
Avijjā
C’est la méconnaissance profonde de la nature réelle de tout ce qui existe, tout particulièrement la méconnaissance des « trois caractéristiques » (tilakkhaṇa), la non-reconnaissance de la véritable nature de l’esprit. C’est l’opposé de la vision intérieure directe et non obstruée, de l’Éveil.
Avijjā signifie l’absence de toute connaissance dépassant ce qui est du domaine de la pure convention. C’est l’ignorance profonde qui obscurcit tout, inverse tout, faisant prendre l’erreur pour la vérité, le non essentiel pour l’essentiel, le néfaste pour le bénéfique et ce que l’on nomme normalement connaissance pour vijjā alors que c’est avijjā. Ce n’est en aucun cas une ignorance intellectuelle.
Saṅkhārā
« Formations », déterminations, processus de vie, processus corporels, verbaux et mentaux
Intentions, impulsions, stimulations, qui poussent à l’accomplissement d’une action, à son actualisation
Trois sens principaux :
1. tout ce qui est conditionné, composé, assemblé, complexe.
Sont par conséquent inclus : toute l’expérience sensorielle (les organes des sens, les objets des organes des sens, la conscience surgissant du contact), toutes choses, physiques ou mentales, façonnées par des causes et des conditions, de même que les forces qui les façonnent et les processus par lesquels elles sont façonnées.
2. les activités mentales créatrices de kamma.
3. les facteurs mentaux au sens large, conditionnés et suscités par l’opération de kamma et de ses résultats.
Viññāṇa
Au sens général : intelligence, pensée, impressions mentales, connaissance
Dans le contexte du paṭiccasamuppāda : conscience dans sa fonction discriminative, conscience empirique née de l’union de l’objet sensoriel, de l’organe sensoriel et de leur contact. Division et distribution de la conscience sur les six bases des sens, conscience sensorielle, pouvoir, faculté d’appréhension au moment de voir, entendre, sentir, goûter, toucher et penser.
Elle est classifiée, en fonction des bases, en : conscience visuelle, auditive, olfactive, gustative, tactile, mentale.
Nāma rūpa
Littéralement : « nom et forme »
C’est l’ensemble des phénomènes mentaux et physiques, indissociablement unis dans le corps. L’unité psychocorporelle, matérialité et subtilité, aspect essentiel et aspect substantiel.
Saḷāyatana
Les six bases d’activité des sens, les organes des sens : œil, oreille, nez, langue, corps, mental.
Les six domaines (sphères) sensoriel(le)s intérieur(e)s, personnel(le)s, (les organes des sens), par rapport aux six domaines sensoriels extérieurs (les objets des sens).
Phassa
Impression des sens, contact des sens avec leur objet respectif, en tant que base de la ressenti, vedanā. On distingue : le contact visuel, auditif, olfactif, gustatif, tactile, mental.
Vedanā
Ressenti (considéré comme aveuglant) issu du contact des sens avec le monde extérieur, connaissance directe (« vision ») par l’intermédiaire des sens, appréhension, appréciation. Décrit les états mentaux comme l’attirance, l’aversion, la joie, la peine, etc.
On distingue le ressenti corporel et le ressenti mental (agréable, désagréable ou neutre). Ils se classifient selon les bases des sens en : ressenti issu de la fonction visuelle, de la fonction auditive, de la fonction olfactive, de la fonction gustative, de la fonction tactile, de la fonction mentale.
Tanhā
Désir ardent, « soif », attirance irrésistible, esclavage, emprise
Désir de renouvellement du resenti agréable (ou de disparition du ressenti désagréable).
Upādāna
Combustible. Attachement, saisie de l’objet du désir, appropriation
Bhava
La « sphère de la naissance », le devenir, la conception, l’existence
La maturation des conséquences de la saisie, évolution et régression.
C’est un processus qui se déroule selon deux modes : un processus d’action (kamma bhava) et un processus de renaissance, de régénération (uppatti bhava).
Jāti
Naissance, apparition
Jarā
Processus de vieillissement, décrépitude
Maraṇa
Mort d’un être ordinaire, non éveillé. Ne concerne ni les « émancipés » (arahantā) ni les bouddhas, pour lesquels on emploie le terme parinibbāna.
D’une manière plus générale le paṭiccasamuppāda désigne le processus sous-tendant tous les phénomènes de quelque ordre qu’ils soient (physiques, psychologiques, spirituels) dans leur naissance, leur croissance et leur déclin.
La compréhension profonde des relations étroites entre tout ce qui existe - phénomènes physiques ou mentaux (intérieurs ou extérieurs, proches ou lointains, visibles ou invisibles) – de leur nature conditionnée, est l’une des caractéristiques fondamentales de la sagesse issue de l’Éveil. Cette réalisation débouche immanquablement sur la sensibilité à l’égard de tous ces phénomènes et de tout ce qui vit, la sagesse et l’empathie agissante ne pouvant exister l’une sans l’autre, tout comme l’avers et le revers d’une pièce de monnaie.
Michel Dufour
(école Théravada)
http://mhd-abt.perso.neuf.fr/enseignementbouddha/coproductionconditionnee
Extrait du Vade-mecum
“Celui qui voit clairement la loi de la production conditionnée, voit clairement le Dhamma.
Celui qui voit clairement le Dhamma, voit clairement la loi de la production conditionnée.”
Majjhima Nikāya
Le saṁsāra, le processus du mal-aise et des existences répétées, est entretenu par une chaîne d’éléments (« liens »), matériels et non matériels, interconnectés dont la présence ou l’absence est déterminée selon une relation plus conditionnelle que causale : « Cela étant, ceci apparaît. ». Tous les phénomènes physiques et mentaux obéissent à des lois et sont soumis à des conditions ; ils apparaissent, se transforment et disparaissent, en fonction de l’évolution de ces conditions. Il s’ensuit qu’aucune chose dans l’univers relatif n’existe en soi et par soi, mais en raison de conditions déterminantes et détermine à son tour d’autres choses ; rien n’est un commencement en soi ou une fin en soi (la seule exception étant l’arahanta, l’être pleinement libéré). Cet enseignement révèle également la méthode pour briser cette chaîne et mettre un terme au processus ; celui-ci n’est en effet pas inéluctable, il est possible de trouver une porte de sortie et de rompre le cercle vicieux.
Au sens premier la « production conditionnée » ou « origine(s) interdépendante(s) » fait référence à la façon dont le mal-aise apparaît en dépendance directe de l’échec à appréhender correctement la réalité (ignorance) et de l’esclavage des désirs, et disparaît (ou n’apparaît pas) conjointement à leur cessation (ou plutôt, dès qu’ils cessent d’être un problème, dès que l’on est libéré de leur emprise).
Chaque lien conditionne le suivant dans le sens naissance, apparition (paccaya) selon l’ordre progressif (anuloma) ou dans le sens cessation ou plutôt non-apparition (nirodha) selon l’ordre rétrograde (paṭiloma). Nous avons ainsi la description du surgissement de la « maladie » (ordre progressif), et la description de la façon de faire cesser cette « maladie » (ordre rétrograde).
Conditionnés par :
1. l’ignorance (avijjā), apparaissent :
2. les facteurs d’existence (saṅkhārā),
3. conditionnée par les facteurs d’existence apparaît la conscience discriminative (viññāṇa),
4. conditionnée par la conscience discriminative apparaît l’individualité psychophysiologique (nāma rūpa),
5. conditionnés par l’individualité psychophysiologique apparaissent les six bases des activités des sens (saḷāyatana),
6. conditionné par les six bases des activités des sens apparaît le contact (phassa),
7. conditionné par le contact apparaît le ressenti (vedanā),
8. conditionné par le ressenti apparaît le désir ardent (tanhā),
9. conditionné par le désir ardent apparaît l’attachement (upādāna),
10. conditionné par l’attachement apparaît le devenir (bhava),
11. conditionnée par le devenir apparaît la naissance (jāti),
12. conditionnés par la naissance apparaissent la décrépitude et la mort (jarā maraṇa).
Définition des termes du paṭiccasamuppāda
Avijjā
C’est la méconnaissance profonde de la nature réelle de tout ce qui existe, tout particulièrement la méconnaissance des « trois caractéristiques » (tilakkhaṇa), la non-reconnaissance de la véritable nature de l’esprit. C’est l’opposé de la vision intérieure directe et non obstruée, de l’Éveil.
Avijjā signifie l’absence de toute connaissance dépassant ce qui est du domaine de la pure convention. C’est l’ignorance profonde qui obscurcit tout, inverse tout, faisant prendre l’erreur pour la vérité, le non essentiel pour l’essentiel, le néfaste pour le bénéfique et ce que l’on nomme normalement connaissance pour vijjā alors que c’est avijjā. Ce n’est en aucun cas une ignorance intellectuelle.
Saṅkhārā
« Formations », déterminations, processus de vie, processus corporels, verbaux et mentaux
Intentions, impulsions, stimulations, qui poussent à l’accomplissement d’une action, à son actualisation
Trois sens principaux :
1. tout ce qui est conditionné, composé, assemblé, complexe.
Sont par conséquent inclus : toute l’expérience sensorielle (les organes des sens, les objets des organes des sens, la conscience surgissant du contact), toutes choses, physiques ou mentales, façonnées par des causes et des conditions, de même que les forces qui les façonnent et les processus par lesquels elles sont façonnées.
2. les activités mentales créatrices de kamma.
3. les facteurs mentaux au sens large, conditionnés et suscités par l’opération de kamma et de ses résultats.
Viññāṇa
Au sens général : intelligence, pensée, impressions mentales, connaissance
Dans le contexte du paṭiccasamuppāda : conscience dans sa fonction discriminative, conscience empirique née de l’union de l’objet sensoriel, de l’organe sensoriel et de leur contact. Division et distribution de la conscience sur les six bases des sens, conscience sensorielle, pouvoir, faculté d’appréhension au moment de voir, entendre, sentir, goûter, toucher et penser.
Elle est classifiée, en fonction des bases, en : conscience visuelle, auditive, olfactive, gustative, tactile, mentale.
Nāma rūpa
Littéralement : « nom et forme »
C’est l’ensemble des phénomènes mentaux et physiques, indissociablement unis dans le corps. L’unité psychocorporelle, matérialité et subtilité, aspect essentiel et aspect substantiel.
Saḷāyatana
Les six bases d’activité des sens, les organes des sens : œil, oreille, nez, langue, corps, mental.
Les six domaines (sphères) sensoriel(le)s intérieur(e)s, personnel(le)s, (les organes des sens), par rapport aux six domaines sensoriels extérieurs (les objets des sens).
Phassa
Impression des sens, contact des sens avec leur objet respectif, en tant que base de la ressenti, vedanā. On distingue : le contact visuel, auditif, olfactif, gustatif, tactile, mental.
Vedanā
Ressenti (considéré comme aveuglant) issu du contact des sens avec le monde extérieur, connaissance directe (« vision ») par l’intermédiaire des sens, appréhension, appréciation. Décrit les états mentaux comme l’attirance, l’aversion, la joie, la peine, etc.
On distingue le ressenti corporel et le ressenti mental (agréable, désagréable ou neutre). Ils se classifient selon les bases des sens en : ressenti issu de la fonction visuelle, de la fonction auditive, de la fonction olfactive, de la fonction gustative, de la fonction tactile, de la fonction mentale.
Tanhā
Désir ardent, « soif », attirance irrésistible, esclavage, emprise
Désir de renouvellement du resenti agréable (ou de disparition du ressenti désagréable).
Upādāna
Combustible. Attachement, saisie de l’objet du désir, appropriation
Bhava
La « sphère de la naissance », le devenir, la conception, l’existence
La maturation des conséquences de la saisie, évolution et régression.
C’est un processus qui se déroule selon deux modes : un processus d’action (kamma bhava) et un processus de renaissance, de régénération (uppatti bhava).
Jāti
Naissance, apparition
Jarā
Processus de vieillissement, décrépitude
Maraṇa
Mort d’un être ordinaire, non éveillé. Ne concerne ni les « émancipés » (arahantā) ni les bouddhas, pour lesquels on emploie le terme parinibbāna.
D’une manière plus générale le paṭiccasamuppāda désigne le processus sous-tendant tous les phénomènes de quelque ordre qu’ils soient (physiques, psychologiques, spirituels) dans leur naissance, leur croissance et leur déclin.
La compréhension profonde des relations étroites entre tout ce qui existe - phénomènes physiques ou mentaux (intérieurs ou extérieurs, proches ou lointains, visibles ou invisibles) – de leur nature conditionnée, est l’une des caractéristiques fondamentales de la sagesse issue de l’Éveil. Cette réalisation débouche immanquablement sur la sensibilité à l’égard de tous ces phénomènes et de tout ce qui vit, la sagesse et l’empathie agissante ne pouvant exister l’une sans l’autre, tout comme l’avers et le revers d’une pièce de monnaie.
Michel Dufour
(école Théravada)
http://mhd-abt.perso.neuf.fr/enseignementbouddha/coproductionconditionnee
Hier à 20:57 par Mila
» Jour de ROUE important dans le calendrier Bouddhiste
Jeu 21 Nov 2024, 09:26 par Pema Gyaltshen
» Trois livres de David Michie
Dim 17 Nov 2024, 16:50 par Mila
» Les différentes approches du Mahamudra
Jeu 31 Oct 2024, 10:04 par Nangpa
» Bonjour à tous les membres et merci de m'accueillir !
Jeu 31 Oct 2024, 06:25 par heyopibe
» Bizarre, apaisant et Respiration assoiffée
Sam 26 Oct 2024, 01:39 par LeLoups
» L'utilisation de l'encens pour les morts
Ven 25 Oct 2024, 11:28 par heyopibe
» Bonjour à tous - Merci pour l'accueil
Ven 25 Oct 2024, 11:19 par heyopibe
» 4 documentaires sur le bouddhisme : Sri Lanka, Tibet, Kalou Rimpoché, Bouthan
Sam 19 Oct 2024, 08:18 par Darvel
» Prise de refuge à Beaumont
Dim 13 Oct 2024, 06:28 par Mila
» Bonjour a tous, sous un grand chêne, en creuse
Sam 05 Oct 2024, 22:24 par Ortho
» Présentation Jonathan Carribo., je devais m'inscrire à l'arbre à refuges
Ven 04 Oct 2024, 17:31 par Aurélien-relax-yoga
» Bonjour à toutes et tous !
Ven 04 Oct 2024, 17:26 par Aurélien-relax-yoga
» Présentation de Djinn, pratiquant en autonomie du dharma
Ven 04 Oct 2024, 17:24 par Aurélien-relax-yoga
» Bonjour à tous de la part de Pieru
Ven 04 Oct 2024, 17:23 par Aurélien-relax-yoga
» Dharma Appliqué: Présentation de la rubrique
Mer 02 Oct 2024, 13:34 par Nidjam
» Le maître né du lotus: THE DAKINI CODE
Dim 22 Sep 2024, 09:12 par Pema Gyaltshen
» Michel Collon – Face à Israël : Que pouvez-vous faire ?
Dim 22 Sep 2024, 09:07 par Pema Gyaltshen
» ESSAI La notion de possession
Dim 08 Sep 2024, 19:29 par Ortho
» Déterminisme: Le Choix est-il une illusion ?
Mer 21 Aoû 2024, 19:07 par Nidjam
» Canon Pali : comment reconnaître une mauvaise personne et une bonne personne au regard de l’orgueil et de l'humilité
Dim 18 Aoû 2024, 14:39 par LeLoups
» Les problèmes de la méditation de pleine conscience
Dim 18 Aoû 2024, 13:13 par LeLoups
» Tukdam : méditer jusqu’à la mort
Mer 07 Aoû 2024, 15:57 par Disciple laïc
» La petite voix ? ...................
Dim 04 Aoû 2024, 08:11 par Algo
» Bouddhisme : la loi du silence
Ven 02 Aoû 2024, 21:05 par dominique0
» On nait mis en boîte ! .....................
Ven 02 Aoû 2024, 05:55 par Algo
» Bouddha n'était pas non violent...
Ven 02 Aoû 2024, 05:38 par Algo
» Le Cercle d'Eveil 2024 Juin
Sam 08 Juin 2024, 07:34 par Pema Gyaltshen
» Amitābha: Le Grand Soutra de la Vie Infinie
Mar 14 Mai 2024, 21:22 par Disciple laïc
» Saga Dawa 2024 ( du 9 mai au 6 juin 2024 )
Ven 10 Mai 2024, 09:09 par Mila
» Bertrand Piccard, son dernier livre ( 2021 )
Lun 06 Mai 2024, 09:41 par Pema Gyaltshen
» Blessé au visage , un orang-outan se soigne avec un pansement végétal
Sam 04 Mai 2024, 20:17 par Mila
» Découvrez les Bienfaits du Bouddhisme Tibétain pour une Vie Équilibrée
Lun 29 Avr 2024, 12:52 par Puntsok Norling
» Drouptcheu de Keuntchok Tchidu
Dim 21 Avr 2024, 12:02 par Mila
» Citation de Richard Gere ( Article du journal : AuFéminin )
Ven 19 Avr 2024, 15:31 par arcane 17
» Cinquantenaire de la fondation de Palden Shangpa La Boulaye
Ven 05 Avr 2024, 19:05 par Nangpa
» Bonne Nouvelle chrétienne et Bonne Nouvelle bouddhiste
Lun 01 Avr 2024, 10:34 par Algo
» Qu’entend-on vraiment par « tout vient de l’esprit » ?
Sam 23 Mar 2024, 11:38 par Nidjam
» Bouddhisme vajrayāna : Instructions sur le Mahāmudrā
Ven 22 Mar 2024, 15:02 par Nidjam
» Méditation : Qu'est ce que l'esprit sans réfèrence ?
Ven 22 Mar 2024, 14:11 par Nidjam
» Des arbres , pour l'Arbre .
Dim 17 Mar 2024, 11:35 par Mila
» Lankavatara Sutra ----------------------------------------------------
Lun 11 Mar 2024, 13:52 par heyopibe
» Mauvaise compréhension - besoin d'explication
Ven 08 Mar 2024, 18:51 par Nidjam
» Le Discours entre un Roi et un Moine : Les Questions de Milinda
Ven 01 Mar 2024, 13:23 par Nidjam
» Le Bonheur est déjà là , par Gyalwang Drukpa Rimpoché
Jeu 29 Fév 2024, 18:39 par Nidjam
» Une pratique toute simple : visualisez que tout le monde est guéri ....
Jeu 29 Fév 2024, 18:06 par Nidjam
» Drapeaux de prière - l'aspiration à un bien-être universel
Jeu 29 Fév 2024, 17:30 par Puntsok Norling
» Initiations par H.E. Ling Rimpoché
Ven 23 Fév 2024, 08:54 par Mila
» Bonne année Dragon de Bois à toutes et à tous
Sam 10 Fév 2024, 23:02 par Karma Trindal
» Bouddhisme/-Science de l'esprit : Identité et non-identité
Ven 09 Fév 2024, 12:56 par heyopibe
» Déclaration commune concernant la réincarnation de Kunzig Shamar Rinpoché
Lun 05 Fév 2024, 12:16 par Nangpa
» Les souhaits de Maitreya , par le 12e Kenting Taï Situ Rimpoché
Lun 05 Fév 2024, 09:28 par heyopibe
» L'Interdépendance selon les enseignements du Lamrim
Lun 05 Fév 2024, 09:27 par heyopibe
» Qu'est-ce que l'essence de la voie du Dharma ?
Mar 09 Jan 2024, 19:52 par Puntsok Norling
» Quelles sont les règles respectées dans les temples bouddhistes tibétain
Ven 05 Jan 2024, 10:48 par Nangpa
» Toute l'équipe de L'Arbre des Refuges vous souhaite ses Meilleurs Voeux pour 2024!
Mer 03 Jan 2024, 12:14 par Nutts
» Le Singe
Sam 30 Déc 2023, 21:38 par Karma Trindal
» Le Buffle
Ven 29 Déc 2023, 23:24 par petit_caillou
» Le Tigre
Ven 29 Déc 2023, 23:21 par petit_caillou
» Le Lapin (ou Chat)
Ven 29 Déc 2023, 23:18 par petit_caillou
» Le Coq
Ven 29 Déc 2023, 23:15 par petit_caillou
» La Chèvre (ou Mouton)
Ven 29 Déc 2023, 23:12 par petit_caillou
» Le Dragon
Lun 25 Déc 2023, 14:14 par petit_caillou
» Le Serpent
Lun 25 Déc 2023, 14:09 par petit_caillou
» Le Cochon
Lun 25 Déc 2023, 13:59 par petit_caillou
» L'année du Dragon de bois 2024
Sam 23 Déc 2023, 00:04 par petit_caillou
» Le Cheval
Ven 22 Déc 2023, 23:59 par petit_caillou
» Le Chien
Ven 22 Déc 2023, 23:54 par petit_caillou
» Le Rat
Ven 22 Déc 2023, 23:48 par petit_caillou
» L'Eco Dharma .................................................
Lun 27 Nov 2023, 15:28 par heyopibe
» Shantideva: Bodhicaryâvatâra
Sam 11 Nov 2023, 16:25 par Admin
» J'irai dormir chez vous (émission TV)
Ven 10 Nov 2023, 19:35 par Disciple laïc
» Le Bonheur National Brut
Jeu 09 Nov 2023, 11:34 par heyopibe
» Le champ d'application ...................................
Jeu 09 Nov 2023, 11:02 par heyopibe
» Les Quatre Nobles Vérités -------------------------------------
Mer 08 Nov 2023, 11:40 par heyopibe